La réponse du spécialiste. Bonjour, Vous souffrez probablement d'un syndrome d'hyper activité vésicale. Vous devriez essayer un traitement par anticholinergique qui diminuerait vos besoins urgents et ensuite aller consulter un urologue pour effectuer des investigations plus approfondies par un bilan uro dynamique.
Cela se produit parce que les muscles de la vessie commencent à se contracter involontairement même lorsque le volume d'urine dans votre vessie est minime. Cette contraction involontaire entraîne le besoin urgent d'uriner.
Ce symptôme est en général bénin. Dans la majorité des cas, la pollakiurie est liée à ce qu'on appelle une "vessie hyperactive" ou une hyperactivité vésicale (HAV). Dont on ne connaît aujourd'hui pas les causes. Mais il doit être pris au sérieux, car il peut être un signal d'alerte de quantité de maladies.
Si par contre vous êtes déshydraté, l'eau sera absorbée est envoyée vers les fonctions vitales avant de cheminer ensuite vers les reins pour être filtrée. Il faut compter environ 10 heures avant que le corps fabrique l'équivalent de deux tasses d'urine.
Les infections des voies urinaires sont la cause la plus courante de la fréquence urinaire chez les femmes et les enfants. Un diabète sucré non contrôlé est la cause la plus fréquente de la polyurie. L'hyperplasie bénigne de la prostate est une cause fréquente chez les hommes de plus de 50 ans.
envies fréquentes d'uriner ou pollakiurie ; brûlures en urinant ; difficultés à uriner ; douleurs du bas du ventre ou du dos.
Faire pipi entre quatre et dix fois par jour peut également être considéré comme "normal", si cette fréquence n'interfère pas avec la qualité de vie de la personne. Il est habituel qu'à partir de 50 ans une personne urine 1 fois la nuit, pour un volume de 250 ml à chaque fois, soit moins de 2 l au total sur 24 h.
Le fait de se lever fréquemment pour uriner la nuit est un symptôme appelé nycturie qui peut signaler la présence d'un problème de santé plus ou moins grave. Un simple changement des habitudes alimentaires peut suffire dans certains cas, tandis qu'un passage chez le médecin sera indispensable dans d'autres.
Changer ses habitudes pour uriner moins souvent
Si vous vous relevez plus d'une fois la nuit, réduisez vos apports hydriques (boissons, potages), le soir, au dîner et après. Diminuez votre consommation de thé, café et alcool qui sont diurétiques et en même temps des irritants de la vessie favorisant la pollakiurie.
Le symptôme le plus évident est la grande fréquence des mictions pendant la journée. Selon l'avis des médecins, il est normal d'uriner entre 4 et 8 fois par jour. Le faire plus souvent peut être le signe d'une vessie hyperactive ou irritable.
La pollakiurie, c'est-à-dire le besoin d'uriner fréquent, est souvent due à une absorption importante de liquide. Si vos mictions fréquentes ne semblent pas liées à la quantité de boisson que vous ingérez, elles peuvent être le symptôme d'un problème médical sous-jacent.
une personne présente une pollakiurie diurne lorsque ses mictions sont rapprochées, avec moins de 2 heures entre 2 passages aux toilettes au cours de la journée (plus de 7 mictions par journée) ; en cas de pollakiurie nocturne, ou nycturie, le patient se relève plus d'une une fois par nuit pour aller uriner.
En effet, une envie d'uriner fréquente et une soif importante sont des signes révélateurs de diabète. "Si vous avez trop de sucre flottant dans votre circulation sanguine, ce sucre commencera à sortir par les reins et à pénétrer dans l'urine", souligne le Dr Goldman.
L'homéopathie est également une solution sans effet secondaire connu, qui participe à calmer une vessie hyperactive. Un médecin homéopathe peut prescrire un traitement homéopathique pour traiter les symptômes et le terrain favorable à l'installation de l'hyperactivité vésicale.
L'eau est la meilleure boisson possible en cas de fuites urinaires. C'est la seule boisson avec laquelle vous ne prenez aucun risque pour votre vessie.
La pollakiurie : lorsque l'envie d'uriner est trop fréquente
Cependant, le volume d'urine total sur 24 heures est normal, chose qui différencie la pollakiurie d'un autre trouble urinaire : la polyurie. Le besoin d'uriner trop fréquemment peut se manifester de jour comme de nuit.
Le café Le café est l'un des diurétiques les plus connus et qui est consommé au quotidien.
On tend à uriner plus souvent avec l'âge pour de multiples raisons, notamment divers problèmes de santé comme l'hypertension ou le diabète. Le besoin d'uriner fréquemment peut aussi être le symptôme d'une infection des reins ou de la vessie.
“Si votre consommation de fluides est en cause, alors vous devriez arrêter de boire deux à trois heures avant le coucher”, conseille notre expert.
La desmopressine, prise par voie orale, est le médicament utilisé en première intention. Il s'agit d'une substance proche de l'hormone antidiurétique. Elle diminue fortement la production d'urine pendant la nuit. L'administration du médicament se fait au coucher sous la surveillance d'un adulte.
Plusieurs causes peuvent être la source de ces réveils : L'hygiène de vie et l'alimentation ne sont pas à négliger : un apport trop important en sodium ou trop de boissons consommées le soir et c'est le réveil assuré. Les traitements médicamenteux, les diurétiques par exemple.
Les reins éliminent l'excès de sucre dans l'organisme autant qu'ils peuvent en augmentant le volume urinaire : le diabète juvénile se manifeste ainsi par des envies fréquentes d'uriner, allant jusqu'à plusieurs levers la nuit, et les urines sont plus abondantes (polyurie).
changements ou manifestations physiques : changement inhabituel d'un sein, perte de poids inexpliquée, nouveau grain de beauté ou modification d'un grain de beauté, apparition d'une grosseur ou d'un gonflement, voix rauque ou enrouée, difficultés à avaler, importantes sueurs nocturnes.
Sans traitement, la tumeur va se développer dans la paroi de la vessie et ensuite envahir les organes voisins de la vessie : ganglions, prostate, vésicules séminales, utérus, trompes de Fallope, ovaire, etc. Des cellules cancéreuses vont migrer dans la circulation sanguine jusqu'au foie, aux poumons, au cerveau, etc.