Le traitement de l'addiction aux jeux vidéo passe par une prise en charge psychologique à l'aide le plus souvent d'une thérapie cognitivo-comportementale (TCC). Le but du traitement est de réduire et contrôler le temps de jeu, l'abstinence n'étant en générale pas réaliste.
Ne débranchez surtout pas l'ordinateur ou la console
Cette frustration pourrait également se déplacer vers une autre addiction. Une alternative est d'installer l'écran de jeu dans le salon, cela générera une proximité avec le monde autour : il. elle est en train de jouer mais il.
Faites-lui porter une montre pour éviter qu'il regarde constamment l'heure sur son téléphone… et équipez sa chambre d'un réveil analogique : pas d'excuse pour garder son portable la nuit ! Encouragez-le à faire du sport, proposez autant que possible des activités en famille et/ou avec ses amis loin des écrans.
- un sentiment de vide ou de déprime loin des écrans ; - une agressivité en cas d'impossibilité d'accéder aux écrans ou au réseau ; - une absence d'intérêt pour toute autre activité, y compris les occupations habituellement appréciées (ex. : scolarité, travail, moments passés en famille ou entre amis).
Face à un problème d'addiction, le mieux est de se rendre dans une consultation d'addictologie spécialisée. L'addiction aux écrans fait l'objet du même traitement que les addictions reconnues médicalement, à savoir une psychothérapie comportementale.
la lumière bleue émise par les écrans contribue à bloquer la production de mélatonine et favorise ainsi l'éveil, même à des niveaux faibles d'exposition ; les activités sur écrans maintiennent notre cerveau dans un état d'excitation intellectuelle peu propice à l'endormissement.
3 à 6 ans : 20 min. 6 à 8 ans : 30 min. 8 à 10 ans : 45 min. après 10 ans : 1 h.
1 heure par jour de jeu vidéo, ça suffit.
- 75 % des jeunes âgés de 10 à 15 ans jouent quotidiennement aux jeux vidéo. - les enfants qui jouent une heure par jour semblent plus à l'aise dans leur vie que ceux qui ne jouent pas du tout.
Des problèmes de santé avec une fréquence importante de dépression, d' angoisse et risques d'addictions multiples : problèmes d'alcool ou de toxicomanie. Des taux plus élevés de suicide. Des conséquences sociales : séparations et problèmes familiaux. Participation à des activités illégales pour continuer à jouer.
Depuis le 18 juin 2018, l'addiction au jeu vidéo est reconnue comme une maladie à part entière par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). Elle porte le nom de « gaming disorder ».
Le problème de l'excès de jeux vidéo
Problèmes d'humeur (par exemple, dépression), anxiété, ainsi que sentiment de suicide ; Inattention/hyperactivité ; Toxicomanie ; Problèmes de sommeil.
On l'appelle le gaming disorder en anglais. Le trouble du jeu vidéo en français. L'Organisation mondiale de la santé a décidé de reconnaître ce trouble comme une maladie.
L'application Family Link de Google, intégrée aux Chromebooks et qu'on peut télécharger sur les appareils Android, vous aide à faire respecter des limites et des horaires de temps d'écran.
Hyperactivité, impulsivité, difficultés d'apprentissage
Dès cet âge, ils y passent en moyenne 30 minutes et près de deux heures par jour à 5 ans. Et plus ce temps d'écran augmente et plus de l'hyperactivité, de l'impulsivité et même des difficultés d'apprentissage ont été observées chez les plus jeunes.
Puis il passe aux jeux d'imitation : il joue à faire semblant. Puis aux jeux relationnels. Après, ce sont des jeux symboliques : il prend des personnages et leur invente des histoires. Il utilise son imagination et augmente sa capacité à s'autonomiser.
Combien de temps dois-je prévoir entre l'arrêt des écrans et l'heure du coucher ? Éteignez tout écran au moins 2 heures avant le coucher. Les enfants et les adolescents sont particulièrement sensibles à la lumière des tablettes, téléphones et ordinateurs. Celle-ci retarde l'endormissement.
Les auteurs concluent donc que l'exposition aux écrans le matin avant d'aller à l'école favorise les troubles du langage. "Cela peut s'expliquer par le fait que cela épuise l'attention de l'enfant, qui se retrouve moins apte aux apprentissages pour le reste de la journée", écrivent-ils.
Dans un chat sur LeMonde.fr, Serge Tisseron, psychiatre et psychanalyste, estime que la télévision "peut probablement aggraver tous les troubles qu'un enfant peut présenter : troubles du sommeil, troubles de la concentration, troubles de l'attention, troubles de la prononciation".
Une utilisation prolongée des écrans peut causer une sécheresse oculaire (du fait qu'on cligne cinq fois moins des yeux quand on regarde un écran), une fatigue visuelle, une vision trouble, des maux de tête, des yeux qui chauffent ou qui picotent de même qu'une perte d'attention ou de concentration.
Avoir des troubles musculo-squelettiques (main, pouce, coude, épaules, cervicales) ; Développer potentiellement des pathologies liées aux ondes émises par l'appareil ; Diminution de certaines capacités cognitives comme la mémoire, le langage, l'attention et la concentration.