Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.
Selon Kasun Ratnayake de l'Université de Tolède cité par le DailyMail, les humains du futur pourraient développer une paupière interne plus grande pour se protéger de l'exposition excessive à la lumière, ou avoir un cristallin, à l'intérieur de l'oeil, adapté à la lumière bleue.
On sera assez cheum
Un phénomène qui commence déjà puisque de plus en plus d'enfants naissent sans dents de sagesse, ces dernières ne servant plus à rien. Il se peut également qu'on ait des super méga double-mentons, et beaucoup moins de poils et des bras et des doigts très longs.
Contrairement à une idée reçue, l'homme continue d'évoluer. Le corps et le cerveau de nos ancêtres étaient aussi différents des nôtres que le seront ceux de nos descendants.
Et si les prévisions démographiques actuelles varient, il y a un consensus sur le fait que la population mondiale culminera vers le milieu du siècle et commencera à chuter ensuite : dès 2100, le nombre d'habitants sur Terre pourrait être inférieur à celui d'aujourd'hui.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
L'éducation sera accessible à tous, n'importe où, en tous temps. Parce qu'elle sera essentiellement numérique, et donc décentralisée et démocratisée. Il n'y aura plus les contraintes physiques que nous connaissons aujourd'hui, comme le besoin de se réunir à plusieurs dans une même salle.
Dans quatre milliards d'années, l'augmentation des températures de la surface terrestre provoquera un emballement de l'effet de serre. À partir de ce moment, la majeure partie, si ce n'est la totalité, de la vie en surface s'éteindra.
Il y a environ…
7 000 000 d'années : apparition des premiers ancêtres de la lignée des « hommes ». 3 500 000 ans : début de la bipédie prouvée par des traces de pas découvertes à Laetoli (Afrique, Tanzanie). 2 700 000 ans : Apparition de l'Homo habilis et premiers outils débités.
Des biologistes se sont récemment penchés sur la question de la longévité de la vie. Ils ont réussi à estimer la durée de vie maximale de l'homme, qui se situerait entre 120 et 150 ans, rapporte Scientific American.
La revue Nature nous dévoile que l'Homo erectus a survécu jusqu'à il y a un peu plus de 100 000 ans. Ce qui est bien plus récent que ce qui était cru jusqu'alors. En effet, cette espèce ancêtre de l'homme moderne a évolué il y a 2 millions d'années et est la première connue à marcher debout.
Mais si la fécondité et la mortalité demeurent égales à leurs niveaux actuels, les experts prédisent une Terre peuplée de 16 milliards d'humains en 2100. Une étude de la banque HSBC parue en 2022 prédit, quant à elle, une population mondiale de 4 milliards à la fin du siècle.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
Nous ne ferons plus face à de simples gratte-ciel, nous habiterons dans des méga-structures gigantesques, regroupant plusieurs tours. Mais le monde souterrain commencera lui aussi à être colonisé avec des structures d'habitations qui s'enfonceront jusqu'à 25 étages sous terre.
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
En 2100 nous vivrons surement dans une planète très chaude suite au réchauffement climatique. Les températures seront très élevées. Nous serons beaucoup sur la planète. Que mangerons-nous ?
Si les émissions de CO2 continuaient au rythme actuel, les chercheurs estiment aussi que d'ici 2150, la Terre sera revenue 50 millions d'années en arrière, à l'aube de l'évolution des premiers mammifères (les dinosaures ont disparu il y a 65 millions d'années). De nombreuses espèces en danger.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
En France, un réchauffement désormais évident
La hausse des températures en France est aussi plus élevée que la moyenne mondiale : +1,7 °C en France (contre +1,2 °C au niveau mondial). Le rythme de réchauffement est alarmant dans notre pays : +0,36 °C en moyenne tous les 10 ans.
plus généralement, changement climatique ; forte géoingénierie du Soleil ; explosion d'une supernova à faible distance du système solaire ; sursaut gamma orienté vers notre région de la galaxie.
« Cependant, certains s'inquiètent d'un monde surpeuplé, avec bien trop d'habitants et des ressources insuffisantes pour vivre ». En seulement 250 ans, la population mondiale a été multipliée par sept. Selon les projections de l'ONU, 10,4 milliards de personnes pourraient vivre sur Terre dans les années 2080.