Est-il dangereux d'avoir des extrasystoles ? Quand s'inquiéter ? Les extrasystoles sont souvent bénignes, mais elles peuvent aussi être précurseuses de pathologies cardiaques sévères. Si elles se produisent souvent, surviennent en salves et / ou sont accentuées à l'effort, mieux vaut consulter son médecin généraliste !
La pratique d'activités de gestion du stress pour réduire les extrasystoles : méditation, exercices de respiration, yoga… La prise de médicaments antiarythmiques du type Pronestyl par exemple, mais aussi des bêtabloquants et des médicaments calciques.
Des extrasystoles peuvent se produire dans ces situations : Stress physique ou émotionnel. Consommation de café, de thé ou d'alcool. Utilisation de certains médicaments contre le rhume, l'allergie et l'asthme.
Classiquement, il est reconnu que les extrasystoles qui disparaissent à l'effort sont en général bénignes, en particulier quand il n'existe aucune maladie cardiaque.
Pour limiter les extrasystoles liées au stress, on conseille d'inspirer lentement à fond puis de bloquer la respiration et recommencer une dizaine de fois. La "cohérence cardiaque" pourrait être bénéfique. Elle est basée sur le fait que le contrôle respiratoire influence la fréquence cardiaque.
métoprolol (Lopressor, Betaloc)
La plupart des extrasystoles sont inoffensives et sont souvent perçues comme des "battements de cœur manqués". Cependant, elles peuvent être le signe d'une maladie cardiaque, c'est pourquoi vous devez toujours consulter un médecin si vous avez souvent des extrasystoles.
Les sports de faible intensité (IA, IIA) ou avec une pratique peu intense (natation) sont à privilégier. Les sports très intenses, surtout statique, sont déconseillés en raison du risque de majoration du stress au niveau de la paroi aortique ce qui favoriserait sa dilatation.
"Le stress, l'adrénaline peuvent provoquer des palpitations. Mais il faut savoir que le cœur peut battre vite sans aucun trouble du rythme. C'est simplement l'effet d'une émotion ou d'un effort. Il est donc logique de ne rien médicaliser dans ces cas-là.
Au niveau cardiovasculaire, l'anxiété aigüe (crises intenses, mais ponctuelles) peut provoquer : des palpitations : le cœur bat trop vite (tachycardie) ou de manière anarchique (extrasystole) ; une poussée hypertensive (augmentation rapide de la pression artérielle)
Celui-ci paraît battre trop vite, trop fort ou irrégulièrement. Plusieurs facteurs peuvent être à l'origine des palpitations : effort intense, troubles émotionnels, tabac, alcool, certains médicaments, etc. Une maladie cardiaque est recherchée dans certains cas.
Pour réduire les extrasystoles et la tachycardie, dormez suffisamment, à des horaires réguliers, et dans un environnement propice au repos et au sommeil profond (chambre obscure, silencieuse, avec une literie, du linge de lit et un oreiller confortable…).
"Les extrasystoles sont banales. Toutefois il ne faut pas trop en avoir non plus car cela peut fatiguer le cœur. Cela peut aussi être précurseur d'autres maladies plus compliquées. Mais tout le monde a des extrasystoles et cela n'a pas de critère de gravité en soi."
Les extrasystoles
Ce sont des battements qui perturbent le rythme sinusal normal et s'accompagnent d'une sensation de «palpitations» ou de «pause cardiaque». Les extrasystoles peuvent très bien se produire chez des personnes dont le cœur est en bonne santé, elles sont en principe bénignes.
Par ses propriétés tonicardiaques et ses effets dilatateurs sur les vaisseaux sanguins et en particulier sur les artères coronaires, l'aubépine peut s'avérer utile dans le traitement des troubles de l'excitabilité cardiaque (tachycardies, extrasystoles) chez l'adulte à coeur sain car elle renforce et régularise la ...
Entre la course à pied, la marche active (rapide et accompagnée de balancements des bras), la natation et le vélo – les quatre principaux sports d'endurance – lequel choisir? Tous sont bons pour le cœur… mais pas forcément pour votre corps!
On distingue trois types d'extrasystole en fonction de leur lieu d'origine : les extrasystoles auriculaires, qui prennent naissance dans les oreillettes, les extrasystoles jonctionnelles ou nodales, qui sont produites à la jonction auriculoventriculaire, et les extrasystoles ventriculaires, qui naissent dans les ...
L'eau est la seule boisson indispensable ; il faudrait en boire au moins un litre et demi par jour, telle quelle ou sous forme de boissons chaudes. Limitez la consommation des graisses, surtout saturées (viennoiseries, pâtisseries, charcuteries, beurre, sauces, fromages, lait entier…).
« Il faut préférer le glycérophosphate de magnésium, qui est liposoluble, associé à la taurine et/ou à la vitamine B6, pour une question de tolérance plus que d'efficacité », conseille le spécialiste.
L'aubépine soutient le muscle cardiaque
L'aubépine est également capable de réguler le rythme cardiaque. "Les extraits d'aubépine contiennent des flavonoïdes et des proanthocyanidines qui seraient à l'origine des effets positifs de l'aubépine sur le cœur.
L'aubépine, la valériane ou la passiflore peuvent être utilisées comme substituts des bêta-bloquants en cas de choc ou de stress.
Comme pour tout médicament, l'utilisation de bêtabloquants peut entraîner des effets indésirables : bradycardie (ralentissement important de la fréquence cardiaque), décompensation d'une insuffisance cardiaque, hypotension, asthme, hypoglycémie, troubles du sommeil, essoufflement, troubles digestifs, dysfonction ...
Un traitement par ß-bloquant ne doit jamais être arrêté brutalement, au risque de la survenue d'un effet rebond. Enfin, il faut adapter généralement la posologie des béta-bloquants en fonction de l'âge du patient et en fonction de la présence d'une insuffisance hépatique et/ou rénale.