Le tablier du pont est porté par une ou plusieurs arches en bois, en pierre, en acier ou en béton armé. L'arche transmet le poids de l'ouvrage sur ses appuis. La structure a tendance à s'écarter, il faut alors que le sol résiste à cet effort pour que l'ouvrage reste debout.
Mais en règle générale, depuis la plus haute antiquité, on utilise des batardeaux, c'est-à-dire des caissons étanches que l'on immerge à l'emplacement des piliers et que l'on vide pour accéder au lit du cours d'eau. Le pilier du pont est alors construit à l'intérieur du batardeau.
Le pont en arc est comprimé, c'est ce qui le fait « tenir ». Le principe d'un pont en arc est de transférer tout le poids et les charges du pont vers les culées via l'arc. La puissance des charges est donc administrée sur les culées, ce qui a pour conséquence la poussée vers les côtés.
Comment stabiliser une structure ? Afin de construire des ponts stables et légers à la fois, le principe technique du treillis est utilisé. Chaque groupe dispose de tiges type meccano, de longueur identique, de vis, d'écrous et de l'outillage nécessaire pour le montage.
Les ponts suspendus sont un type particulier de pont : le tablier est attaché avec des tiges de suspension qui sont verticales, à des câbles flexibles ou des chaînes (ayant des extrémités reliées aux culées situées sur les berges).
Pour assurer sa stabilité, il faut fixer les ponts 2 colonnes sur une dalle en béton d'une épaisseur minimum de 20 cm avec une résistance d'au moins 2,1kg/mm. Assurez-vous de réserver une distance d'au moins 1 mètre 50 autour du pont et le dénivelé entre les colonnes doit être de moins de 2 millimètres.
L'arche assure une plus grande force de la structure en exerçant des pressions vers le bas et sur les côtés contre la culée. C'est l'arche qui rend le pont solide. Il peut y avoir plusieurs arches. Ce sont les poutres enfoncées dans le sol et les poutres placées pour former des triangles qui solidifient le pont.
✓ les éléments structuraux (murs, planchers…) assurent la stabilité et la résistance du bâtiment sous l'effet des charges (gravité, vent, séisme…), ✓ les éléments non structuraux (cheminées, cloisons, éléments de façade, plafonds suspendus…)
Pour garantir sa solidité et lui permettre de remplir sa fonction, un renforcement de sa structure peut être à envisagée. Une des méthodes utilisées par les ingénieurs et les gestionnaires de ponts est l'ajout d'armatures additionnelles.
Il existe plusieurs techniques permettant de rigidifier la structure du bâtiment : chaî- nage, réalisation de linteaux au-dessus des ouvertures, création d'un vide sanitaire ou d'un sous-sol général, etc. La mise en place de chaînages est la mesure la plus recommandée en cas de risques de distorsion de la structure.
Le tablier du pont est porté par une ou plusieurs arches en bois, en pierre, en acier ou en béton armé. La structure exerce sur ses appuis des forces qui ont tendance à les écarter. Le tablier peut être en dessus de l'arc ou en-dessous.
Fonctionnement d'un pont
En réalité le pont est relié à plusieurs réseaux locaux, appelés segments. Le pont élabore une table de correspondance entre les adresses des machines et le segment auquel elles appartiennent et "écoute" les données circulant sur les segments.
Et quand on dit que de l'eau a coulé sous les ponts, eh bien, on dit que beaucoup de temps s'est écoulé, beaucoup de temps est passé. Donc, si on dit « de l'eau a coulé sous les ponts », ça veut dire « il y a longtemps ».
Les joints de chaussée permettent d'assurer la continuité de la circulation sur le tablier d'un ouvrage type pont ou viaduc. C'est une coupure qui permet, notamment, à la structure de se dilater en fonction du trafic, de la température, etc…
« Ça permet de travailler sans stress et de rendre la chaussée à la circulation dès 7 h du matin, avant le gros du trafic… »
Pour une stabilité sûre, fixez le pont élévateur 2 colonnes sur une dalle en béton d'une épaisseur d'environ 20 centimètres minimum et une résistance de 2,1 kg/mm. Lorsque votre dalle est coulée, attendez au moins 1 mois pour qu'elle ait eu le temps d'atteindre la résistance maximale.
La solution est d'appliquer une huile qui va le nourrir et le protéger des intempéries et des rayons ultraviolets. Cette phase est la plus délicate car il faut que le bois soit sec et, si possible, légèrement chaud. L'idéal, par exemple pour un pont, est d'opérer par une belle matinée lorsqu'il n'y a plus de rosée.
En somme, retenez qu'il existe plusieurs types d'effort pouvant être soumis aux ponts. Il s'agit de ceux de compression, de traction et bien sûr de flexion. D'autres contraintes comme le cisaillement et la torsion viennent compléter la liste.
Une structure est stable lorsqu'elle repose solidement sur une base et que son centre de gravité se trouve à l'intérieur de points d'appui. Généralement, plus une structure a une base large, plus son centre de gravité est bas et plus elle est stable.
L'étude de stabilité d'une construction comprend notamment :
Analyse des contraintes de site (portance du sol, présence d'eau, topographie…) Analyse des besoins spécifiques (type d'utilisation, charges particulières, adaptabilité…)
Afin d'assurer la stabilité globale d'un bâtiment, il est nécessaire que celui-ci soit contreventé selon au moins 3 plans verticaux non colinéaires et un plan horizontal ; on distingue donc les contreventements verticaux (destinés à transmettre les efforts horizontaux dans les fondations) des contreventements ...
L'ennemi des ponts, c'est l'eau.
Contrairement aux ponts suspendus, qui tiennent grâce à deux câbles principaux ancrés sur les rives, les ponts à haubans tiennent grâce à de nombreux câbles obliques partant d'un pylône supportant le tablier qui supportera en fin de compte tout le poids du pont.
Le tablier du pont de Brooklyn est en acier, ce qui le rend plus résistant.