Une ambiance de travail délétère peut, au contraire, être un facteur de risques psychosociaux. Y compris pour un collaborateur dont le travail est essentiellement solitaire : une mauvaise ambiance n'est pas sans conséquence sur la santé mentale et le moral et à fortiori sur la vie sociale au travail.
« Cela nécessite d'avoir une personne face à soir qui ait de l'intelligence émotionnelle. Si ce n'est pas le cas, on peut faire appel au N+1 pour faire face aux non-dits ou à l'inavouable » et ainsi libérer la parole. Et si il vous arrive d'être vous-même désagréable, pas de panique, on peut réparer.
L'idée est de passer du temps entre collègues et de se déconnecter de toute technologie, comme les courriels et les téléphones. Après, vous pouvez même partager des bonbons et des chocolats, cela ne peut que détendre l'atmosphère.
La mauvaise ambiance au travail n'est en réalité que la conséquence d'événements, d'idées, de malentendus etc, survenus en amont, qui perdurent dans le temps, et dont les origines ont été « oubliées ». Elle peut être la conséquence de conflits dans un ou plusieurs groupes.
En effet, les causes d'un mal-être au travail peuvent être très nombreuses : l'ambiance avec ses collègues, les relations avec son manager ou les clients de l'entreprise, la nature des tâches à accomplir, les horaires etc. Souvent on sait que cela ne va pas, mais on a dû mal à identifier la cause exact.
Les motivations conscientes ou inconscientes d'un collègue qui ne vous "aime" pas peuvent être multiples : manque de confiance en soi, jalousie, rivalité, envie, peur,… Dans tous les cas, ses projections lui appartiennent. Acceptez-les sans les prendre sur vous.
Il est essentiel d'ouvrir le dialogue avec la victime, et, dans tous les cas, de pouvoir fournir des témoignages. Si vous êtes visé par les actes d'humiliation, recueillez ces témoignages auprès de vos collègues. Sachez aussi que la médecine du travail joue un rôle important.
Comment intervenir face au mal-être au travail ? Le premier instrument de lutte contre ce mal-être est le dialogue régulier entre le manager et le salarié. Il permet souvent d'identifier rapidement des signes précurseurs : irritabilité, saute d'humeur, discours critiques, dévalorisation personnelle.
Irritabilité, stress, perte de motivation, répercussions sur la santé physique et mentale, incapacité à prendre du recul, erreurs récurrentes, fatigue : il s'agit parfois de petits signes, mais ils sont à prendre très au sérieux dès lors qu'ils apparaissent.
Votre mal-être au travail est peut-être dû à l'ennui, à un manque de challenge. Vous avez fait le tour de votre emploi et vous avez besoin de nouveauté. Pour remédier à cette souffrance, votre employeur peut vous proposer un aménagement de poste ou un changement de poste.
L'ambiance rend heureux au travail
Travailler dans une bonne ambiance est primordial pour se sentir bien au travail et être au top de sa productivité. Avoir des collègues sympas, à l'écoute et dans l'échange permet de créer un environnement de travail sain et agréable.
L'amélioration du climat social passe donc par l'instauration d'indicateurs RH, la mise en place d'un baromètre social, une attention particulière au dialogue social et à la communication interne ainsi qu'à la qualité de vie au travail.
Communiquez avec vos salariés pour une bonne ambiance de travail. S'il y a bien un élément essentiel au bonheur au travail, c'est bien la communication. En effet, une communication claire, précise et bien maîtrisée permet de créer une ambiance de confiance et de limiter les ragots.
Un bon de travail est un document par lequel les gestionnaires autorisent les travailleurs à accomplir des tâches. Également connus sous le nom d'ordre de travail ou d'ordre de service, les ordres de travail sont couramment utilisés pour gérer les opérations de maintenance dans tous les secteurs.
Les causes de la souffrance au travail peuvent être multiples : une forte pression au travail peut être ressentie en raison d'un niveau d'exigence élevé, d'un faible niveau de contrôle sur la situation ou d'un manque de soutien social de la part de la hiérarchie ou de l'équipe.
Un travail sur soi est nécessaire pour arriver à donner moins d'emprise à cette phobie. Se faire accompagner par un psychologue ou un psychiatre est vivement conseillé. Divers outils thérapeutiques sont à disposition et peuvent aider à faire face cette peur.