Il faut aussitôt appeler les secours et placer la personne dans l'endroit le plus frais du lieu, la dévêtir, l'asperger d'eau et la ventiler sans retenue. Il faut des conditions caniculaires pour que le thermostat de notre corps, calé sur 37 °C, se dérègle.
Ils préconisent plutôt une immersion lente en passant de l'eau derrière la nuque et en entrant par palier dans l'eau. Ces précautions sont importantes pour éviter le choc thermique non contrôlé.
Des démangeaisons, des frissons, des crampes, des maux de tête ou encore un sentiment d'angoisse peuvent indiquer un début de choc thermique et doivent amener à sortir de l'eau immédiatement.
Le refroidissement brutal appelé choc thermique ou hydrocution, est un accident fréquent qui survient l'été et qui est causé par une entrée trop rapide dans l'eau froide, et par une trop grande différence de température entre le corps et l'eau.
au premier stade : tremblements, mauvaise articulation; au stade intermédiaire : pouls faible et ralenti, respiration lente, manque de coordination, irritabilité, confusion et somnolence; au stade avancé : respiration et pouls faibles, irréguliers ou absents. La personne peut être inconsciente.
Ce cas grave peut entraîner une perte de conscience, suivie d'un arrêt respiratoire en raison d'une respiration qui se ralentit drastiquement, et peut même conduire à la mort du patient.
➢ forte température corporelle qui peut atteindre et dépasser 40 °C : le corps ne parvient plus à réguler sa température et les symptômes suivants peuvent apparaître : peau chaude, rouge et sèche, maux de tête violents, confusion et perte de conscience, éventuellement convulsions.
Pour éviter les chocs thermiques trop importants, essayez de ne pas vous exposer trop longtemps au soleil. Plus votre température corporelle sera élevée et plus les risques d'hydrocution seront élevés. Evitez également de consommer trop d'alcool et de manger trop copieusement.
Les symptômes d'épuisement par la chaleur sont souvent vagues et les patients peuvent ne pas réaliser que la chaleur en est la cause. Les symptômes peuvent comprendre une sensation de malaise, une asthénie, un état vertigineux, des céphalées, des nausées et parfois des vomissements.
Les risques d'hydrocution après avoir mangé
Ce terme définit un choc thermique, soit un corps très chaud plongé dans un environnement froid (l'eau). L'attente digestive servirait donc à éviter cette fameuse hydrocution.
Selon une croyance populaire qui ne repose sur rien de concret, se baigner après le repas exposerait à un risque de noyade. Pour l'éviter, il faudrait attendre trois heures, pouvaient entendre autrefois les enfants de la génération des baby-boomers. Or, c'est faux, répondent les médecins.
Résultant d'une exposition prolongée à la chaleur, il provoque une surchauffe du corps, qui se traduit par une fièvre élevée, une rougeur du visage, des maux de tête, une forte sensation de soif voire des vomissements et des troubles de la conscience.
La thermothérapie doit être évitée dans la phase aiguë d'une blessure lorsque l'enflure est présente et que la peau est chaude au toucher. La chaleur humide est préférable à la chaleur sèche parce qu'elle pénètre plus en profondeur pour atteindre les muscles, les ligaments et les articulations.
L'application de compresses froides ou de poches de glace calme les douleurs et empêche la partie lésée d'enfler exagérément. Ne placez jamais de glaçons en contact direct avec la peau (risque de gelure), mais entourez-les de plastique et d'un linge, par exemple.
Les ponts thermiques provoquent non seulement des déperditions de chaleur, mais refroidissent aussi plus rapidement l'air chaud de la maison qui entre en contact avec ces surfaces froides. De la condensation se forme alors, ce qui favorise l'apparition de mauvaises odeurs et de moisissures.
En effet, lorsqu'il fait froid, notre corps va fournir du sang aux organes en ayant tendance à délaisser les extrémités -mains, pieds, nez… - qui, dès lors qu'elles sont refroidies, altèrent un peu la réponse immunitaire.
Une forme de sagesse populaire préconise d'attendre la fin de la digestion, donc deux ou trois heures, avant d'aller se baigner, pour éviter une hydrocution.
Il peut en découler des malaises (étourdissements, voire évanouissements), frissons, crampes, problèmes de circulation et même des douleurs articulaires. Dans la même idée, un choc thermique peut aussi causer des saignements de nez (épistaxis).
Et c'est au niveau des extrémités (mains, doigts, pieds) que nous atteignons la température la plus froide égale à 30°.
L'hypothalamus est le centre de contrôle de la thermorégulation. C'est là que se trouvent des récepteurs sensibles à la température (thermorécepteurs) qui enregistrent la température du noyau central. L'hypothalamus reçoit des informations complémentaires des thermorécepteurs de la peau et de la moelle épinière.
difficultés à marcher et à bouger ; manque d'attention, perte de jugement et de mémoire ; peau froide et grise ; fatigue et somnolence.
Les premiers symptômes de l'hypothermie sont des frissons intenses et des claquements de dents. Lorsque la température corporelle chute encore, Les frissons s'arrêtent.
La température normale du corps est comprise entre 36°C et 37,2°C selon le Vidal (elle varie en fonction du mode de prise, voir ci-dessous). Au-delà, on parle alors d'hyperthermie et de fièvre au-dessus de 38°C. Au contraire, on parle d'hypothermie quand la température corporelle est en-deçà de ces valeurs.