D'après une investigation menée par la Banque de France en mars 2020, la diminution des taux d'intérêt causée par le vieillissement de la population serait à l'origine de l'inflation du prix de l'immobilier à l'horizon 2030. L'investissement immobilier présente donc un réel potentiel sur le long terme.
En 2030, les agents immobiliers se déplaceront pour créer une visite virtuelle et montreront le bien une fois que les acquéreurs ou locataires l'auront visionné grâce à une fameuse salle virtuelle. Ceci permettra de limiter les rendez-vous inutiles du côté des agents, locataires et acquéreurs.
Selon les estimations de Meilleurs Agents, une baisse de 2 % est attendue à l'horizon 2023. Le prix de l'immobilier poursuit sa flambée à Lyon. Entre septembre 2021 et 2022, il a pris +2,2 %. Une tendance qui pourrait enfin cesser à l'horizon 2023.
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 22% entre 2010 et 2020, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
Marché de l'immobilier 2022 : les tendances et l'évolution des prix. Quelles grandes tendances se dessinent pour l'immobilier en 2022, après une année 2021 marquée par une explosion des ventes de logements anciens, une augmentation des prix de 7,4% en moyenne, et une stabilité des taux de crédit immobilier ?
Selon le site Surf finances Mag, en France, le marché immobilier montre des signes de ralentissement, notamment pour les logements neufs. En revanche, la hausse des taux reste raisonnable. Selon les dernières données de la Banque de France, le taux moyen a atteint 1,17 % en avril dernier, contre 1,1 % en décembre 2021.
Le prix moyen des maisons au pays pourrait chuter de 20% à 25% en 2023, après que ceux-ci ont explosé pendant la pandémie de COVID-19, selon un rapport de la Banque TD. Les prix ont déjà commencé à baisser au cours de l'été dans certaines régions du pays, une tendance qui pourrait perdurer.
Excellent point pour les futurs investisseurs, le marché immobilier s'avère très dynamique en France. Malgré l'impact de la Covid, certaines villes voient leur attractivité décuplée. Mais encore, elles conservent des prix abordables et un potentiel locatif intéressant pour un investissement en 2022.
Facteurs de résistance du marché immobilier
De fait, la durée des prêts s'est considérablement allongée depuis les années 1990, passant de 12 ans en 1993 à 19 ans et 7 mois en 2021. Et cette demande persistante a pour effet de pousser à la hausse des prix de l'immobilier.
Alors que la crise sanitaire actuelle fait peser de nombreuses incertitudes sur l'économie, le marché immobilier semble quant à lui plutôt bien s'en sortir. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la période actuelle reste un bon moment pour vendre.
Les progressions du marché immobilier français devraient toutefois être plus mesurées en 2023 par rapport à 2021 et 2022, aussi bien en termes de prix qu'en termes de volumes de transactions. Les ventes pourraient ainsi atteindre 950 000 ventes contre 1,1 millions cette année.
France : des prix en hausse de 3 % en 2023
Plus en détails, sur le terrain des prix, le marché progresserait de 3 %. Quant aux volumes de transactions, il devrait repasser sous le million de ventes, avec 950 000 transactions sur les douze prochains mois.
En 2022, les prix des logements devraient croître sur tout le territoire, aucune baisse n'est prévue au regard de la demande actuelle. En revanche, on peut espérer une croissance plus modérée des prix. Les premières études sur le sujet tablent sur une hausse des prix autour de 2 %.
Le logement du futur sera partagé
Parmi elles, l'habitat partagé. Le logement du futur sera rassemblement celui de la communauté, il sera collectif. Il semblerait que la cohabitation intergénérationnelle et la colocation soient vouées à s'imposer. Seconde alternative, le logement coopératif.
Un taux d'épargne historiquement élevé et des taux d'intérêt bas ont permis une croissance record des ventes et des prix des logements pendant la pandémie, mais cette année a été marquée par un revirement brutal après que la Fed a commencé à relever les taux d'intérêt en mars.
Sous l'effet conjugué du nouveau DPE (Diagnostic de performance énergétique) et de la hausse des taux d'intérêts, le marché immobilier devrait ralentir. Selon le groupe BPCE, la baisse des ventes de logements dans l'ancien s'élèverait à 5 % en 2022.
L'impact du DPE et la hausse des taux d'intérêt devraient en effet ralentir le marché immobilier. En 2022, les prix de l'immobilier (dans l'ancien) devraient baisser. Le marché immobilier pourrait ralentir en 2022 et 2023.
Selon le réseau d'agence Century 21, au premier semestre 2022, l'apport personnel moyen était de 55 519 euros en moyenne. Soit plus de 20 % du prix total du projet d'acquisition. Il faut ainsi remonter au premier semestre 2011 pour voir des niveaux d'apport aussi hauts.
Les SCPI. L'immobilier, en période d'inflation, est aussi un actif recommandé. En effet, la valeur de votre bien (physique ou via la pierre papier) aura tendance à augmenter en même temps que l'inflation. En effet, dans le locatif l'indice de référence des loyers est indexé à l'inflation.
En somme, Rennes est une ville où il fait bon vivre… et investir en 2022 ! À l'heure actuelle, un appartement rennais se négocie aux alentours de 3 176 € du m2 et une maison à environ 3 525 € du m2. Les zones à privilégier sont les quartiers de Beaulieu, Sainte-Thérèse, la Gare et bien sûr l'hypercentre.
Taux crédit immobilier : vers une baisse à la rentrée de septembre 2022 ? Depuis janvier dernier, les emprunteurs se trouvent confrontés à une remontée sensible des taux d'intérêt. Pas un mois de l'année 2022 sans une hausse des valeurs, qui s'est par ailleurs accélérée avec le retour fracassant de l'inflation.
Le nombre de ventes enregistrées en juillet 2022 a diminué de 18,1 % par rapport à juillet 2021; Les transferts de propriété se sont élevés à 23 919, ce qui représente une baisse de 15,2 %; Le nombre d'hypothèques est également en baisse de 10,4 %; L'indice de difficultés financières connaît une baisse de 18,6 %.
Le prix médian des maisons dans la RMR de Montréal s'est élevé à 550 000 $ en juillet, en hausse de 10 % par rapport au prix médian de juillet 2021, mais en baisse de 5 %, depuis le sommet de 580 000 $ en avril-mai. Ailleurs au Québec, l'histoire est semblable. L'ampleur du ralentissement varie selon les régions.