Lorsque votre patron est un salaud à vos yeux ou que vous avez été licencié, l'une des meilleures mesures de vengeance est de coller quelque chose de malodorant dans le bureau et de le faire empester le joint. Bien sûr, si vous tombez sur un oiseau mort, c'est une option viable.
Si votre chef vous stresse, attention à ne pas vous laisser déstabiliser. La méthode Coué peut opérer des merveilles : répétez-vous que votre travail a de la valeur, que vous avez le droit de dire non. Si vous n'êtes pas d'accord, en revanche, préparez votre argumentaire avec soin.
Détrôner le roi. Plus périlleux mais tout aussi réjouissant : aller dévisser le siège de votre cher patron dans son bureau. Ne vous engagez pas à l'aveugle dans cette opération, soyez accompagné d'un complice pour monter la garde. En quelques coups de tournevis vous aurez rendu le siège complètement instable.
Ignorer son chef.
"Cette option consiste à laisser dire son chef sans jamais lui répondre, tout en préparant ses munitions quand viendra le jour de l'entretien d'évaluation.
Pour faire passer des messages à son boss, quoi de mieux que d'utiliser la technique de la "communication non-violente", appelée aussi CNV. Celle-ci qui consiste à échanger sans brutalité - verbale - avec l'autre, c'est-à-dire sans qu'il ne se sente attaqué.
La pression psychologique est une sensation psychique, le produit de deux forces mentales qui tirent dans des directions opposées. Ces forces peuvent être de natures très différentes, comme des souhaits ou des obligations. On parle d'une situation qui cause de l'inconfort.
Un salarié peut saisir le conseil des prud'hommes pour régler tout conflit sur un cas de discrimination. Par exemple, pour contester un refus de promotion. Un candidat à un emploi peut aussi saisir les prud'hommes pour contester son refus d'embauche.
Face à ses sautes d'humeur, tenez-vous-en aux faits
Difficile de rester calme lorsque votre chef déboule en furie dans votre bureau. Il faut pourtant respecter cette règle d'or : ne jamais répondre à l'agressivité par l'agressivité, afin d'éviter l'escalade de la violence.
Sachez que les incompétents qui réussissent sont des ambitieux qui ont confiance en eux, savent se faire remarquer, maîtrisent la communication et font même du réseautage. Effectivement pour réussir, il faut avoir de l'ambition et l'incompétent l'a bien compris. Mais son ambition est la recherche des honneurs.
Réagir face à un management toxique : mode d'emploi
Le plus souvent, la solution la plus simple consiste à informer son manager des conditions de travail qu'il est en train d'imposer à ses salariés. Cela consiste à faire remonter son mal-être au travail à celui-ci ou bien à un responsable RH de l'entreprise.
Le chef manipulateur change de version d'un jour à l'autre, dit une chose et son contraire, entretient le flou sur ses points de vue, ses attentes, ses ressentis. Le manipulateur pense également que sa victime est dans sa tête et ressent les mêmes choses.
Discrimination professionnelle : saisie des Prud'Hommes
Le salarié qui s'estime victime d'une discrimination peut saisir le Conseil de Prud'hommes. Il lui revient d'apporter les premiers éléments de fait laissant supposer l'existence de la discrimination.
Pour faire reconnaître son préjudice, le salarié peut saisir le Conseil de prud'hommes. Il dispose pour cela d'un délai de 5 ans après le dernier acte de harcèlement moral. Sur accord du salarié, l'action peut aussi être engagée par une organisation syndicale représentative dans l'entreprise.
Le BSCI prend au sérieux tous les signalements de comportements répréhensibles. Aussi, il a créé ce mécanisme pour permettre aux personnes qui souhaitent signaler des cas de gaspillage, de fraude, de mauvaise gestion, de harcèlement sexuel ou d'autres actes répréhensibles de le faire de manière confidentielle.
Le harcèlement moral se manifeste par des agissements répétés pouvant entraîner, pour la personne qui les subit, une dégradation de ses conditions de travail pouvant aboutir à : une atteinte à ses droits et à sa dignité ou une altération de sa santé physique ou mentale. ou une menace pour son évolution professionnelle.
Un seul acte isolé ne pourra dès lors pas caractériser un harcèlement moral. Cependant, il peut s'agir d'agissements de toute nature : par exemple, une remarque désobligeante, une mise à l'écart ou encore un retrait de dossier. Dans ce cas-là, ces comportements peuvent être reconnus comme du harcèlement moral.
Le tyrannique
Il n'hésitera pas, par exemple, à injurier ses employés et à les rabaisser. Pour gérer cela, il va vous falloir gagner sa confiance et aussi lui montrer que vous êtes fort et compétent.
Même si c'est plus facile à dire qu'à faire, avec un patron colérique, il est important de ne pas prendre ses hurlements personnellement et surtout, il faut à tout prix éviter de monter le ton. Renvoyez-lui une image de sérénité et de rationalité, c'est la façon la plus efficace de le faire redescendre rapidement.
Les conséquences de cette attitude sont nombreuses : détruire la cohésion du groupe, créer des clans, perdre la motivation du personnel. Tout ceci engendre une mauvaise ambiance de travail et ralentit l'exécution du travail à accomplir.