La baseLieux 1914-1918, forte de près de 20 000 entrées, recense les endroits où sont tombés les soldats de la Grande Guerre. Un formulaire d'interrogation par patronyme est disponible directement sur la page d'accueil. On peut aussi accéder aux bases de données spécifiques, en cliquant dans le menu latéral à gauche.
Le Grand Mémorial est une base nationale qui regroupe les bases des archives départementales et celle des Morts pour la France 14-18, du projet Mémoire des hommes du ministère de la Défense.
Ils étaient simplement enterrés dans des fosses communes, bien souvent non identifiés, laissant les familles dans l'impossibilité de ses recueillir sur leur tombe. C'est la loi du 29 décembre 1915 qui établit que « tout militaire mort pour la France a droit à une sépulture perpétuelle au frais de l'Etat ».
Pour la recherche photographique, nous vous conseillons de consulter le site chtimiste.com, consacré aux parcours des régiments durant la Grande guerre. On y trouve notamment une large photothèque, dans laquelle figurent des photos du 120ème régiment d'infanterie auquel appartenait M. Couvrand en 1914.
Ces morts, recensés dans un premier temps sur des fiches cartonnées puis depuis 1997 par saisie informatique, reposent dans les nécropoles nationales, les carrés militaires communaux et les cimetières militaires à l'étranger entretenus par le ministère des armées.
Ils sont à rechercher dans les archives départementales du lieu de naissance (et non du lieu d'habitation) de chaque conscrit, en série R (affaires militaires). Ils existent depuis le tout début du XIXe siècle. Jusqu'en 1815, ils sont appelés “listes de tirage au sort”.
Tu peux aussi aller voir directement dans les répertoires annuels ou les registres journaliers d'inhumation. En plus de t'indiquer la bonne nécropole, ces archives devraient te donner l'emplacement de la sépulture recherchée. Dans les cimetières, il est défini par la section et le rang.
Vous pouvez en effet obtenir un duplicata par mail : [email protected] ou par courrier : CAPM de Pau — Caserne Bernadotte - Place de Verdun — 64023 Pau Cedex. Il faut suffira de joindre une copie de votre pièce d'identité.
étaient âgés de 18 à 30 ans en 1914). Pour la plupart, il s'agit de soldats de 2 e classe (76,5 % des cas). L'infanterie est, de loin, l'arme la plus représentée (65,3 %).
Seulement, une personne SDF est inhumée parmi les indigents dans une tombe individuelle. Les communes octroient une parcelle de terre servant de cimetière par défaut pour les personnes sans famille. Cet endroit est connu comme étant le carré des indigents ou le terrain commun.
La plus vaste nécropole nationale de France est la Nécropole nationale de Notre-Dame-de-Lorette dans le Pas-de-Calais ; sur près de 13 ha , 40 058 corps de militaires français y reposent dans des tombes individuelles et dans huit ossuaires. Dans ce cimetière, ont été construites une lanterne des morts et une chapelle.
À partir du début des années 2010, les Archives départementales ont numérisé et mis en ligne les registres des fiches matricules militaires (à partir de la classe 1867) qui, avec les livrets militaires, constituent la première source d'informations sur le parcours du combattant.
Le ministère des armées met à disposition de tous depuis quelques années, un site « Mémoire des Hommes » sur lequel une base de données des morts de la première guerre est disponible. Vous aurez ainsi accès à la fiche décès du soldat mais vous pourrez aussi vérifier s'il ne repose pas dans une sépulture militaire.
Si le soldat que vous cherchez a survécu au conflit ou n'est pas « Mort pour la France », il vous faut consulter le registre matricule d'incorporation militaire dans lequel il figure : vous y trouverez la référence de l'unité.
Après la classe 1921, pour obtenir le feuillet matricule recherché, faire une demande écrite par courriel : [email protected] ou par courrier postal : Archives nationales d'outre-mer – 29, chemin du Moulin de Testas – CS 50080 – 13182 Aix-en-Provence cedex 5 en précisant les noms, prénoms, filiation, dates et ...
"Tout militaire a accès à son dossier individuel dans les conditions définies par la loi." Il suffit donc au militaire ou ancien militaire de solliciter la copie de son dossier soit par compte rendu avec mention d'une date de réception pour lui donner date certaine, soit par lettre recommandée avec accusé de réception.
La recherche d'un ancêtre militaire fait appel à certains documents militaires, aujourd'hui archivés. Ils sont accessibles en ligne, sur les sites internet d'archives militaires ou “physiquement”, dans les salles de lecture des services d'archives militaires au niveau communal, départemental ou national.
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
La preuve qu'un ancêtre a effectivement servi peut se trouver dans les archives familiales, les immatriculations civiles, les biographies, les recensements, les documents de succession, les registres de conscription militaire et les registres paroissiaux.
En cas de blessure ou de décès sur le champ de bataille, il est important de disposer de deux plaques d'identification pour garantir que le soldat soit correctement identifié et que les informations nécessaires soient transmises rapidement et précisément.
Vous pouvez contacter la mairie de la commune où la personne est décédée pour obtenir des informations sur le décès. De plus, certains sites web d'archives en ligne, tels que les Archives départementales de France, proposent des bases de données consultables d'actes de décès anciens.
Lorsque vous savez dans quel cimetière le défunt a été inhumé, il vous suffit de vous rendre dans la mairie de cette commune. Muni du nom, du prénom et de la date de décès du défunt, vous pouvez directement demander aux services de la mairie de vous aider à trouver l'emplacement de la sépulture.
Le corps de Louis XIV a été enterré à la basilique de Saint-Denis, ses entrailles à Notre-Dame de Paris et son cœur dans l'église des Jésuites, rue Saint-Antoine (aujourd'hui, il s'agit de l'église Saint-Paul- Saint-Louis de Paris).