Rien de plus simple : on envoie de l'eau salée (sérum physiologique ou eau de mer) dans les fosses nasales, on renifle au lieu de se moucher, on amène les sécrétions au fond de la gorge en faisant le bruit du cochon, puis on crache les sécrétions comme le ferait un lama !
L'utilisation d'humidificateurs ou de vaporiseurs peut également aider à soulager les symptômes d'un écoulement post-nasal. Peu importe la cause, certains antihistaminiques peuvent servir au traitement de cette affection, car ils aident à assécher le mucus.
Le sérum physiologique ou la solution de lavage est mis dans la narine du haut. Il ressort par la narine du bas après être passé dans les fosses nasales. Il est recommandé de souffler ensuite fortement par la narine la plus basse en fermant l'autre avec un doigt.
Buvez beaucoup d'eau : L'eau peut aider à fluidifier les mucosités. Utilisez un humidificateur ou prenez une douche chaude. Reposez-vous en gardant la tête surélevée. Buvez du thé chaud avec du citron et du miel.
Les glaires sont des substances liquides, visqueuses, sécrétées par les cellules de diverses muqueuses de l'organisme. Lorsque des glaires sont formées par les muqueuses bronchiques et expulsées ensuite des voies respiratoires par la toux, les médecins parlent d'expectorations.
Il est donc conseillé de cracher ce mucus, ces glaires pour en éliminer un maximum. Pendant des années, vous avez avalé des saletés qui se sont accumulées dans votre organisme. A l'arrêt du tabac, il est important d'éliminer ces résidus de fumée.
Le miel, la vapeur et la menthe poivrée sont des exemples d'expectorants naturels. Leur efficacité est optimale lorsqu'ils sont pris avec un expectorant médicinal. Pour aider à éclaircir le mucus, restez hydraté, buvez jusqu'à 8 verres d'eau par jour et prenez des expectorants.
Le mucus nasal et les mucosités de la gorge sont causés par : Des facteurs environnementaux tels que la sécheresse des voies respiratoires résultant du chauffage ou de la climatisation. Une déshydratation. Des médicaments qui assèchent.
La recette : Faites chauffer une tasse d'eau chaude, et versez-y le jus d'un citron. Ajoutez une cuillère à café de miel et quelques clous de girofle. Laissez infuser le tout pendant 10 minutes, filtrez et buvez.
Lors de l'intervention chirurgicale, le chirurgien en ORL passe un tube mince appelé endoscope dans le nez. Ce tube est doté d'une petite caméra et d'une lumière à son extrémité, ce qui permet au chirurgien de voir vos sinus maxillaires, leur ouverture et la zone de drainage du nez (le complexe ostioméatal).
Contre la sinusite, le bain de vapeur est aussi un remède doux et efficace. Il va notamment permettre de ré-humidifier les parois nasales irritées et de décongestionner les sinus. Pour une efficacité optimale, vous pouvez ajouter à votre bain de vapeur de l'huile essentielle d'eucalyptus radié.
Rhumes, sinusites et allergies saisonnières peuvent tous bénéficier d'une stimulation de ce point. Il est situé dans la partie supérieure de ce qu'on appelle le « sillon naso-génien ». Pour stimuler ces points, il suffit de les presser fermement ou de masser la zone de façon circulaire pendant 1 à 2 minutes.
l'orifice choane en arrière, l'os nasal et l'ethmoïde en haut, le maxillaire, l'ethmoïde et le cornet nasal inférieur latéralement, le palais (os maxillaire et os palatin), qui les sépare de la cavité buccale.
Une bonne tasse de tisane bien chaude aide à diluer les mucosités récalcitrantes. Si vous voulez vous débarrasser de vos mucosités, une tisane à la menthe, au thym, à la camomille ou à l'échinacée constitue une très bonne option.
Le sirop toux grasse Bronchokod est un fluidifiant des sécrétions - ou mucosités - présentes dans les bronches en cas d'affection respiratoire récente avec difficulté d'expectoration. Ce médicament permet de faciliter l'évacuation de ces sécrétions bronchiques par la toux.
Plus suprenant, l'oignon fait également partie des remèdes contre la toux. Composé de soufre, il est anti-inflammatoire et anti-infectieux. Son action est mécanique : ses principes actifs vont favoriser l'expulsion du mucus et les expectorations en fluidifiant les sécrétions.
L'action de renifler s'oppose à celle de se moucher, qui correspond mieux aux conventions sociales. De plus, en présence de sécrétions dans le nez, le fait de renifler fait remonter le mucus dans les sinus et les congestionne à nouveau. L'idéal est donc de les évacuer en se mouchant.
Et conseil le plus important, il ne faut pas se moucher trop fort car cela peut favoriser la dispersion des microbes dans les oreilles et les sinus et provoquer ainsi des otites ou des risques de rhinopharyngite. L'air chargé de bactéries pourrait également provoquer des maux de tête et autres inflammations.
Attention toutefois à ne pas se moucher trop fort
En effet, lorsqu'on se mouche fort, la pression dans le nez est beaucoup plus importante que lorsqu'on éternue ou que l'on tousse. Cela peut entraîner une propagation de l'inflammation dans les sinus.
Inhalation de vapeur. En humidifiant le milieu nasal, la vapeur liquéfie les sécrétions nasales, ce qui permet de dégager les sinus et de soulager la pression.
L'antibiothérapie recommandée en première intention pour une sinusite frontale, en l'absence de complications, est l'amoxicilline chez l'enfant et l'association amoxicilline/acide clavulanique chez l'adulte. Pour les sinusites ethmoïdale ou sphénoïdale, on utilise l'association amoxicilline/acide clavulanique.
Polypose naso-sinusienne : une cause de sinusite chronique
Le plus souvent, ce sont les sinus de l'ethmoïde (os à la base du crâne) qui sont le point de départ de la polypose. En cas de polypose, il y a une inflammation permanente de la muqueuse et, sans que l'on comprenne bien pourquoi, des polypes se développent.