Le manque de concentration peut être dû à la fatigue (parce qu'on s'est couché trop tard la veille ou parce que la partie est longue), à une cause extérieure (environnement bruyant) et, peut-être le plus souvent, à un manque de volonté réelle de se concentrer : penser que son adversaire est faible, ou au contraire qu' ...
En cas d'échec, il est donc important de rester bienveillante avec soi-même. La technique du meilleur ami est alors très utile. Elle consiste à s'adresser à soi-même de la même manière qu'à un ami afin de faire la part des choses entre ses qualités profondes et un petit échec ponctuel.
L'atychiphobie \a.ti.ki.fɔ.bi\, ou la peur de l'échec, ou kakorraphiophobie, est une peur anormale, exagérée et persistance de l'échec. Elle est un type de phobie spécifique.
Pourquoi je ne réussis pas ? Tout d'abord et c'est selon moi très important à comprendre, la réussite dépend de deux facteurs : l'action et l'état d'esprit. Si l'un des deux vous manque vous allez avoir du mal à réussir ce que vous souhaitez.
Écoutez-le en silence et laissez-le exprimer les émotions nées de cet échec X Source de recherche . Demandez-lui ce qu'il ressent et laissez-le parler aussi longtemps qu'il en a besoin. Vous pourrez dire quelque chose comme « dis-moi ce que tu ressens. Je t'écouterai aussi longtemps que tu en as besoin ».
Gagner des matchs et des jeux. Jouez de façon méthodique et stratégique, en restant détendu. Même dans les jeux qui impliquent une certaine rapidité, comme les échecs de parties rapides ou les compétitions sportives, le joueur qui garde son calme est habituellement celui qui s'en sort victorieux.
Pour minimiser la peur de l'échec, il est préférable de : voir le bon côté des choses en tirant un enseignement positif; envisager tous les résultats possibles ; avoir un autre plan en cas d'échec ; demander de l'aide ; penser aux regrets que l'on peut avoir si on n'essaye pas et établir des objectifs atteignables.
Il faut s'approprier les faits, regarder le raz de marée en face, faire face à la souffrance qui est là. Il faut apprendre à vivre autrement, à vivre avec ce qui a été perdu, avec ce qui ne sera plus jamais à l'écho de ses rêves, en établissant d'autres projets, en redonnant du sens à ce qui est et à ce qui n'est plus.
Il vous faudra : Faire la paix avec vous-même, ne pas vous en vouloir pour les actes manqués, ne pas vous sentir « nul » de n'avoir pas toujours pris les bonnes décisions, etc. Arrêter de vous sentir comme une victime (de la vie, des évènements, des autres) et vous prendre en main.
"Pour ne pas être déçu(e) et avoir l'impression de rater sa vie, le mieux c'est de se fixer des objectifs à court ou moyen terme et surtout d'être créatif dans la façon de la façon de les atteindre".
Si pour toi, "rater sa vie", c'est avoir fait un choix trop rapide à un certain moment, sache qu'il y aura d'autres choix et d'autres possibilités de se remettre sur les rails ou au moins améliorer le quotidien. Et on peut faire le point sur ce qui a été fait de positif, et ce qu'il reste à faire.
Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
Dans un monde en perpétuel changement, où l'épanouissement personnel est devenu le nouveau graal, chacun aspire à se construire une vie heureuse, tant sur le plan personnel que professionnel. Or, ce chemin est souvent semé d'embûches. Tout le monde connaît des échecs dans sa vie.
Qu'est-ce qu'un échec professionnel ? Tout cela est subjectif. Pour moi, c'est rester plusieurs années dans une entreprise et/ou dans un poste qui ne nous fait pas vibrer. Pour d'autres, ce sera le fait de "ne rester qu'un an" dans chaque poste, quelle instabilité Madame !
Alors la première raison qui peut pousser à l'échec un zèbre, c'est tout simplement lorsque il n'est pas au courant de son potentiel. En fait, on vu qu'on a un fonctionnement atypique et complètement différent, il est primordial d'être au courant de sa douance pour mieux la vivre.
Vous souffrez sûrement de kakorrhaphiophobie : cette peur au nom tarabiscotée est celle de l'échec. Si la crainte d'échouer est un sentiment plutôt normal pour tout un chacun, elle peut devenir totalement paralysante et se transformer en véritable phobie.
La peur de réussir se caractérise très souvent en réalité par la procrastination au moment du lancement d'un projet, de sa concrétisation ou lorsque vous êtes proche de vos objectifs. Bizarrement, vous vous apercevez qu'il y a toujours un frein à lancer votre projet ou encore à finaliser vos objectifs.