Des massages ou des séances de kinésithérapie La kinésithérapie peut être proposée en phase de douleur, mais également en postopératoire ou lorsque la douleur a disparu afin d'éviter une nouvelle sciatique, précise le Centre du rachis sur son site internet.
L'afflux sanguin est essentiel pour favoriser la cicatrisation du disque vertébral. D'autre part, l'action Champ de Fleurs permet de détendre les muscles et les nerfs. Cette détente permet aux muscles de mieux supporter le poids du corps et de soulager la charge supportée par le disque intervertébral hernié.
Le plus souvent, il n'est pas nécessaire d'opérer. Des médicaments antalgiques, des anti-inflammatoires et des myorelaxants permettent de surmonter la crise douloureuse. On peut aussi y associer de la kinésithérapie et des infiltrations. Avec de tels traitements, la hernie disparaît d'elle-même huit fois sur dix.
Une hernie discale a tendance à régresser toute seule en quelques semaines. Le disque peut reprendre sa place naturellement. Mais une prise en charge est parfois indispensable pour soulager notamment la douleur et l'inconfort de la personne touchée.
La première mesure pour soulager une hernie discale consiste à prendre du repos. Pour mettre fin à la douleur, un traitement à base d'analgésiques, d'anti inflammatoires et relaxants musculaires peut être prescrit par le médecin. Lorsque la douleur est insoutenable, le médecin peut injecter les médicaments antidouleur.
La plupart (80 à 90 %) des sciatiques par hernie discale guérit avec un traitement médical comportant un repos relatif, des anti-inflammatoires (éventuellement des corticoïdes), des décontracturants musculaires, et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander de 6 à 8 semaines pour être efficace.
Le principal traitement de la hernie discale consiste à soulager la douleur et l'inflammation à l'aide de médicaments antalgiques (paracétamol, codéine, tramadol, par exemple) ou d'anti-inflammatoires non stéroïdiens (par exemple, l'ibuprofène).
Les hernies discales qui n'induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l'âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l'effort ou le fait de se pencher en avant.
L'opération de la hernie discale est proposée seulement lorsque la hernie comprime une racine nerveuse, provoquant une sciatique, et que le traitement médical composé d'antidouleurs, d'anti-inflammatoires, de décontractants musculaires et d'infiltrations, ne soulage pas la douleur.
Si les traitements conservateurs sont presque toujours suffisants, la chirurgie s'impose dans 5% des cas. La hernie discale est l'une des pathologies du dos les plus fréquentes.
La prise en charge initiale est réalisée par le médecin généraliste, le rhumatologue ou le neurologue. Elle passe par la prescription de traitements médicamenteux de kinésithérapie, voire d'infiltrations de manière à faire taire les symptômes le temps que le corps résorbe la hernie.
Comment traiter une hernie discale ? En première intention, le traitement repose sur la prise de médicaments antidouleurs et anti-inflammatoires ainsi que le suivi de conseils de posture, accompagnés ou non de physiothérapie. Dans les cas les plus tenaces, une infiltration de corticoïdes peut être proposée.
La meilleure position pour dormir est la position dorsale, mais il ne faut pas que vous soyez totalement à plat. Pour soulager vos douleurs, vous pouvez dormir avec un coussin positionné sous votre tête et un oreiller supplémentaire placé sous vos genoux. Cela préserve la courbure du dos et évite les tensions.
Le traitement médicamenteux comporte des anti-inflammatoires (voire des corticoïdes), des décontracturants musculaires et des antalgiques. Ce traitement médical peut demander 6 à 8 semaines pour être efficace. En cas d'inefficacité de ce traitement, des infiltrations lombaires de corticoïdes peuvent être proposées.
NON, il existe des risques infectieux, des risques de douleurs chroniques, des risques de récidive. 9 fois sur 10, l'histoire naturelle et la prise en charge médicale s'accompagnent d'une guérison dans un délai pouvant aller jusqu'à quelques mois, alors PATIENCE !
Habituellement, le premier signe que vos racines nerveuses sont irritées par un trouble cervical est la présence de douleur dans les bras et dans le cou. Des symptômes tels que l'engourdissement, les picotements et la faiblesse dans les muscles des bras peuvent signaler un problème plus grave.
une sensation d'anesthésie au niveau du périnée et de l'anus ; parfois, des difficultés à uriner, voire une rétention des urines, ou une paralysie du sphincter de l'anus et de l'incontinence ; chez les hommes, des troubles de l'érection ; parfois, des perturbations au niveau des réflexes de la jambe.
Les personnes peuvent également ressentir de la raideur, des tensions, des sensations de faiblesses musculaires et parfois une sensation altérée ou diminuée au niveau d'une jambe et une fatigue accrue au bas du dos. D'ailleurs, les tâches qui requièrent des efforts du bas du dos sont souvent très pénibles.
Ensuite on rapporte cette sciatique, cette douleur à un phénomène. Et dans 95% de cas, ce phénomène est une hernie discale. "La hernie discale n'est pas identifiable sur des radiographies. Elle est identifiable sur un scanner, sur une IRM ou alors avec un examen plus ancien : la saccoradiculographie."
Si vous avez une hernie discale lombaire, vous pouvez ressentir une douleur qui irradie depuis le bas du dos, le long d'une ou des deux jambes et parfois jusqu'à vos pieds (appelée sciatique). Vous pouvez ressentir une douleur semblable à une décharge électrique.
Autrement dit, si vous souffrez d'une hernie discale, il vous est tout à fait possible de pratiquer des sports comme la marche, le vélo, la natation (crawl) ou encore l'aquabiking, qui sont des activités sans risque pour votre dos !
Vous pouvez par exemple vous accorder quelques minutes d'étirements en douceur au niveau du dos et des jambes, ou enchaîner quelques postures de yoga préconisées. On peut aussi se demander s'il faut marcher avec une sciatique, et la réponse est oui, sans pour autant rester debout toute une journée.