Sans cloison entre vous et les autres personnes. Donc, on s'assoyait sur un trou, et on s'essuyait les fesses en passant le tersorium par un autre trou, entre les jambes, jusqu'à ce qu'elles semblent « propres ».
À partir d'Auguste l'empereur contrôle l'essentiel des finances de l'empire à travers le fiscus, une administration fiscale se met progressivement en place, les publicains cédant la place progressivement à des conductores puis à une administration directe dirigée par des procurateurs.
On y mangeait du fromage, des fruits, un peu de légumes, une bouillie (pecumia), du pain trempé dans du vin et, comme boisson, de l'eau ou du vin allongé. On consommait parfois des plats chauds, constitués souvent des restes de la veille.
Le déroulement de la cena
Manger allongé est une marque d'élégance et de supériorité sociale et, parfois, des esclaves rinçaient les pieds des invités avant le repas et on pouvait procéder à un sacrifice d'animal. Les classes les plus pauvres de la société ne prennent pas leurs repas allongées.
Le salut romain est un salut exécuté par le bras tendu en face de soi, avec la paume de la main dirigée vers le sol et les doigts serrés entre eux.
Le cri Sieg Heil (« Salut à la victoire », « Sieg » signifiant « victoire », et « Heil » signifiant « salut » dans le sens du salut de l'âme) accompagnait souvent le salut hitlérien.
Dans la Rome antique, les dieux étaient nombreux, on parle de religion polythéiste. Les Romains était un peuple profondément religieux et possédaient un ensemble complexe de croyances et d'actes rituels codifiés et organisés.
À Rome, tous aimaient vivre dans l'excès. Du sexe jusqu'à la boisson, sans oublier la gastronomie. Ainsi, les Romains se faisaient vomir afin de continuer à manger. Parfois, certains prévoyaient des bols de vomi sur leur table, d'autres vomissaient directement par terre.
Les matelas étaient de pourpre brochée en or, avec des fleurs et des feuillages de toutes couleurs. Les coussins sur lesquels s'appuyaient les convives étaient de même étoffe. Les Romains étalaient leur magnificence dans leurs lits de table. Ces meubles se déclinaient en fonction de toutes les saisons.
La plupart des romains mangeaient du blé et du froment. Les esclaves reçevaient régulièrement 1kg de céréales, du poisson salé, des olives, du sel et de l'huile. Les pauvres ont droit a du blé pour faire leur pain et mangent comme pendant la République c'est à dire peu.
La cena, repas principal de la journée
Les fruits (figues, raisins, coings, châtaignes, poires…) étaient servis en dessert. La plupart des soupers étaient ainsi modestes mais consistants. Cependant, chez les riches familles romaines et sous l'Empire, ce repas est devenu plus raffiné.
Une longue tradition de l'Antiquité
Le privilège de manger couché est alors accordé à tous les hommes libres. Les femmes, les enfants et les esclaves mangent par contre assis. À leur tour, les Romains vont se coucher à table, et les femmes feront progressivement de même.
Poires, pommes, raisins et prunes sont très fréquents mais par contre les Romains ne se servaient jamais ou très rarement de citron, d'abricot ou de pêche, originaires de Chine et cultivés en Asie Mineure. Autant de fruits qui ne leur sont parvenus qu'au premier siècle après JC.
A l'école romaine
Les garçons allaient à l'école, appelée "ludus ", dès l'age de 6 ans et la quittaient vers 11 ans. Les plus riches continuaient des études à l'école secondaire nommée "Grammaticus". Les filles restaient chez elles. Leurs mères leur apprenaient à tisser et à filer.
Le principe est le suivant : un four (14) chauffe de l'air qui circule par des tuyaux (12) sous le plancher surélevé (13). Au contact de l'eau, il produit un bain de vapeur et porte l'eau à température. Sous l'Empire, tout Romain se rend aux bains quotidiennement.
Les hommes se rendaient aux thermes avant le repas principal (cena), tandis que les femmes y allaient le matin. Ce sont des lieux de grande mixité sociale, devenus une caractéristique de la culture romaine.
Au temps des pharaons, vers -3400 avant J-C, les égyptiens découvrent les avantages d'élever une structure, une forme de lit.
On dit que les lits étaient courts parce qu'on y dormait assis. Était-ce réellement le cas? Les habitudes médiévales semblent contredire cette explication. En effet, au Moyen-Âge, on recommandait de dormir allongé, sur le côté.
La chambre à coucher des anciens Romains s'appelait Cubicola. C'étaient de petites pièces, le plus souvent sans fenêtres et ouvertes sur les côtés gauche et droit de l'atrium. Généralement, les propriétaires dormaient dans des lits divisés, parfois dans une chambre, parfois dans deux chambres séparées.
Leurs outils de nettoyage dentaire n'étaient en réalité que des tiges en bois sans poil sur lesquelles ils appliquaient de l'opiat, l'ancêtre du dentifrice. Les Romains de leur côté, utilisaient déjà des mixtures pour se blanchir les dents ! Mais, elles pouvaient être fabriquées avec de l'urine humaine…
Les vomitoires (du latin vomirotium, issu de vomere, « vomir » dans le sens d'expulser) étaient des passages voûtés dans les caveae des amphithéâtres ou les théâtres romains facilitant la circulation des spectateurs.
Large passage qui permettait un accès facile aux différents étages et gradins dans les théâtres et amphithéâtres et qui facilitait la sortie des spectateurs.
Ils vivaient cachés des humains sur le mont Olympe en Grèce dont le sommet est très souvent caché par les nuages. Les récits des aventures multiples des dieux et des déesses constituent la mythologie grecque dont les Romains s'inspireront pour fonder leur propre mythologie.
Jupiter, dieu souverain, occupe la place centrale dans la religion d'Etat. Avec Junon, qui représente la part féminine de la souveraineté, et Mercure, déesse de la bonne rationalité, il fait partie de la Triade capitoline dont le temple est sur le grand sanctuaire d'Etat, la colline du Capitole, à Rome.
Le sacrifice est sanglant s'il implique le sacrifice d'animaux domestiques. Un partage de la victime est alors réalisé. Les exta, les abats de la victime, sont offerts à la divinité en les brûlant tandis que les hommes bénéficient du reste de la viande de la victime.