La première étape consiste à attraper le bras qui vous étreint et à rentrer le cou pour offrir le moins de surface d'étranglement possible. Ensuite le plus important est de sortir de l'axe de compression. C'est-à-dire, que vous devez mettre tout votre corps sur le côté pour éviter que l'on puisse vous comprimer.
« Tapez 3 fois au niveau des testicules », préconise notre expert. « Ça devrait le détendre », poursuit-il. Ensuite, lorsque l'agresseur se remet de ses émotions, visez les parties sensibles du corps, à savoir les yeux, les genous ou la gorge. Enfin, il ne vous reste plus qu'à fuire.
Retournez-vous et jetez-le à terre.
Veillez à toujours garder vos mains sur son bras, en les positionnant entre son bras et votre menton. Dès que vous réussissez à vous libérer de son emprise, tirez votre adversaire vers votre corps dans le sens diagonal pour le mettre au sol.
(Arts martiaux) Saisie du bras pour l'amener au maximum de l'amplitude de son articulation et ainsi maîtriser une personne.
Mettez votre adversaire à genou et faites-lui plier le torse vers l'avant. Avec vos jambes, effectuez des crochets sur ses lombaires. L'un de vos bras va encercler son cou tandis que l'autre va immobiliser sa nuque. Avec cette prise, tout le corps de votre adversaire sera sous votre contrôle.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
La clé d'étranglement respiratoire consiste, lorsque le policier est derrière l'individu, à maîtriser debout, à passer son bras autour de son cou et à exercer une pression sur la trachée avec le plat de son avant-bras, provoquant ainsi une douleur et le blocage de la respiration.
La clé de genou en rotation, appelée aussi clé de talon ou heel hook, est une clé où l'assaillant, bloquant la pointe du pied adverse sous son aisselle donne un mouvement de rotation au talon, faisant tourner le tibia.
Placez une main au-dessus de son coude, sur son avant-bras et l'autre juste en dessous, de façon à ce que vos mains soient placées de chaque côté du coude. Puis, en un mouvement fort et déterminé, faites tourner votre corps entier, comme si le bras de votre agresseur était une charnière.
Mettez votre second bras derrière la tête de la personne. Serrez en fermant votre biceps et votre avant-bras et poussez la tête de la personne vers l'avant en vous servant de votre autre bras. Maintenez l'étranglement pendant 10 à 20 secondes puis relâchez la personne lentement sur le sol.
Frapper à la gorge permet de couper temporairement la respiration de son agresseur. Un coup bien placé au niveau du genou lui fera perdre l'équilibre, lui provoquera une forte douleur et peut même l'empêcher de se relever ou de marcher.
Voici comment vous y prendre. Fléchissez votre coude à un angle de 30 à 45 degrés devant votre visage. Lancez votre poing, votre coude et votre épaule, en étendant votre bras. Envoyez votre poids, à travers votre épaule, dans votre bras, puis dans votre poing lorsque vous frappez, afin de frapper le plus fort possible.
Frappez rapidement avec le haut de votre tête.
Pendant que vous tirez l'agresseur vers vous, baissez la tête et frappez-le au niveau du nez, dans sa phase descendante. Frappez avec le haut de la tête. N'utilisez pas votre front.
Appliquez une pression sur les côtés de son cou.
Avec votre bras dominant, exercez une forte pression sur les côtés du cou de votre adversaire. Pliez le coude tout en fléchissant votre bras dominant de manière à ce que votre biceps presse un côté du cou et votre avant-bras l'autre.
étranglement
1. Action d'étrangler, d'étouffer par strangulation, fait d'être étranglé : Mourir par étranglement. 2. État d'une voix étouffée, étranglée par l'émotion.
Cette technique de soumission est simple, vous devez faire un étranglement sanguin tout en faisant une compression sur la carotide de l'adversaire. Pour faire simple, vous devez mettre vos bras autour du cou de votre adversaire tout en verrouillant ses bras avec votre tête.
Aujourd'hui, les dictionnaires signalent les deux graphies en entrée, mais le Petit Robert (2016) donne « clé » dans tous ses exemples. Certains préfèrent écrire « clef » par coquetterie étymologique. Et puis, en musique, on peut préférer « clef » dont le f » final, en calligraphie, peut faire penser à la clef de sol.
Lorsque vous vous battez contre plusieurs adversaires, ne soyez pas au milieu ! Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez.
La peur de se battre est une inquiétude commune, car il s'agit d'une peur situationnelle : craintes suscitées par une situation spécifique inconnu. Empiriquement, il est possible d'affirmer que peu de personnes sont formés à se battre.
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête. Visez la zone des yeux, du nez et de la bouche X Source de recherche .