Respirer par la bouche expose à un plus grand nombre d'infections car l'air entrant est froid et encore chargé en bactéries. Une croissance de la face : Une des grandes conséquences néfastes de la respiration buccale est une croissance pathologique des mâchoires et du visage.
Inspirer par le nez pendant 4 secondes. Expirer pendant 6 secondes par la bouche comme si on soufflait dans une paille. Faire une pause de 2 secondes. Recommencer autant de fois que nécessaire.
Respirer par le nez permet de filtrer, réchauffer et humidifier l'air inspiré avant son entrée dans les poumons. Au contraire, l'air inspiré par la bouche n'a pas ses qualités et favorise les infections ORL (otites, rhumes).
Si vous savez que vous respirez par la bouche, vous pouvez essayer de mettre un diachylon verticalement sur votre bouche. Le coussinet sera sur vos lèvres et ne les abimera pas. Il est recommandé aussi de dormir sur le côté et de rentrer un peu le menton.
L'obstruction nasale se caractérise par l'impression de ne plus pouvoir respirer par le nez. Elle s'accompagne souvent d'autres signes. Nez bouché et glaire : "la production de mucus est un moyen de défense permettant d'emporter les éléments étrangers (poussières, bactéries…) avec le mouchage.
Dormir la bouche ouverte entraîne une sécheresse de la bouche le matin, mais aussi une sécheresse de la gorge et des bronches. A terme, cela peut provoquer des encombrements, des irritations et favoriser le développement des allergies. Cela peur aussi avoir des répercussions sur les dents.
Pour mieux respirer, il est important que l'inspiration se fasse par le nez et l'expiration, par la bouche. Il est également important pour respirer correctement de prendre le temps de bien expirer : pour un temps passé à l'inspiration, comptez le double au moment de l'expiration.
Lorsque nous respirons normalement par le nez, l'air que nous inspirons est réchauffé et humidifié avant d'arriver aux poumons. Mais si une personne a du mal à respirer par le nez, elle va inspirer de l'air froid et sec par la bouche. Et cette différence peut provoquer une foule de désagréments plus ou moins graves.
Dormir en ayant la bouche ouverte favorise l'apparition des caries… Si l'on dort la bouche ouverte, c'est que notre corps préfère respirer par cette voie. Seulement, en respirant ainsi, la bouche est asséchée, et la salive manque. Et c'est cette dernière composante qui est primordiale…
La majorité des personnes peuvent aisément retenir leur respiration entre une et deux minutes. Il peut être dangereux de tenter de retenir sa respiration plus longtemps, particulièrement sous l'eau. Pour survivre, notre organisme a besoin d'oxygène (O2) et de dioxyde de carbone (CO2).
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
Mieux vaut donc respirer par le nez que par la bouche quand on dort, mais on ne choisit pas toujours. Les personnes souffrant d'asthme ou d'apnée du sommeil respirent très souvent par la bouche et se trouvent donc confrontées à ces risques d'infection.
La raison n'est pas liée à l'infection mais à un mécanisme contrôlé, comme le rythme cardiaque et la respiration, par le système nerveux dit autonome et appelé cycle nasal : un afflux de sang dans les vaisseaux provoque alternativement une congestion (gonflement) et une décongestion (dégonflement) de chacun des côtés ...
Origines possibles à ce manque de fermeture de bouche :
Sa bouche est hypotonique ; il a des difficultés pour en contrôler la fermeture. Il a une dyspraxie bucco-faciale qui conduit à des troubles de l'oralité alimentaire et verbale.
L'inflammation
Que la fumée, les acariens, le pollen, le stress, les hormones ou une intolérance alimentaire en soient responsables, le résultat est le même : la muqueuse est irritée. Les vaisseaux sanguins du nez se dilatent pour combattre cette irritation, la muqueuse prend de la place et le nez se bouche.
Lorsque la muqueuse nasale se gonfle d'un côté, elle se dégonfle de l'autre. On observe une alternance de phases de vasoconstriction et de vasodilatation. Ainsi l'air passe mieux et plus rapidement du côté où la muqueuse est dégonflée. Et la respiration se fait alors plus par l'une des narines que par l'autre.
Inspirer par le nez régule la respiration et le rythme cardiaque pendant le mouvement (et réchauffe l'air qui peut arriver froid et agressif dans les poumons en hiver.) L'expiration doit être buccale… quoique certains runners prônent le fait d'expirer par le nez pour éviter crampes et courbatures, disent-ils.
Si vous avez l'habitude d'inspirer par le nez et de souffler par la bouche, c'est bien, si vous avez l'habitude d'inspirer par le nez et par la bouche c'est très bien aussi. Cette consigne est faite dans le cadre de la cohérence cardiaque.
"On l'appelle respiration abdominale parce que, techniquement, elle se produit par le bas du ventre et non par la cage thoracique. L'avantage de cette technique est qu'elle favorise une respiration avec beaucoup plus d'amplitude, contrairement à la respiration classique qui passe uniquement par le thorax.
Lorsque vous dormez sur le ventre, votre position n'est pas idéale, en premier lieu pour votre dos : il est trop creusé, et votre colonne vertébrale est trop sollicitée. À terme, ce sont des douleurs lombaires qui peuvent ainsi apparaître.