Non seulement le parent peut avoir l'impression de ne plus aimer son enfant, mais il n'est pas rare qu'il commence même à détester être en sa présence.
Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce. Il a également été rejeté dans l'enfance et répète maintenant ce comportement avec ses enfants.
Les parents ont beau jurer qu'ils aiment leurs enfants tous de la même façon, d'après la science, c'est faux. Les pères et les mères ont bien tous un enfant préféré.
Puis, c'est au moment de la naissance de leur bébé, dès qu'ils l'aperçoivent et à la seconde même où ils le prennent dans leurs bras, que les parents ressentent de l'amour pour lui. Cependant, il arrive que certaines mères ne ressentent pas d'amour pour leur enfant et le rejette à la naissance.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
Si les grands-parents choisissent de s'occuper d'un petit-enfant et d'ignorer l'autre, c'est un signe avant-coureur d'une relation toxique. Ces grands-parents peuvent aussi comparer les enfants et leur dire des choses comme: « Tu n'es pas aussi intelligente que ta sœur » ou « Ton frère a fait mieux ».
Etre une confidente, pourvoyeuse de bons conseils. Transmettre l'histoire familiale. Apporter des espaces de tranquillité dans la vie trépidante des Petits-Enfants (et de leurs parents) Faire avec les Petits-Enfants ce que les parents ne font pas, souvent faute de temps.
À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
C'est ainsi que quand on est agressif avec un enfant, on ne lui apprend pas à être sage et patient, mais – par l'intermédiaire des neurones miroirs – on lui montre l'exemple de l'agressivité, c'est-à-dire qu'on lui apprend à être agressif à son tour.
Prendre le temps de respirer calmement quand la situation vous agresse permet de vous oxygéner, de vous calmer et aussi de montrer aux enfants que vous savez gérer la pression que vous ressentez. Ensuite, si votre enfant est agité et crie, parlez-lui tout bas pour essayer de comprendre ce qui se passe.
Article 227-17 du Code pénal : « L'abandon d'enfant est le fait, pour les parents, de se soustraire, sans motif légitime, à ses obligations légales au point de compromettre gravement la santé, la sécurité, la moralité ou l'éducation de son enfant mineur ».
Les enfants font face à plusieurs situations stressantes et à plusieurs contraintes durant la journée qui peuvent paraître très banales pour les adultes. Ils attendent donc d'être en milieu de confiance pour laisser sortir leurs émotions éprouvées dans la journée.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
Le favoritisme peut être lié aux règles ou aux privilèges d'un enfant par rapport aux autres. Par exemple, un enfant pourrait avoir le droit à plus de temps d'écran qu'un autre. Dans certains cas, la plainte de l'enfant se rapporte davantage à l'âge où ils avaient droit de faire certains comportements.
La place des grands-parents dans la vie des enfants
Bien souvent, les grands-parents sont là pour jouer les intermédiaires entre les générations différentes. Beaucoup plus disponibles et souvent plus à l'écoute que les parents, ils occupent à la fois un rôle éducatif et affectif.
– Soyez attentive
Écoutez avec attention vos petits-enfants et ne les interrompez pas quand ils vous confient quelque chose. Soyez disponible quand ils vous parlent, regardez-les, si possible, quand ils vous adressent la parole. Rassurez-les en cas de problèmes, donnez de bons conseils et ne les jugez pas trop.
Droits des grands-parents
Les grands-parents ont un droit de visite et d'hébergement de leurs petits-enfants, mais aussi le droit d'échanger une correspondance avec eux et de participer à leur éducation dans la mesure où ils ne se substituent pas aux parents. Ces droits restent valables : en cas de divorce des parents.
Vous avez le sentiment que votre vie d'adulte aurait pu être nettement plus épanouissante si vous aviez eu des parents différents. Vous êtes particulièrement peiné. e lorsque vos parents critiquent vos choix, votre mode de vie. Leurs propos ont tendance à vous blesser profondément et de façon assez récurrente.
Ses remarques et comportements vous mettent mal à l'aise. En sa présence, vous êtes toujours sur le qui-vive, de peur de commettre un impair. Mais depuis quelque temps, la situation s'est aggravée : votre fils vous appelle peu ou vient moins souvent vous voir, il prend davantage position contre vous…
Ecouter ses enfants. Etre capable de s'excuser si on est allé trop loin. Ce qui implique d'avoir conscience que l'on n'est pas des parents parfaits, mais que l'on tente d'être des parents suffisamment bons. Se rappeler que l'on aide son enfant à grandir, à être ce qu'il est, et non pas ce que l'on aimerait qu'il soit.
Ou des mères dévorantes, qui vivent au travers de leur enfant tout ce qu'elles-mêmes n'ont pas vécu… et le condamnent à refouler ses propres désirs pour combler les leurs. Amour absent, insuffisant ou, au contraire, envahissant, étouffant, l'amour déséquilibré d'une mère peut plomber une vie entière.
Elle veut qu'elle soit irréprochable, performante, aimée. Ses critiques peuvent aussi résulter de sa propre anxiété: elle a tellement peur que sa fille soit jugée par d'autres et elle veut tellement la préserver des coups qu'elle les porte elle-même en se disant que, venant d'elle, ça fera moins mal.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Chacun peut imaginer qu'à la question : "Peut-on pleurer devant ses enfants ?", la réponse est oui. En soi personne ne l'interdit ; au contraire, cette expression de sentiment est même conseillée.