La plupart des autorités médicales conseillent aujourd'hui aux hommes de ne pas boire plus que 3 verres de vin par jour; pour une femme, on suggère de ne pas dépasser 2 verres. Toutefois, le Dr Poikolainen soutient qu'on peut aller jusqu'à une bouteille de 750 millilitres, mais ne pas dépasser un litre.
La consommation d'une bouteille de vin par jour peut entraîner des troubles de la vigilance, des comportements violents, voire un coma éthylique. Au-delà de 13 verres, certaines personnes dans le coma peuvent tout à fait régurgiter dans leurs poumons et frôler l'overdose !
Attention au risque de dépendance
Si un verre de vin par jour n'est donc pas, en soit, mauvais pour la santé, il peut créer une dépendance qui, elle, peut devenir dangereuse. Boire un verre de vin tous les jours c'est prendre le risque de ne plus pouvoir s'en passer.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
"Concernant le nombre de verres de vin maximum que l'on peut boire par jour, tout dépend du verre utilisé… Pour un verre standard, cela correspond environ à deux ou trois verres de vin pour faire les 20 grammes d'alcool et trois à quatre verres de vin pour faire les 30 grammes d'alcool."
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
pour les consommateurs quotidiens, de ne pas dépasser un verre par jour et d'essayer d'avoir des jours dans la semaine sans consommation ; pour les consommateurs occasionnels, de ne pas dépasser 2 verres par occasion, d'avoir au moins 2 jours sans consommation dans la semaine et de ne pas dépasser 7 verres par semaine.
Selon l'OMS, un homme boit trop dès lors qu'il boit plus de 21 verres par semaine (3 par jour). Pour une femme, les chiffres sont différents : 14 par semaine (2 par jour).
Si lorsque vous buvez, vous ne pouvez plus vous arrêter, cela signifie que vous n'êtes plus, au moins sur le moment, maître de votre consommation. Repérer les augmentations de consommation, ressentir que votre envie de boire est grandissante ou que les occasions se multiplient sont des signes qui peuvent vous alerter.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
La consommation d'alcool, qu'elle soit occasionnelle ou régulière a tendance à fatiguer l'organisme, surtout que cela vous a rendu malade, votre corps est fatigué et a besoin de récupérer. Il est conseillé de boire de l'eau pour aider l'organisme à éliminer.
Tout alcool prit régulièrement augmente les risques d'addictions, de maladies du foie (cirrhose, hépatite…) et d'avoir certains cancers. Le développement du cancer de l'œsophage est en partie dû au vin et à sa concentration en alcool.
Maximum 10 boissons alcoolisées par semaine
Et ce risque est le même pour chaque unité de mesure standard : 250 ml de bière = 100 ml de vin = 35 ml d'alcool fort. Dans certains cas, il est recommandé de ne pas dépasser la norme d'un verre d'alcool par jour ou d'éviter toute consommation.
Actuellement, il est conseillé de ne pas dépasser 2 à 3 verres par jour pour les hommes, 1 à 2 verres pour les femmes, et de pratiquer deux jours d'abstinence complète par semaine pour tous.
Mais il en favorise l'apparition… L'alcool est en effet un puissant vasodilatateur qui agit très rapidement sur les petits vaisseaux du visage. C'est donc l'une des raisons pour lesquelles le rhinophyma est majoritaire (95%) chez les hommes de plus de 50 ans - les hommes consomment plus d'alcool que les femmes.
Une sensation de «paralysie» des pieds ou des mains, une sensation de «léthargie» au niveau des membres, des picotements douloureux, semblables à des aiguilles, une sensation de brûlure. Un affaiblissement musculaire au niveau des bras et des jambes, accompagné parfois de crampes.
Cernes gonflés, teint gris, rougeurs… autant de petits désagréments qui, à terme, laissent des marques visibles sur notre visage. Le bon geste en cas d'excès : l'eau est toujours la meilleure amie des excès. Par ailleurs, put opter pour une monodiète ou des jus detox pendant une journée afin de purifier son organisme.
Consommateur de boissons contenant de l'alcool éthylique qui, en raison de l'importance de la quantité d'éthanol consommée ou de sa propre vulnérabilité, s'expose à un risque accru. Cette expression fait actuellement l'objet de critiques fondées sur son caractère normatif.
Cette dépendance se manifeste à travers des symptômes physiques de manque quand vous ne consommez pas (tremblements, sueurs, crises de tachycardie, hypertension, nausées, vomissements), mais elle est aussi psychologique, au point de ne plus arriver à vivre sans l'alcool.
L'alcoolodépendance est une addiction à l'alcool sous forme de boissons plus ou moins « fortes ». La consommation répétée de boissons alcoolisées peut prendre différentes formes selon le rythme de consommation et la quantité d'alcool ingérée.
Depuis 1978, l'alcoolisme est reconnu comme une maladie par l'Organisation mondiale de la santé (CIM-10). L'OMS classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière.
Le fait de prendre environ 3,5 consommations par jour peut doubler ou même tripler votre risque de cancer de la bouche, du pharynx, du larynx ou de l'œsophage. Le fait de prendre environ 3,5 consommations par jour peut multiplier par une fois et demie votre risque de cancer colorectal ou de cancer du sein.
La consommation d'un verre de vin quotidien serait non seulement sans danger pour le foie mais en plus pourrait lui être bénéfique en diminuant la prévalence de certaines maladies non alcooliques hépatiques (non-alcoholic fatty liver disease, NAFLD).