La nuit tue plus que le jour. Le risque d'avoir un accident mortel à la tombée du jour est d'ailleurs sept fois supérieure au risque diurne et un quart des accidents mortels de nuit se produisent entre 2 et 6 heures du matin.
Le trafic étant plus fluide et les routes dégagées, les automobilistes ont tendance à rouler plus vite la nuit.
La mortalité routière est en baisse en 2021 pour les automobilistes, avec 1 414 décès (208 tués de moins soit -13% par rapport à 2019 et 171 tués de plus soit +14% par rapport à 2020).
Pour réduire les effets de la fatigue visuelle la nuit, au volant, les ophtalmologistes recommandent souvent de garder les yeux en mouvement, en balayant tout autour de votre champ de vision au lieu de vous concentrer sur une seule zone.
Lorsqu'il conduit de nuit, l'usager doit toujours allumer ses feux de croisement. Sur une chaussée où il circule seul, il peut privilégier les feux de route. Il doit cependant remettre ses feux de croisement lorsqu'il croise un autre véhicule ou qu'il en suit un, car les feux de route sont très éblouissants.
L'héméralopie est la diminution anormale de la vision de nuit. La nyctalopie affecte votre capacité de vision nocturne. Cette maladie peut également trahir un déséquilibre alimentaire, une affection oculaire ou une maladie chronique.
L'assureur Budget Direct a répertorié les routes qui sont les plus dangereuses dans chaque pays. En France, elle se situe entre l'Allier et la Saône-et-Loire : il s'agit de la RN79 entre Montmarault et Mâcon. Cet axe se situe sur la RCEA, la route Centre-Europe Atlantique, qui traverse la France d'est en ouest.
Nous allons voir que c'est encore le comportement du conducteur qui est à la source des accidents. La vitesse est désormais le premier facteur d'accident mortel devant l'alcool : 32% des tués sont dus à une vitesse trop élevée.
Selon les chiffres de 2018, la proportion des hommes parmi les personnes tuées est trois fois plus élevée que celle des femmes de tout âge. La mortalité masculine s'élève à 85 %, dont 79 % sont conducteurs du véhicule accidenté.
Plusieurs éléments peuvent expliquer la peur de conduire : Le manque de confiance en soi qui entraîne une peur de faire une erreur de conduite ou une peur de créer un accident de la route. Si on a peur même en étant passager, cela peut provenir d'un manque de confiance envers les autres.
Adaptez-vous à la faible visibilité
Les phares éclairent au mieux à 200m et les feux de croisement à 50m. A 130Km/h, tout obstacle sera forcément vu au dernier moment. Vérifiez le fonctionnement et la propreté de vos phares et de feux de croisement. En cas d'accident, allumez vos feux de détresse.
Hypnose : un moyen efficace d'éliminer votre peur de conduire. Vous êtes terrorisé(e) à l'idée de conduire votre véhicule et votre peur vous paralyse ? Offrez-vous des séances d'hypnose ! Rien de tel pour déstresser et prendre le volant en toute sérénité.
Dans la vitesse, cette sensation de pouvoir s'accentue car plus on va vite, plus les neurones travaillent et le cerveau aime être occupé tant qu'il n'est pas dépassé. On a alors un sentiment de domination, de réaliser quelque chose de fort et cela produit des endorphines, qui correspondent à un plaisir réel.
Pour ne pas se faire « flasher », il existe un moyen simple, relativement peu coûteux et extrêmement efficace : l'avertisseur de radars. Son utilisation est totalement légale en France, à la différence des détecteurs de radars, qui sont interdits.
Les jeunes sont les premières victimes des accidents de la route. Les jeunes entre 18 et 24 ans constituent chaque année plus de 25% des tués et 23% des blessés. Le nombre de victimes décroît avec l'âge mais augmente à nouveau (et fortement) après 75 ans.
La quatrième cause de mort, une chance sur 85, est un accident de voiture en tant que conducteur. La troisième cause de mort, une chance sur 28, un infarctus.
Et aujourd'hui, la place du mort ne se trouve plus à l'avant aux côtés du chauffeur. Dans une voiture moderne, la nouvelle place du mort, la plus dangereuse, est désormais la place centrale arrière.
1/ L'A86. L'A86 serait l'autoroute la plus embouteillée d'Europe avec des ralentissements permanents toute la journée.
La route du Col du Chaussy, en France.
Contrairement aux idées reçues, les yeux clairs ne sont pas plus sensibles à la lumière que les yeux foncés. La sensibilité à la lumière des yeux bleus est une croyance répandue qui est cependant fausse. Les yeux bleus, et de manière générale les yeux clairs ne sont pas plus sensibles à la lumière que les yeux foncés.
Pourquoi voit-on mieux le jour que la nuit ? Le fond de la rétine de l'œil humain est tapissé de photorécepteurs (neurones sensoriels) de deux types : les cônes (entre 5 et 7 millions par œil), les bâtonnets (environ 120 millions par œil).
Les pigments de mélanine ne sont alors pas encore activés. Pour les yeux bleus, la lumière est donc davantage reflétée qu'absorbée, comme c'est le cas pour les yeux marron.