Quels traitements pour ces spasmes ? Des médicaments antimuscariniques amoindrissent les symptômes de la vessie hyperactive. Ils peuvent calmer les spasmes de la vessie et atténuer les fuites urinaires. Un antispasmodique urinaire (mirabégron) est aussi utilisé contre l'incontinence par impériosité.
Ce phénomène est provoqué par l'activation des nerfs participant à l'estimation du volume des urines, généralement suite à une inflammation locale ou à la présence d'un corps étranger. Il en résulte une sensation permanente que la vessie est pleine.
Un spasme, ou contraction de la vessie, n'est pas douloureux mais très gênant, puisqu'il y a une urgence à uriner et cela se produit encore et encore, le jour comme la nuit. Ce problème entraîne souvent des fuites urinaires. Il s'agit d'une incontinence par impériosité ou problème de « vessie hyperactive ».
Le médicament le plus fréquemment employé est le diméthyl sulfoxide (DMSO). Selon le cas, la solution doit être conservée dans la vessie de 15 à 60 minutes, puis éliminée en urinant. Elle est généralement administrée toutes les semaines pendant 6 semaines.
Ce médicament est un antispasmodique. Il lutte contre les contractions anormales et douloureuses de l'intestin, des voies biliaires, des voies urinaires et de l'utérus.
L'eau minérale de la marque Hépar
Il est primordial de boire au minimum 1,5 litre d'eau par jour, surtout si vous êtes particulièrement sensible aux cystites. L'Hépar est généralement recommandée car il s'agit d'une eau composée de minéraux qui réduit les risques de constipation.
La fistule colo-vésicale désigne une connexion anormale entre la vessie et le côlon. Il s'agit par exemple d'une complication rare de la diverticulose colique, une maladie se caractérisant par la présence de diverticules à l'intérieur de la paroi du côlon.
Riche en vitamine A et D, l'ananas soulagera les irritations de la vessie. - Les fraises : autre fruit très riche en vitamines et antioxydants, elles sont aussi riches en micronutriments pour protéger votre système urinaire et rénal.
Cela se produit parce que les muscles de la vessie commencent à se contracter involontairement même lorsque le volume d'urine dans votre vessie est minime. Cette contraction involontaire entraîne le besoin urgent d'uriner. L'envie se produit plus fréquemment que ce qui est considéré comme normal.
Se lever plus de deux fois la nuit pour aller uriner, est considéré comme un peu excessif. En effet, à partir de plus de 2 réveils on parle de nycturie. Cela peut révéler un mode de vie non adéquat, voire un problème médical.
3. Le citron. Acide et donc irritant pour la vessie, le citron – tout comme les autres agrumes — vous donnera envie d'aller aux toilettes.
Une envie d'uriner trop fréquente est parfois le signe d'une hyperactivité de la vessie. L'hyperactivité vésicale résulte d'une contraction anormale du muscle de la vessie, dont la cause n'est pas identifiée.
"Il existe de nombreux antispasmodiques naturels. On peut citer la mélisse qui est une plante extraordinaire sur le spasme. De plus, elle est un peu sédative et souvent les colopathes ont besoin d'être un peu apaisés. On peut aussi utiliser le basilic, l'estragon, la passiflore…
Si la douleur est trop intense, un médicament antidouleur, tel que le paracétamol (Doliprane, Dafalgan) peut soulager les personnes atteintes de cystite.
Le syndrome douloureux vésical ou cystite interstitielle se définit par une douleur pelvienne chronique (depuis plus de 3 mois), exprimée en termes de pression ou d'inconfort, perçue en relation avec la vessie, accompagnée par une envie persistante et forte d'uriner et/ou d'une pollakiurie (plus de 8 mictions par jour) ...
La vessie neurogène est un dysfonctionnement (vésical atone ou spastique) provoqué par des lésions neurologiques. Les symptômes peuvent comprendre une incontinence par regorgement, une pollakiurie, des mictions impérieuses, une incontinence par impériosité et une rétention.
Dans environ 20 % des cas, le patient se plaint également de douleur en urinant, d'envies fréquentes d'uriner, de sensations de brûlures au niveau du pubis ou du périnée, de spasmes de la vessie ou de douleurs dans le bas du dos.