Vivre à 100 à l'heure ne signifie pas qu'il ne faut pas s'accorder un peu de temps pour soi. Au contraire. Si on veut être bien dans notre vie, il faut savoir se chouchouter. On soigne son alimentation, on prend soin de son corps et on dort autant qu'on en a besoin (attention, on a bien dit "besoin", et pas "envie").
Reprogrammez votre esprit pour vous concentrer sur les choses importantes sur le moment au lieu de penser à ce que les autres pensent ou disent. Pour terminer, vous devez apprendre à utiliser les critiques constructives d'une manière saine et à filtrer les critiques inutiles ou trop dures.
Commencez par ne rien faire ! Il ne s'agit pas de demeurer dans une attente passive et dépressive, mais d'exercer sa réceptivité. D'accueillir le monde, de l'observer, de le goûter… Ce temps de contemplation et d'ouverture à ses sensations est absolument nécessaire pour retrouver le contact avec soi-même.
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Proposez-lui de faire des activités seul (e) ensemble, sans insister. Écoutez-le, même si son discours est toujours le même. Offrez-lui de petites attentions. Valorisez ses efforts même si cela vous paraît minime et soulignez les améliorations de son état.
Apprenez donc à avoir confiance en votre propre jugement. Agissez selon vos propres valeurs, en suivant votre système de pensée. Ne donnez pas plus de valeur à ce que pensent les autres qu'à ce que vous, vous pensez. Il est impossible de plaire à tout le monde, par contre il est primordial de se plaire à soi même!
Ce type de fonctionnement psychologique où l'on fait toujours passer l'autre avant soi est très répandu. Les psychologues le qualifient parfois d'assujettissement. Certaines victimes en sont parfaitement conscientes et d'autres beaucoup moins.
Si vous êtes conscient que vous refusez d'être heureux, c'est probablement qu'un traumatisme vous empêche de profiter de la vie. Il est donc important que vous preniez le temps de découvrir la cause de ce traumatisme… peut-être même le savez-vous déjà. Dans ce cas, il vous sera peut-être nécessaire de consulter un.
De manière générale, créer du lien social reste primordial pour être bien dans sa vie. Difficile d'être heureux sans les autres… Sachez vous entourer d'amis sincères pour partager les bons moments et avoir du soutien dans les moments difficiles. De votre côté, montrez-vous présent lorsque la situation l'exige.
On trouve nos vies complexes parce qu'on ne vit pas dans le moment présent. Quand on vit un problème, on se passe mentalement les étapes pour le régler en boucle, on entre en contact avec les efforts nécessaires, on se sent envahi, les étapes s'entremêlent et là, ça devient complexe.
Choisir de vivre simplement, c'est le choix de vivre mieux dans la simplicité, sans forcément changer ses habitudes de façon drastique. Et le monde moderne offre de multiples pistes : alimentation, culture, voyages, vie durable…
Posez votre main sur votre cœur, sous le nombril, ou sur n'importe quelle autre partie du corps où vous ressentez l'inquiétude. C'est une façon d'apporter un signal de bienveillance au cerveau. Le toucher est également un sens qui aide à réduire la rumination mentale et les pensées négatives.
Cultiver la conscience de soi
Mais si on veut être à son meilleur niveau et moins sensible au regard d'autrui, il est nécessaire de renforcer et d'approfondir la connaissance de soi. Commencez donc par élaborer une devise personnelle : un mot ou une phrase qui exprime vos convictions et vos valeurs fondamentales.
Si vous pensez que vous êtes une mauvaise personne, c'est que vous êtes certainement sur la voie du changement. Les mauvaises personnes ne pensent pas qu'elles le sont. Elles agissent simplement dans leur propre intérêt et font du mal aux autres sans aucune raison.
Le fait de vous changer les idées peut aussi vous aider à contrôler vos sentiments. Distrayez-vous de ce qui vous fait souffrir de sorte à pouvoir prendre du recul. Faites du sport. Téléphonez à un ami qui a l'habitude de faire des blagues.
Ne vous dites pas d'« arrêter » de vous inquiéter.
L'inquiétude fonctionne ainsi. » À la place, elle suggère de prendre une approche de pleine conscience. « Quand vous vous inquiétez, essayez de vous en rendre compte. Reconnaissez ces soucis comme des pensées anxieuses et lâchez prise, sans jugement. »
La dépression sévère mélancolique (niveau le plus élevé de dépression) : forme très douloureuse, avec perte d'intérêt total pour le monde extérieur, incapacité à aimer, perte d'estime de soi, autodépréciation constante…