Sans trop de surprise, les premiers responsables sont le stress et l'anxiété. "C'est la cause numéro 1" , assure Olivier Pallanca : "Certaines personnes ont des vulnérabilités au stress. Dès qu'ils vont être trop actifs, qu'ils vont avoir un niveau d'éveil trop important, ça va activer le même déséquilibre.
Faites l'inventaire calmement de chacune des parties de votre corps. Fixez votre attention sur le moment présent et accueillez chacune de vos émotions et sensations sereinement, sans vous y arrêter ni y réfléchir. Respirez profondément. Répétez-vous des phrases positives qui vous rassurent.
Lâcher-prise et instinct de survie
Pour le chercheur français, le fait que ces pensées peu réjouissantes surviennent au moment du coucher peut être aussi lié à une peur du sommeil et/ou de l'abandon de soi qu'il implique.
Organiser sa semaine et anticiper son quotidien peut être une source de relaxation car elle permet d'apaiser notre envie de contrôle et nous libère du stress lié à l'incertitude. En planifiant, nous pouvons nous ressourcer, même si nous n'avons pas la « fibre » de l'organisation.
Ce phénomène, nommé en anglais "overthinking", bloque notre esprit en le remplissant d'angoisses, de peurs et d'inquiétudes inutiles. Les pensées sont normales et impossible à arrêter, mais c'est la manière de gérer ses pensées qui va faire la différence.
Un défaut de récupération pendant le sommeil
L'une des origines à explorer pour la fatigue est celle qui concerne le défaut de récupération pendant le sommeil, et peut s'expliquer assez simplement parfois par des douleurs, de la fièvre, des difficultés respiratoires, etc. qui empêchent les patients de bien dormir.
Pour débrancher le cerveau, on commence donc par se déconnecter littéralement. Ou, du moins, par se discipliner un peu. On apprend donc à se fixer des plages consacrées à la consultation de nos messages, textos et autres notifications et l'on cesse de bondir à chaque alerte.
Quoi qu'il se passe, surtout quand il ne se passe rien, on réfléchit, on rumine, on juge, on analyse, on se demande si. Bref, on pense trop. Ça s'appelle l'overthinking. Bonne nouvelle : quelque part dans notre cerveau, il existe un bouton "Stop", adapté à chaque manière de "trop penser".
faire une pause ou une courte sieste en début d'après-midi, dès les premiers signes de fatigue ; écouter son corps, respecter son rythme et ses besoins de sommeil ; pratiquer une activité sportive de manière régulière (à éviter en fin de journée ou le soir).
Tentez la micro-sieste fermez les yeux, détendez vous pendant environ 10 minutes : l'effet sera toujours bénéfique. La respiration comme la sophrologie peuvent être d'une aide précieuse pour récupérer. Sur du court terme, un aliment ou une boisson peut vous donner un regain d'énergie, à ne pas utiliser à long terme.
La réflexion excessive vous donne l'impression de stagner, de faire du sur-place. Sans une réaction immédiate, ce sentiment de rester coincé au même niveau est capable de mettre en danger votre bien-être et votre santé. Les dangers les plus redoutés sont la vulnérabilité, l'anxiété et la dépression.
Il s'agit de faire appel à des pensées positives tant que possible et d'essayer de penser à ce qui vous arrive de bien en ce moment afin de changer d'humeur. Si le sujet revient vous serez alors dans un autre état d'esprit et vous pourrez alors sûrement mieux le laisser passer sans lui accorder trop d'importance.
Exercer un travail de nuit et dormir la journée entraine une désynchronisation de l'organisme synonyme d'un risque accru de survenue de maladies cardiovasculaires, de diabète ou de dépressions.
Les causes sont connues : horaires de travail inadaptés, augmentation du travail de nuit (4,3 millions en 2013 de travailleurs en France contre 3,3 millions en 1990 selon le BEH), écrans, bruits en ville et pollution lumineuse.
Les anxiolytiques, tels que les benzodiazépines, peuvent offrir un soulagement temporaire des signes en attendant que le traitement antidépresseur soit efficace.
2) L'overthinker a besoin d'être souvent rassuré pour être à l'aise dans une relation. Ce qui caractérise ceux qui sur-analysent, c'est un certain inconfort dans la perception que les autres ont d'eux. Dans la recherche de contrôle, ils sont aussi à la recherche de l'approbation générale.
Pourquoi fait-on des crises d'angoisse la nuit ? Il peut y avoir des causes variées aux angoisses nocturnes : Cela peut être lié à une situation de stress dans la vie quotidienne : le confinement dû au coronavirus, par exemple, a généré des angoisses nocturnes chez certaines personnes.
Une bonne solution pour faire le vide dans sa tête est de ralentir et de vivre le « moment présent », de vous permettre de vous détendre en focalisant votre esprit sur une chose en particulier, ce qui affûtera aussi votre conscience. Par exemple, prenez le temps d'apprécier votre repas.
Le « Haut Potentiel » est souvent détecté (quand le terme « diagnostiqué » n'est pas utilisé) à travers un test de QI, qui dit tellement peu ce que la personne peut vivre. Le mental qui n'arrête jamais ou peu souvent, une capacité accrue d'analyser et de voir les choses sous un autre oeil …
La rumination mentale se déclenche souvent au moment du coucher. Comment se débarrasser de la rumination mentale ? En détournant son attention sur des tâches distrayantes mais prenantes, en se recentrant sur l'instant présent grâce à la méditation ou encore en écrivant ses ruminations, il est possible de les contrer.