Quels pays d'Europe Napoléon a-t-il conquis ? L'Espagne, l'Autriche, l'Italie, la Prusse (partie de l'Allemagne actuelle).
La Grande Armée et ses victoires militaires
Malgré ses mauvaises conditions de vie (mal nourris, équipements lourds, épuisement), cette troupe enchaîne les victoires militaires : Austerlitz (1805), Iéna (1806), Friedland (1807), Wagram (1809), etc. Napoléon devient ainsi le maitre de l'Europe.
Chef-d'œuvre de stratégie militaire, la bataille d'Austerlitz, dite aussi « des Trois empereurs » (Napoléon, Alexandre Ier de Russie et François II d'Autriche), demeure la plus célèbre des victoires napoléoniennes.
Son expansion, sa puissance et ses richesses sont pour Napoléon des menaces à la sécurité et à la tranquillité de la France. Contrer sa grandeur pour placer la France au centre de l'Europe continentale tel était l'objectif et le leitmotiv de la « politique » européenne du Consul puis de l'Empereur français.
Les principales défaites de Napoléon sont : La bataille de la Bérézina (26 au 29 novembre 1812) Waterloo (18 juin 1815)
Pour en arriver là, l'empereur Napoléon s'est appuyé sur les performances de sa « Grande Armée », mais pas uniquement. Face à la masse de ses adversaires, le nombre ne suffisait pas. Ses succès reposent en réalité sur tout un système stratégique, politique, économique et autoritaire tourné vers les conquêtes.
Ses campagnes successives en Italie (1796-1797 puis 1799-1800), en Egypte (1798-1801), en Allemagne (1805), en Autriche (1809), en Russie jusqu'à Waterloo (1815) marquent l'histoire de France et la mémoire collective de la nation.
La France compte 83 départements et a annexé la Belgique, la Hollande, le Piémont et la Toscane : c'est la Très Grande France.
Dans cette commune belge, Napoléon aurait été doublement trahi le 18 juin 1815. D'abord par ses généraux, Ney et Grouchy en tête. Ensuite par la météo : une pluie diluvienne avait transformé en bourbier le champ de bataille, déroutant son artillerie.
Si Napoléon Bonaparte est connu pour de grandes victoires comme Austerlitz en 1805, Iéna en 1806 ou Wagram en 1809, trois défaites marqueront aussi l'Histoire de France.
Le coupable serait le général Charles de Montholon, un proche de l'Empereur. Il aurait empoisonné petit à petit Napoléon en versant quelques gouttes de poison dans le vin que consommait le général à Sainte-Hélène.
Le 18 juin 1815, Napoléon Bonaparte perd une bataille décisive dans une petite commune belge, nommée Waterloo. Devenue aujourd'hui un terme générique, les causes de cette défaite restent pourtant en grande partie méconnues. C'est la mère de toutes les batailles, mais de toutes les batailles perdues.
La première invasion napoléonienne du Portugal s'inscrit dans la volonté de Napoléon Bonaparte d'imposer un blocus continental à l'Angleterre. Menée par le général Junot, elle débute le 20 novembre 1807 et se termine en novembre 1808 après la victoire anglo-portugaise et la signature de la Convention de Cintra.
La guerre est due à la volonté de Napoléon de mieux contrôler l'Espagne afin de renforcer le Blocus continental contre le Royaume-Uni. Après avoir contraint le roi d'Espagne Charles IV et son fils Ferdinand à abdiquer en sa faveur (mai 1808), Napoléon donne le trône d'Espagne à son frère Joseph Bonaparte.
Parmi les 185 batailles que la France a livré au cours des 800 dernières années, ses armées auront gagné 132 d'entre elles, et en auront perdu 43, ne laissant que 10 batailles indécises, donnant ainsi aux militaires français le record de victoires en Europe et donc dans le monde.
Des précipitations intenses ont contribué à la déroute de l'armée napoléonienne à Waterloo, en 1815. Des pluies pas tout à fait dues au hasard, selon l'étude que vient de publier un chercheur britannique. Nous sommes le 18 juin 1815 à Waterloo, dans l'actuelle province du Brabant wallon, en Belgique.
Le 2 septembre 1870, les Prussiens reçoivent la capitulation d'une armée française enfermée à Sedan, dans les Ardennes. Ils font 83 000 prisonniers y compris l'empereur des Français.
Après son retour de l'île d'Elbe, Napoléon affronte une coalition anglo-prussienne entre les villages de Waterloo et Mont-Saint-Jean, en Belgique. Face aux troupes du duc de Wellington et du maréchal Blücher, son armée s'incline. Le 18 juin 1815 signe ainsi la fin de l'épopée napoléonienne.
En tant que général en chef et chef d'État, Napoléon tente de briser les coalitions montées et financées par le royaume de Grande-Bretagne et qui rassemblent, à partir de 1792, les monarchies européennes contre la France et son régime né de la Révolution.
Une fois empereur, il facilite la naissance de plusieurs grandes banques, dont certaines existent encore aujourd'hui: le Crédit industriel et commercial (CIC) en 1859, la Société Générale en 1864, ou encore le Crédit Lyonnais en 1863.
Elle est composée de 26 régions (principale division territoriale et administrative) dont 22 sont situées sur le continent européen. Les 4 autres étant la Guyane, la Guadeloupe, la Martinique et la Réunion.
En France, ensemble des terres et des droits appartenant au roi en tant que seigneur et souverain.