La charge émotionnelle de cette culpabilité est très lourde. La première chose à faire pour vous en libérer est d'accepter et de comprendre vos émotions, et surtout de ne pas les réprimer. Faites l'exercice suivant : écrivez une lettre avec tout ce qui vous préoccupe, sans omettre de détails.
La culpabilité est un sentiment de faute que l'on ressent, peu importe que cette faute soit réelle ou imaginaire. Cette émotion naît de l'écart existant entre ce que l'on veut être idéalement et les actions que l'on fait réellement.
L'éducation, la religion, les pressions sociales, notre histoire personnelle et nos propres exigences sont des facteurs qui peuvent être en cause. La culpabilité peut apparaître suite à un agissement, une parole ou encore l'omission d'une action.
Une fois que vous aurez visualisé tout ce que vous souhaitez, demandez-vous si ce n'est pas le stress qui vous pousse à être trop critique envers vous-même. Le perfectionnisme peut nous pousser à développer un sentiment de culpabilité. Accepter le fait que nous avons tous des limites est déjà un pas en avant.
Elle est souvent héritée de l'enfance où, impuissants à agir, nous prenions nos pensées, parfois ambivalentes, pour des actes (pensée magique). Et dans l'illusion de notre toute-puissance, nous nous sentions responsables des événements, donc coupables de ne pas en réparer les dégâts éventuels.
Le foie est lié à la colère ou la culpabilité.
Considérée comme particulièrement toxique sur le plan psychique, la culpabilité chronique participe en effet à une détérioration progressive de l'humeur, à une fragilisation narcissique et à l'épuisement des ressources nerveuses.
Apprendre à s'aimer, à se pardonner, à être indulgent avec soi et les autres, à être son propre ami, à se respecter, à s'accepter même imparfait, aide à avancer sur le chemin de l'estime de soi. Des techniques comme l'auto-hypnose, le développement personnel, peuvent améliorer l'estime de soi.
Pour surmonter sa culpabilité, on peut ensuite apprendre à se pardonner sans oublier ce qui s'est passé, se souvenir de ses erreurs pour ne pas les commettre à nouveau et demander pardon à celui ou celle que l'on a pu offenser.
Cette énergie peut être interne, sous forme de colère ou de rage. Cela nous motive pour trouver la paix intérieure et surmonter la souffrance. Cependant, lorsque nous sommes abattu, ignoré, méprisé ou attaqué pour avoir essayé de satisfaire nos besoins, le phénomène d'auto-punition peut apparaître.
Dans sa forme générale, le syndrome du survivant englobe les sentiments de culpabilité que ressent une personne qui se reproche d'être en vie alors qu'une autre personne a péri. Il est difficile de se sentir heureux d'être en vie sachant que d'autres n'ont pas connu le même sort.
Pourquoi culpabilisons-nous ? C'est bien sûr le résultat de notre éducation et de notre culture. Le degré de culpabilité est donc différent d'un pays à l'autre et d'une personne à l'autre. Culpabiliser est un sentiment indispensable au bon fonctionnement de notre conscience morale.
1. État de quelqu'un qui est coupable d'une infraction ou d'une faute : Établir la culpabilité d'un accusé. 2. Sentiment de faute ressenti par un sujet, que celle-ci soit réelle ou imaginaire.
La personne qui vit avec un sentiment de culpabilité s'auto-flagelle, tant au niveau physique, que mental. Elle se critique en permanence, pense sans cesse au mal qu'elle a pu faire et à tous les choix qu'elle n'aurait pas dû faire.
Pour ces raisons, la culpabilité est parfois qualifiée d'émotion morale, autoconsciente, mais aussi d'émotion sociale, puisqu'elle exige une forme de confrontation avec autrui et l'environnement extérieur.
Les sources du sentiment d'impuissance.
Le sentiment d'impuissance peut être relié au sentiment d'injustice car il touche une situation qui devrait être mais qui n'est pas. Exemple : je ne réussis pas à trouver une place en accueil de jour pour mon proche pourtant il devrait pouvoir y accéder, il en a besoin !
Les émotions de base (colère, peur, tristesse, dégoût, joie, surprise) sont pour la plupart associées à une activité accrue dans la poitrine. Cela correspond à des modifications dans le rythme respiratoire ou cardiaque. Ce sont aussi celles qui provoquent les sensations physiques les plus fortes.
Le stress émotionnel, comme celui provoqué par les émotions bloquées, n'est pas seulement lié aux troubles mentaux, mais aussi à des problèmes physiques comme les maladies cardiaques, les troubles intestinaux, les maux de tête, l'insomnie et les troubles auto-immunes.
Elle peut se manifester par des pleurs, une perte d'appétit ou encore une perte de vitalité. Dans les cas les plus sévères, la tristesse peut entrainer une léthargie plus ou moins profonde, ainsi qu'un isolement social.
Plusieurs raisons possibles. 1/ Des personnes qui nous manipulent en nous culpabilisant, ou en se victimisant pour qu'on se culpabilise par effet de balancier. 2/ Un besoin de se rassurer contre l'impuissance.
Regarder le ciel à travers la fenêtre, écouter de la musique, s'installer sur le canapé ou faire du tricot ou du coloriage... Laissez votre esprit divaguer et accueillez le flux de vos pensées sans réfléchir. Eloignez-vous des écrans (ne rien faire devant la télé ne compte pas) et savourez ces moments de pause.
Une personnalité orgueilleuse aura du mal à reconnaître ses erreurs en se pensant supérieure aux autres, et remettra toujours la faute sur les autres.