En mathématiques, on rencontre souvent des égalités: exemples : 1+2+3=1+4+1, 1+1=5, x=2010, x+5=15, (x+1)²=x²+2x+1, etc.
Deux expressions littérales sont égales si elles sont toujours égales, c'est-à-dire si elles sont égales quelles que soient les valeurs attribuées aux lettres. On veut tester l'égalité 2 + 4x + 3 = 1,5 × x × 2 + x + 5.
Deux fractions sont égales si l'on passe de l'une à l'autre en multipliant (ou en divisant) le numérateur et le dénominateur par un même nombre non nul.
On peut distinguer 3 identités remarquables : La première égalité remarquable : (a+b)² = a² + 2ab + b² ; La deuxième égalité remarquable : (a-b)² = a² – 2ab + b² ; (a+b)²; La troisième égalité remarquable : (a+b) (a-b) = a² – b².
Une égalité est une proposition pouvant s'écrire à l'aide du signe égal « = », séparant deux expressions mathématiques de même nature (nombres, vecteurs, fonctions, ensembles…) ; la négation de cette proposition s'écrit à l'aide du symbole « ≠ ».
Il s'agit de la troisième identité remarquable, que l'on retrouve facilement en effectuant un simple développement. (a + b)(a - b) = a² - ab + ab - b² = a² - b².
La fraction qui a aussi 24 comme dénominateur et qui vaut 1/3 est 8/24.
Si la somme de deux faces quelconques et opposées entre elles d'un dé "normal" égale toujours 7, c'est une loi de la nature (vous savez, 7, le fameux nombre de la perfection).
2/3 c'est 4/6 (somme 10), (6/9) (somme 15) 8/12 (somme 20) 10/15 (somme 25) 12/18 (somme 30) ou 14/21 (somme 35) les sommes vont de 5 en 5..
Pour a et b deux nombres entiers (avec b différent de 0), effectuer la division euclidienne de a par b revient à trouver deux nombres entiers q et r qui vérifient l'égalité a = b × q + r a = b \times q + r a=b×q+r et que r < b r < b r<b.
Egalité de deux fonctions
On dit que les deux fonctions f et g sont égales si : (1) f et g ont le même ensemble de définition D. (2) Pour tout x de D, f(x) = g(x). On note alors f = g.
En mathématiques, une égalité est un ensemble de deux expressions (ou plus), reliées par le symbole = (égal), qui est vraie si et seulement si le résultat de chaque coté du signe égal est identique.
Pour obtenir l'opposé d'un nombre, il suffit donc de changer le signe de ce dernier. Par exemple l'opposé du nombre 3 est égal à -3. Inversement, l'opposé de -3 est égal à 3.
Règles : Dans une expression, on effectue d'abord les calculs entre les parenthèses les plus intérieures puis les multiplications et les divisions de gauche à droite et, enfin, les additions et les soustractions de gauche à droite. Exemple : Calcule A = 7 + 2 × (5 + 7) – 5.
On calcule la valeur d'une expression littérale lorsque l'on attribue une valeur aux lettres contenues dans l'expression. Si une même lettre est utilisée plusieurs fois, on lui attribue le même nombre à chaque fois. Exemple 1 : Calculer l'expression A = 5 × ( 6 − x ) + 3 x − 7 y lorsque et .
En fait la somme 1 + 2 + 3 + 4 + … est bien infinie, mais -1/12 est ce qui la sépare de \int x dx qui est aussi infini, est que l'on peut voir comme une base que l'on soustrait. Dans le cas de Casimir, il s'agit bien d'ailleurs du niveau énergétique « de base », quand les plaques sont très éloignées.
Le mathématicien australien Gordon Royle, qui s'est pris de passion pour le sujet, les recense, les traque de par le monde et sa collection contient près de 50 000 spécimens. Mais aucune grille avec seulement 16 indices. Il a donc été conjecturé que le "nombre de Dieu" était 17.
1/12 est l'inverse du nombre entier 12.
L'expression 2 + 2 = 5 (« deux plus deux égale cinq ») est parfois utilisée comme une représentation d'un sophisme destiné à perpétuer une idéologie politique. Elle illustre également le caractère formel de la logique, qui étudie les mécanismes du raisonnement indépendamment du sens des énoncés qu'elle utilise.
Voici les principaux doubles. Calculer des doubles, c'est ajouter à un nombre le même nombre, par exemple 7 + 7 = 14 ou 4 + 4 = 8.
Formule. k × A + k × B = k × (A + B). Pour réussir à factoriser, il faut donc identifier le facteur commun k, puis A et B. Ensuite, il faut remplacer les valeurs trouvées dans la formule.
(a-b)2 = a2 - 2ab + b2
L'aire du carré jaune [(a-b)2] est celle du grand carré [a2] dont on ote celles des tranches vertes [2ab] ; l'aire du carré vert foncé [b2] ayant été soustraite deux fois doit être rajoutée (une fois).