Le port des EPI soit parfois assez inconfortable, voire contraignant pour bien faire son travail. La première façon de sensibiliser les employés en plus de l'information et la formation est d'instaurer un règlement intérieur. Cette mesure s'accompagne d'une pose de panneaux d'indication sur les chantiers.
Il doit ainsi : Porter les EPI qui sont mis à sa disposition et respecter leur utilisation. Prendre soin en fonction de sa formation et selon ses possibilités, de sa sécurité et de sa santé, ainsi que de celles des autres personnes concernées du fait de ses actes ou de ses omissions au travail.
L'EPI est un équipement destiné à protéger l'utilisateur contre les risques liés à l'activité du travailleur et pouvant provoquer un accident ou des atteintes à la santé.
Les équipements de protection individuelle (EPI) sont destinés à protéger le travailleur contre un ou plusieurs risques professionnels. Leur utilisation ne doit être envisagée qu'en complément des autres mesures d'élimination ou de réduction des risques.
Pour assurer la traçabilité du bon état d'usure des EPI, vous pouvez établir un tableau de suivi en indiquant bien les dates de vérifications. Le registre de sécurité peut vous servir de support. Pour vous aider à gérer ce suivi, employez l'outil Suivi du matériel.
Les EPI sont classés en trois catégories : Les équipements de travail couvrant les risques mineurs (classe I) Les équipements de protection spécifique pour les risques importants (classe II) Les équipements de sécurité (classe III) pour les risques graves à effets irréversibles ou mortels.
Pour garantir une bonne gestion de son matériel, l'entreprise doit constituer un pôle de maintenance interne ou externalisé, un plan de maintenance et s'équiper d'outils de supervision. Mais une telle démarche nécessite l'usage d'outil proactif de supervision : des logiciels d'EAM.
Les Equipements de Protection Individuelle (EPI) sont régit par le règlement (UE) 2016/425 du parlement européen et du conseil du 9 mars 2016 pour répondre aux exigences essentielles de santé et de sécurité des travailleurs exposés à un ou plusieurs risques professionnels.
Les équipements de protection individuelle
Le port de ces équipements (gants, gilets, combinaisons, chaussures, casques, harnais de sécurité, protections auditives, etc.) est toujours recommandé et parfois rendu obligatoire pour l'exercice de l'activité considérée.
Selon le Code du travail, l'employeur a l'obligation d'assurer l'entretien des équipements de protection individuelle qu'il fournit à ses employés, ainsi que leur réparation ou remplacement s'ils le nécessitent. Il doit également prendre en charge les frais en découlant.
Le cadre réglementaire du port des EPI
Les EPI sont très réglementés : normes ISO, code du travail, directives européennes etc… Ce réglementations concernent à la fois les salariés, les employeurs mais aussi les fabricants.
Le manquement aux consignes de sécurité peut entraîner une faute passible de sanctions disciplinaires et conduire à un licenciement pour faute grave.,Par exemple, en cas de refus répété d'un chef de chantier de porter un casque de sécurité.
L'obligation de l'employeur
Selon l'article R4321-4, l'employeur doit veiller à l'utilisation effective des équipements de protection individuelle qu'il fournit par les employés et les former à leur utilisation. - Mise en place d'une organisation de moyens adaptés.
Les sanctions en cas de non-port des EPI
La loi prévaut des mesures disciplinaires strictes pour sanctionner le non-respect des consignes de sécurité, notamment le non-port des EPI. Cela peut aller d'un simple avertissement à un licenciement ou à la cessation des activités.
Oui. Le port des EPI est obligatoire pour les salariés. Il est conseillé de mentionner dans le règlement intérieur de l'entreprise l'obligation de port des EPI. Il est également possible de prévoir des sanctions disciplinaires en cas de refus du port d'un EPI par un salarié.
Il s'agira parfois d'éliminer le danger à la source ou d'installer un équipement de protection collective. Lorsque ces moyens de prévention ne sont pas possibles, les EPI les plus appropriés sont déterminés pour chaque tâche, en considérant les exigences et les risques propres à chacune.
Les enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI) permettent de construire et d'approfondir des connaissances et compétences grâce à une réalisation concrète individuelle ou collective. Ils aboutissent à des réalisations (présentation orale ou écrite, constitution d'un carnet, etc.).
La réglementation n'impose pas de périodicité de renouvellement des tenues de travail ou des EPI. Les vêtements de travail et les EPI devront être remplacés systématiquement en cas d'usure ou de détérioration ou en cas de date limite d'utilisation ou de perte de conformité.
Risques mineurs (activités sans danger ou à effets superficiels). Exemples : jardinage, travaux ménagers, simples travaux de montage… Risques courants (activités avec probabilité de danger non nulle). Exemple : Industrie Risques majeurs (activités avec danger mortel ou invalidant).
Pour finir avec l'exemple préalablement cité en début d'article, il est donc interdit de prêter un EPI à un salarié, et ce même si vous le jugez de confiance et compétent. Si vous le faites, vous seul serez responsable et risquerez des poursuites juridiques en cas d'accident.
Dans tout secteur d'activité, la gestion des équipements, étroitement liée à celle de la qualité, est essentielle. Elle vise à garantir la fiabilité, la disponibilité et la conformité du parc de machines ou de matériel d'une entreprise, tout en appliquant une démarche de rentabilité.
Les quatre étapes de la gestion du cycle de vie du matériel sont : 1. évaluer et planifier les besoins en matériel; 2. acquérir des ressources matérielles; 3. exploiter, utiliser et entretenir le matériel; 4.
la gestion matérielle : suivi de l'entretien des locaux, des matériels et équipements, sécurité des personnes et des biens, gestion de l'hébergement des élèves (cantine) la gestion des ressources humaines (personnels de service)