En 2100 nous vivrons surement dans une planète très chaude suite au réchauffement climatique. Les températures seront très élevées. Nous serons beaucoup sur la planète.
En 2100 la Terre compte 11 milliards d'habitants, elle sort d'une crise énergétique de plusieurs décennies. Malgré une transition énergétique réussie le réchauffement climatique atteint +5°C, avec de graves conséquences pour la disponibilité de l'eau, de la nourriture et de l'habitat.
Sur la base de ce dernier scénario, les chercheurs ont montré que la France de 2100 pourrait être 3,8 °C plus chaude que celle du début du XXe siècle. Une augmentation qui fait frémir. Une telle hausse des températures serait particulièrement marquée en été.
En 2100, la hausse de la température moyenne atteindrait + 3,8 °C. Il ferait ainsi en moyenne +3,2 °C en hiver et +5,1 °C l'été par rapport au début du XXe siècle. Tel est le constat inquiétant des scientifiques de Météo-France et du CNRS, dans une étude parue le 4 octobre dans la revue Earth System Dynamics.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
En 2070, en fonction de l'augmentation de la population et des émissions, entre un et 3 milliards de personnes pourraient se retrouver dans des conditions impropres à la survie des humains. Ces populations seraient soumises à des températures nettement plus chaudes que celles que nous connaissons à l'heure actuelle.
Il y a de fortes chances pour qu'il n'y ait plus la moindre trace d'humanité puisque le réchauffement climatique aura rendu la planète si aride qu'on ne pourra plus survivre aux fortes chaleurs (et ça risque d'arriver un peu plus tôt que dans 3000 ans, mais bon finissez quand même votre tasse de café).
4,2 MILLIARDS D'AFRICAINS EN 2100
Selon le rapport, intitulé "Perspectives démographiques mondiales, révision de 2012", c'est l'Afrique qui assurera plus de la moitié de la croissance de la population mondiale, passant de 1,1 milliard d'habitants à 2,4 milliards en 2050 et 4,2 milliards en 2100.
En zoomant sur la France métropolitaine, on constate qu'une hausse de 0,5 m serait "très probable" à l'horizon 2080-2100 et inonderait en conséquence une partie du littoral breton (Roscoff, Brest) et du Pays-de-Loire (Saint-Nazaire), mais aussi des Hauts-de-France (Dunkerque, Calais...), de Normandie (Dieppe, Le Havre, ...
Pour avoir une chance d'arrêter le réchauffement climatique à +1,5°C, nous devons diviser nos émissions de CO2 par deux d'ici 2030. Nous devrons ensuite ramener ces émissions à zéro d'ici 2050.
2050, OUVRONS LES YEUX - Les premiers signes de la hausse du niveau de la mer viendront de l'augmentation de phénomènes météorologiques extrêmes mais, à terme, des zones entières de l'Hexagone pourraient se retrouver sous l'eau.
Sur la gauche, vous pouvez voir le nombre d'années qu'il faudra pour voir une montée des eaux correspondante à un mètre. En conséquence si l'on continue avec ce rythme, il est légitime de croire qu'aux alentours des années 2100 Venise sera complétement recouverte d'eau.
Hauts-de-France. Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
En 2100 nous vivrons surement dans une planète très chaude suite au réchauffement climatique. Les températures seront très élevées. Nous serons beaucoup sur la planète. Que mangerons-nous ?
Si les émissions de CO2 continuaient au rythme actuel, les chercheurs estiment aussi que d'ici 2150, la Terre sera revenue 50 millions d'années en arrière, à l'aube de l'évolution des premiers mammifères (les dinosaures ont disparu il y a 65 millions d'années). De nombreuses espèces en danger.
La France dans dix ans sera aussi plus urbaine : ses grandes villes ont à la fois un potentiel de développement économique et de limitation des dommages environnementaux. Elle offrira davantage d'emplois qualifiés, mais elle court aussi, si on n'y prend garde, le risque d'un dualisme du marché du travail.
« Au total, j'ai compilé environ 70 critères pour en déduire que Puy-de-Dôme, Creuse et Corrèze sont actuellement les territoires les plus adaptés pour les années à venir ».
L'éducation sera accessible à tous, n'importe où, en tous temps. Parce qu'elle sera essentiellement numérique, et donc décentralisée et démocratisée. Il n'y aura plus les contraintes physiques que nous connaissons aujourd'hui, comme le besoin de se réunir à plusieurs dans une même salle.
La population mondiale compte 7,7 milliards d'habitants en 2019. Elle n'en comptait qu'un milliard en 1800 et a donc été multipliée par plus de sept depuis (voir la figure ci-dessous). Elle devrait continuer à croître et pourrait atteindre près de 10 milliards en 2050.
L'une des conséquences néfastes du réchauffement climatique sur les océans, mise à part la pollution globale et la hausse des températures de l'eau, c'est la désoxygénation.
Notre planète va mal: réchauffement climatique, épuisement des ressources naturelles, pollutions des sols et de l'eau provoquées par les industries civiles et guerrières, disparité des richesses, malnutrition des hommes, taux d'extinction effarant des espèces vivantes, etc.
Plusieurs points de basculement majeur de notre Planète seront probablement atteints avec +1,5 °C de réchauffement, selon une conférence donnée pour la Commission européenne. Or, selon l'Organisation météorologique mondiale, ce seuil sera peut-être atteint dans les cinq ans à venir.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.