Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
a) par le titre « Monsieur », « Madame » ou « Mademoiselle », selon le cas, suivi de leur nom, lorsque des officiers et des militaires du rang de même grade s'adressent à eux, b) par le titre « Monsieur » ou « Madame, selon le cas, lorsque des militaires de grades inférieurs s'adressent à eux.
Restez naturel et employez des phrases courtes. Une bonne présentation d'une minute peut prendre plusieurs jours de préparation. L'objectif est de se préparer pour être précis et convaincant ! Se préparer, c'est aussi un moyen de se démarquer de ses concurrents.
Mes respects (formule utilisée dans l'armée par un subordonné qui salue un officier) : mes respects, mon colonel.
au lieutenant-colonel, Mes respects mon colonel ; au colonel, Mes respects mon colonel. Cependant lors d'une présentation nous dirons Je vous présente le lieutenant-colonel Alpha. Pour ce qui concerne la formule d'appel utilisée dans un courrier, on utilisera Mon Colonel pour le grade de lieutenant-colonel.
Il convient, pour les femmes de militaire, d'appeler « général », « colonel » et « commandant » sans faire précéder du « mon ». En dessous de ces grades elles appelleront les militaires « Monsieur ». La formule « mes hommages, Madame » est à adopter systématiquement quand on s'adresse à la femme d'un supérieur.
Locution interjective. (France) (Militaire) Ordre donné lorsqu'un officier général ou l'officier commandant la formation entre en uniforme et coiffé dans un local, et à la suite duquel les militaires présents se mettent au garde à vous avant que l'autorité ne les mette au repos.
Lorsqu'un officier est un homme, on s'adresse à lui en faisant précéder son grade de « mon », « mon colonel » par exemple ; en revanche on appelle un officier féminin directement par son grade.
Le général d'armée et l'amiral sont les plus hauts grades de l'armée française.
Cette formule de politesse doit être utilisée par les militaires subalternes lorsqu'ils s'adressent à un supérieur. Ils doivent donc dire : « mon général », « mon colonel », « mon commandant », « mon capitaine », « mon lieutenant », « mon adjudant ».
Le titre de mon exposé est ... Aujourd'hui, nous sommes réuni(e)s ici pour parler de… / aborder la question / débattre de … Aujourd'hui, nous allons parler de … Présentation du titre Dans mon exposé, je vais parler de / je vais vous présenter/montrer..
Bonjour, je m'appelle, j'ai …, j'habite à … et je viens vous rencontrer car je recherche un poste en alternance qui me permettra de suivre la formation… au CFA de l'Assurance. Parlez de votre CV, de vos expériences professionnelles = J'ai suivi des stages / j'ai occupé des emplois…
Lorsqu'on s'adresse à lui, on lui dit « Major » si on est d'un grade égal ou supérieur au sien, sinon on lui dit « Mon major ». Le capitaine de corvette se fait appeler « Commandant ».
L'histoire du salut militaire remonte à l'Antiquité, lorsque deux guerriers se rencontraient, ils s'échangeaient un signe de la main droite (paume ouverte) pour indiquer qu'ils n'étaient pas armés. Ce signe de paix témoignait de leurs bonnes intentions l'un envers l'autre.
Néanmoins, cette tradition n'a pas perduré en France, le salut se faisant aujourd'hui « paume visible ». Le salut « paume cachée » est en vigueur dans de nombreux pays, notamment les États-Unis, l'Allemagne, la Suisse.
Aspirant : l'aspirant est un sous-officier qui aspire à entre dans le corps des officiers.
En effet, avec votre bac en poche, vous pouvez devenir directement sous-officier. Dans la hiérarchie militaire, ce grade correspond au 2e niveau, entre celui d'officier et celui d'EVAT (engagé volontaire de l'armée de Terre).
La syntaxe du langage militaire est aussi sommaire que rigoureuse : il faut s'exprimer par des phrases les plus courtes possibles, avec le minimum de fioritures : sujet + verbe + COD au maximum ; il est même conseillé d'omettre le verbe.
Général de Brigade
« Mon Général » – Dans la gendarmerie, l'armée de terre et l'armée de l'air, le mot « Mon » devant certains grades signifie Monsieur. Il n'est donc pas utilisé pour le personnel féminin.
Colonelle, subst. fém. Épouse de colonel. On appelait une femme Madame la générale.
Poser à terre le pied gauche à 0,75 m en avant du pied droit, puis ramener le pied droit à côté du pied gauche. « Marquez le pas » « MARCHE » (prononcé au moment où le pied droit se pose à terre). Sans avancer, marquer la cadence du pas en soulevant légèrement et alternativement l'un et l'autre pied.
Elle consiste à se tenir debout, droit, les bras le long du corps, les talons joints, la tête haute, immobile. Le protocole varie selon les pays et les unités. Le garde-à-vous est de rigueur pour écouter un avis ou un commandement hiérarchique, se présenter à une autorité ou bien marquer certains temps d'une cérémonie.
Un autre, plus téméraire, se fait lui aussi arrêter après avoir commencé sa phrase par « Mon Général, mes devoirs » : autrefois employée par les putschistes saluant le Général de Gaulle en Algérie, cette expression est aujourd'hui signe de rébellion contre l'autorité.