Les feuilles de gui s'utilisent de différentes façons, uniquement sous contrôle médical : en infusion : 10 à 20 g environ de feuilles fraiches ou sèches / 50 cl en laissant infuser une nuit et en faisant réchauffer juste avant de boire (3 tasses maximum / jour), en cataplasmes de feuilles pour calmer une sciatique.
Le gui peut être gardé accroché partout dans la maison toute l'année. La tradition veut que le gui protège la maison d'être brûlée ou frappée par la foudre. Le gui doit être remplacé tout les ans pendant le solstice d'hiver quand de nouveaux fruits sont arrivés.
C'est donc plus tard, au XVIIIe siècle, que les Anglais ont importé chez nous cette coutume de s'embrasser sous une boule de gui le 31 décembre à minuit, afin de se placer sous de bons auspices et que l'année soit propice.
Suspendez ce bouquet au-dessus de la cheminée.
Vous pouvez aussi réaliser une série de petits bouquets et les suspendre au linteau des portes. Et maintenant embrassez-vous ! Pour garder vos branches de gui encore plus longtemps, vous pouvez les conserver dans l'eau froide et les petites brindilles dans de frigo.
Il jouait surtout le rôle de talisman, capable de chasser les mauvais esprits, de faire fuir les fantômes et de purifier les âmes. Dans de nombreux pays, notamment ceux de l'Europe du Nord, le gui est symbole de prospérité et de longue vie. Il s'agit également d'un porte-bonheur qui symbolise les fêtes de Noël.
Le gui, une promesse de bonheur pour l'année
D'après la légende populaire, si une jeune femme célibataire acceptait un baiser alors qu'elle se trouvait sous la « kissing ball », soit une boule de gui décorée et accrochée aux portes, elle était alors promise à un mariage dans l'année.
Échanges passionnés des premiers temps de l'amour, nos effusions labiales s'espacent parfois avec les années. Pourtant, s'embrasser, c'est bon pour le moral mais aussi pour la santé, assurent les spécialistes.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Couper les pieds de gui à ras
Il est important d'éliminer ce parasite dès les premières apparitions. Pour cela, couper le gui au ras de la branche, avec une serpe ou une serpette selon la taille de la touffe. Si les branches sont trop atteintes, mieux vaut les couper avec une scie d'élagage.
L'habitude d'accrocher du gui à l'entrée du foyer ou autour du cou provient des celtes. L'expression celte o ghel an heu, «que le blé germe», est devenue «au gui l'an neuf» pour se souhaiter la bonne année.
Faites sécher les feuilles en plein air s'il n'est pas nécessaire qu'elles soient plates. Placez les feuilles dans un récipient peu profond ou regroupez-les en petits bouquets. Exposez-les alors directement au soleil pendant quelques jours.
Les druides celtiques ornaient leur bâton de houx et offraient aux hommes et aux femmes des villages des branches de cet arbuste afin de leur porter bonheur. Les Romains, eux, offraient du houx, symbole de bienveillance, aux jeunes mariés en guise de porte-bonheur.
Les fruits donnés par les touffes femelles sont de fausses baies (pseudo-baies globuleuses ou pyriformes) de 6 à 10 mm de diamètre, d'un blanc vitreux – ou jaunâtres pour le Gui du sapin – charnues et visqueuses (caractéristique soulignée par Virgile et Pline) d'où le terme de viscum.
Tiges et feuilles sont de couleur vert-jaune, ce que confirme, parmi les innombrables noms populaires donnés au gui, celui de jaunet trouvé en Normandie.
Le gui est une plante qui parasite de nombreuses espèces d'arbres des régions tempérées, en particulier les pommiers et les peupliers. Lorsqu'il est très abondant, il affaiblit considérablement l'arbre-hôte et diminue la production de production de fruits.
Le Gui est dispersé à plus ou moins longue distance par des oiseaux généralistes, Grive draine et Fauvette à tête noire essentiellement ; La fréquence des consommateurs. Quelques espèces d'oiseaux consomment et digèrent les graines de gui, ce qui va limiter sa propagation au sein d'une station.
Au Moyen Âge, l'usage voulait que l'on s'offre du gui en prononçant ce souhait « Au gui l'an neuf ». Dans le nord de l'Europe, il est d'usage de s'embrasser, à minuit, sous une branche de gui, symbole de prospérité et de longue vie.
Toxicité et danger du gui pour les arbres
Le gui est une plante toxique qui est absolument défendu d'ingérer, tant ses feuilles que ses baies blanches. L'ingestion de gui peut provoquer de graves troubles digestives et cardiaques.
Le gui : une plante toxique pour les Hommes et parfois mortelle pour les animaux. D'autres plantes hivernales, comme les branches de gui (Viscum album) peuvent décorer la maison et les jardins au moment des fêtes. En cas d'ingestion, ses feuilles sont davantage toxiques que ses baies, de couleur blanche.
Elle produit des baies blanches à l'automne et en hiver qui la rende très décorative et largement utilisée lors des fêtes de fin d'année. Les jeunes rameaux, les feuilles et les baies sont toxiques. L'intoxication au gui chez le chien résulte surtout de l'ingestion des baies à l'occasion des fêtes de fin d'année.
La France, le pays où on embrasse le mieux
le fameux et célébrissime french kiss continue de placer la France sur la toute première marche du podium mondial.
Baiser sur le front : la protection
Le baiser sur le front est un geste protecteur. Il tient à vous et veille à ce que rien de mal ne vous arrive. Un baiser sur le front signifie également qu'il veut vous rassurer si vous êtes triste ou inquiète.
Notre experte confirme : « La meilleure manière de savoir si un garçon veut t'embrasser est d'observer son langage corporel. S'il se penche vers toi quand tu parles, regarde tes yeux, te sourit ou te touche subtilement, cela indique qu'il pense à un bisou. » Prêtez l'oreille à ce qu'il dit.
Cette plante porte-bonheur, incontournable des fêtes de fin d'année, est symbole de fertilité, de bon augure et d'abondance. Le gui, ou Viscum Album, pousse en boules à la cime des pommiers, poiriers, noisetiers, robiniers, tilleuls, saules, peupliers, entre autres feuillus.
Il s'agit d'une vieille tradition. Les utiliser en plantes d'ornements pour les fêtes porteraient bonheur. Les druides celtes cueillaient le gui et le houx et les offraient aux villageois pour leur porter bonheur.