Les tueurs en série choisissent des victimes vulnérables et plus faibles qu'eux « enfants, personnes âgées, femmes seules » etc… Ils veulent des victimes qu'ils pourront facilement maîtriser, afin de ne pas saboter leurs fantasmes de « tueur tout puissant qui domine sa proie ».
Les tueurs en série choisissent des victimes plus faibles qu'eux. Ils veulent des victimes qu'ils pourront facilement maîtriser, afin de ne pas « saboter » leur fantasme de « tueur tout-puissant qui domine sa proie ».
Un tueur en série se caractérise généralement par le fait qu'il n'existe aucun lien entre lui et sa victime. En d'autres termes, il ne connaît pas sa victime avant de la choisir, d'où une difficulté accentuée pour les enquêteurs à retrouver l'auteur des faits.
Le gène MAOA joue un rôle dans la production d'une enzyme qui intervient dans l'élimination de neurotransmetteurs comme la dopamine. Lors de la présence du gène muté, la diminution de l'activité de cette enzyme a déjà été relevée et reliée au risque de devenir délinquant.
Selon les différents auteurs, la personnalité des criminels se caractériserait notamment par l'égocentrisme, l'agressivité, le besoin de domination, l'intolérance à la frustration, l'indifférence aux victimes ou encore la faiblesse du sens moral.
Le psychopathe va au contraire céder sans culpabilité. Ils vit sans pouvoir se reprocher ses actes. » Pour le psychologue, cette fascination est aussi due à une identification honteuse et secrète : ces personnages titillent notre sadisme et notre haine de l'autre.
C'est un processus d'adaptation du sujet à l'idée criminelle. L'individu passe à l'acte lorsqu'il a atteint l' « âge criminel », c'est-à-dire le moment de sa vie où sa criminalité a terminé son développement.
Si des anomalies chromosomiques ou génétiques peuvent favoriser le passage à l'acte, elles n'en sont pas la cause première. Étude après étude, force est de constater qu'on ne naît pas tueur en série, mais qu'on le devient, et que chacun d'entre nous aurait donc pu l'être.
Pourtant, les scientifiques s'accordent sur le fait qu'il n'existe pas plus de gène de la criminalité que de l'intelligence ou de l'homosexualité. Un gène à lui seul ne peut déterminer des comportements aussi complexes.
De gène du guerrier à gène du crime
« J'ai le gène du guerrier : forte résistance au stress et aux situations d'adrénaline », confie Saphia qui aimerait, elle, qu'on efface ses données. Ce gène est parfois appelé « gène du crime » quand il mute plus fortement.
Le rapport privilégié de cette culture à la violence suscite une amplification défensive, comme si, à partir du crime individuel, se propageait un démaillage du social, un point de rupture de la civilisation, qu'il s'agirait à tout prix de colmater.
SADIQUE : Définition de SADIQUE.
Dans une course contre la montre pour sauver Diego (Léon Durieux), Sarah, la psy incarnée par Louane, s'est ainsi confrontée au meurtrier, qui n'était autre que Stéphane Morand, le personnage joué par Julien Boisselier (Mise à nu).
États-Unis – 3 204
Des noms tels que Bundy, Dahmer, Manson, Gacy, Ramirez et Gein hantent encore les rêves et ont été gravés dans l'histoire comme les tueurs les plus odieux du monde. Les États-Unis ne monopolisent cependant pas le marché des tueurs en série, car d'autres pays ont leurs propres personnages diaboliques.
Ted Bundy a 36 victimes officielles à son actif, mais on estime qu'il aurait tué une centaine de personnes. Il a aussi commis des actes nécrophiles. C'est le premier dont le procès a été retransmis en direct à la télévision américaine.
Michel Fourniret, itinéraire d'un tueur en série
«Le Figaro» retrace le parcours de l'«ogre des Ardennes», condamné à la perpétuité incompressible en 2008 pour l'enlèvement et le meurtre de sept jeunes femmes. En 2018, il est de nouveau condamné à la perpétuité pour un assassinat crapuleux.
Ses conclusions sont claires : les comportements criminels tiennent d'abord à l'environnement social des personnes concernées, les explications biologiques, raciales ou liées aux migrations étant présentées comme marginales.
La démographie, l'urbanisation, le développement économique, le changement social sont autant de facteurs qui conditionnent les variations dans la criminalité. À cette analyse statistique doit s'ajouter une prise en considération de la personnalité des délinquants et leur milieu culturel.
Il peut s'agir des divers traumatismes, des troubles de comportements comme les psychoses hallucinatoires ou un fort sentiment d'insécurité. La hausse de la criminalité entraîne donc un sentiment d'insécurité chez les individus. Aussi, les actes matériels des bandits causent-ils des préjudices aux victimes.
Un tueur en série est un criminel atteint de troubles psychiatriques qui assassine des personnes de façon régulière, en utilisant un schéma identique, uniquement pour retirer du plaisir de ces meurtres, généralement sadique. Exemple : Ted Bundy est un tueur en série.
I.
À la suite du courant d'analyse majoritairement médical, une orientation sociale a été donnée, notamment par Ferri, distinguant cinq catégories de criminels : les criminels nés, les aliénés, les criminels d'habitude, les criminels d'occasion et les criminels par passion.
Attirance sexuelle envers les criminels. Exemple : Les courriers envoyés par des femmes aux criminels emprisonnés peuvent être considérés comme des cas d'hybristophilie.
Suite à l'obtention de cette spécialisation, le criminologue peut travailler au sein de différentes structures telles que des centres pénitenciers, des maisons de transition, des centres de réadaptation. Il travaille en étroite collaboration avec la police et la gendarmerie.
impulsivité ou incapacité à planifier à l'avance. irritabilité ou agressivité (indiquées par la répétition de bagarres ou d'agressions) mépris inconsidéré pour sa sécurité ou celle d'autrui. irresponsabilité persistante (indiquée par l'incapacité d'assumer un emploi stable ou d'honorer des obligations financières)
On a l'impression que votre fascination pour les psychopathes, les tueurs en série et le mal vous inquiète beaucoup. Cette fascination et ces fantasmes sont certainement à relier aux raisons de votre dépression et aux sentiments négatifs refoulés.