Le transfert des technologies des pays riches aux pays à faible ou moyen revenu devrait également être considéré comme une aide au développement durable. La technologie est importante dans la mesure où elle améliore la productivité des populations, et booste ainsi la croissance économique globale.
Le concept de développement désigne l'ensemble des transformations techniques, sociales, territoriales, démographiques et culturelles accompagnant la croissance de la production. Il traduit l'aspect structurel et qualitatif de la croissance et peut être associé à l'idée de progrès économique et social.
Les facteurs impliqués dans le développement
Les changements observés sont ici le résultat d'une programmation génétiquement programmée (comportement inné) ; les facteurs externes (ou exogènes) renvoient à des variables environnementales.
Le Burundi conserve la tête du classement, avec un PIB par tête de 307 dollars en 2023. C'est le seul pays du palmarès des 20 nations les plus pauvres de la planète à afficher un PIB par habitant inférieur au seuil de 400 dollars. Il est suivi du Sierra Leone et du Malawi.
Le développement économique d'un pays ne peut être atteint que par la disponibilité de certains facteurs de production, notamment le travail et le capital. Ici, le travail est associé à l'augmentation de la population active qui joue un rôle prépondérant dans l'évolution de la quantité de biens et services produits.
Le rôle du développement consiste à élargir les possibilités, pour chacun, de choisir la vie qui lui convient : vivre longtemps et en bonne santé, acquérir un savoir et des connaissances, avoir accès aux ressources nécessaires pour une existence décente et d'être en mesure de participer à la vie de la collectivité.
La bonne gouvernance est la solution aux problèmes du continent africain. Les défis en matière de paix et de sécurité traduisent surtout des problèmes de gouvernance, tels la gestion des élections. Même les problèmes liés au terrorisme, à la gestion de la diversité, au développement ont trait à la gouvernance.
Le capitalisme entraîne ainsi un blocage du développement, et la seule voie passe alors par une rupture politique, une déconnexion, selon l'expression de Samir Amin, comme par exemple la révolution socialiste en Chine en 1949, ou à Cuba en 1959 (cf.
La stratégie de domination par les coûts, La stratégie d'innovation et de technologie, La stratégie de différenciation, Les stratégies de coopération.
Premier postulat : Le développement des nations dépend de leur plus ou moins grande capacité à rompre leurs relations de dépendance avec le marché mondial. En ce sens le développement est beaucoup plus que la croissance. C'est une croissance autonome capable de mettre fin à l'exploitation internationale.
Le développement ne peut se faire sans un minimum de croissance, mais ce facteur n'est plus primordial et une politique de développement doit s'attacher également à réduire les inégalités ou satisfaire les besoins fondamentaux.
La notion de développement apparaît à la fin de la Seconde Guerre mondiale avec le mouvement de décolonisation amorcé par l'Inde en 1947. Devant l'ONU, Truman (président des États-Unis) appelle les pays riches à aider au développement des nations pauvres. Apparaît ainsi la notion de pays sous-développés.
Le développement implique, en plus de la croissance, une meilleure satisfaction des besoins fondamentaux (alimentation, santé, éducation), une réduction des inégalités, du chômage et de la pauvreté, comme François Perroux l'a montré.
Le développement est un ensemble de transformations qualitatives qui accompagnent une croissance durable : évolution des structures économiques, sociales et culturelles d'un pays donné. Le développement économique se traduit par : La hausse du taux d'alphabétisation.
La Norvège, l'Irlande et la Suisse arrivent en tête du classement des pays à l'Indice de développement humain le plus élevé. Première du palmarès, la Norvège brille surtout par son revenu national brut qui dépasse les 66 000 dollars par habitant.
Les problèmes viennent de l'impossibilité de faire face aux conséquences de l'introduction de nouvelles pratiques agricoles intensives, de l'urbanisation de plus en plus poussée, des contraintes exercées sur les ressources naturelles et de nouveaux risques en matière de sécurité sanitaire des aliments.
Les hommes, l'innovation, l'international et le financement : voici les quatre piliers du développement d'entreprise.
Le développement d'une nation est principalement compris comme un processus de création d'une identité collective ou une communauté nationale par une intégration politique des membres au sein d' un territoire donné (Von Bogdandy et al 2013).
Le développement de marchés : une offre existante sur de nouveaux marchés. Le développement de produits : proposer une nouvelle offre sur des marchés existants. La diversification : s'engager sur des domaines d'activités dans lesquels nous ne sommes pas encore présents, tant en termes d'offres que de marchés.
La mise en place d'infrastructures de base, la simplification des environnements réglementaires et des règles en matière d'implantation, le soutien au développement de petites et micro-entreprises, la rationalisation des marchés publics et des procédures d'appel d'offres, l'encouragement des partenariats public/privé, ...