Absolument ! Tant que votre partenaire et vous n'avez pas d'infection sexuellement transmissible (IST), y compris le VIH, et que vous êtes d'accord (la plupart des femmes n'ont pas de problème à faire l'amour pendant leurs règles, alors ne vous sentez pas gênée), tout va bien.
Il n'existe pas de contrindication médicale aux rapports sexuels durant les périodes menstruelles. Qu'elles soient abondantes ou pas, les règles en effet, ne constituent pas un obstacle aux relations sexuelles, et la pénétration n'est pas gênée.
Idée reçue : faire l'amour durant les règles, c'est sale ! Ce préjugé est lié à la croyance que les règles sont sales et rendent les femmes impures, or, comme tu le sais, il n'en est rien !
Les risques pour l'homme
En effet, pendant les règles, l'appareil génital de la femme ne connaît aucun changement qui empêche l'acte sexuel. Cependant, la présence du sang menstruel augmente les risques de transmission. Dans ce cas, il est important de porter un préservatif.
Diminuez votre consommation en sel et sucre. Ils sont responsables des nombreuses sensations de ballonnements et de rétention d'eau ; Diminuez votre consommation en caféine, en théine ainsi que les sodas.
Certaines femmes ressentent un pic de libido pendant leur période de règles, ce qui peut apporter encore plus de plaisir lors des rapports. Le sang menstruel sert de lubrifiant naturel supplémentaire, il y a aura moins de frictions, moins d'éraflements et donc plus de confort. Et donc plus de plaisir.
Si vos règles se sont arrêtées après le rapport, c'est possible, car l'utérus se contractant au moment de l'orgasme, il peut évacuer du sang. Du coup, les saignements peuvent ensuite être très peu abondants.
Hormonalement parlant, la période où les femmes ont le plus envie de faire l'amour, c'est donc avant l'ovulation (soit dix à quinze jours après les règles).
En résumé, il n'y a rien de sale ou de toxique comme on peut malheureusement parfois l'entendre dire. Non, les femmes ayant leurs règles ne font pas pourrir le jambon en le touchant !
La réponse de l'expert
D'autre part, il existe une autre possibilité : le stérilet du lendemain, encore plus efficace et cela jusqu'à 5 jours aussi. Ce sont les deux seules méthodes pouvant permettre d'éviter la fécondation de l'ovule par le spermatozoïde.
Buvez un grand verre d'eau avant l'acte sexuel
Le fait de boire beaucoup d'eau vous permettra en effet d'uriner fréquemment (dans l'idéal environ 1 fois toutes les 3h) et donc de nettoyer régulièrement votre vessie.
Si le couple devient stable et qu'il envisage d'abandonner le préservatif, un délai s'impose. D'abord, attendre 6 semaines après le dernier rapport non protégé. Ensuite, faire un test de dépistage des IST et s'assurer que les résultats sont négatifs.
Benoît Gallier. Cependant, c'est extrêmement rare. » Dans l'eau (piscine, douche, bain, eau de mer...), les spermatozoïdes meurent quasi-instantanément.
Ou l'eau et le savon ont ''éliminé'' les possible spermatozoïdes du liquide pré séminal.
Non. On croit souvent que l'on peut éviter de tomber enceinte si l'on se nettoie et s'essuie le vagin juste après un rapport sexuel. La douche vaginale, que ce soit avec de l'eau ou avec des solutions chimiques, n'a aucune efficacité contraceptive (6). Et ce n'est pas tout !
Lors de l'éjaculation, des millions de spermatozoïdes sont libérés. Commence alors pour eux une course effrénée vers l'utérus dans le but d'atteindre l'ovule. « À ce moment-là, on observe une horde de spermatozoïdes qui tournent autour de l'ovule, qui le bousculent, le font bouger. C'est très impressionnant à observer.
le TROD (test rapide d'orientation diagnostique) vous permet d'avoir un résultat en 30 minutes maximum. Il fonctionne à partir d'une goutte de sang prélevée au bout de votre doigt. Un délai de 3 mois (12 semaines) doit s'être écoulé après la dernière prise de risque.
L'utilisation d'un contraceptif – voire d'une contraception d'urgence en cas d'échec – est l'unique solution pour empêcher une grossesse non désirée. Les préservatifs sont, quant à eux, indispensables pour prévenir la transmission d'IST.
Vous pouvez vous faire dépister : dès six semaines après la dernière exposition au VIH (prise de sang) ; dès trois mois après la prise de risque avec un TROD (test rapide d'orientation diagnostique) ou un autotest. Un résultat positif devra dans ce cas être confirmé par une prise de sang.
En règle générale, la quantité de sang perdue est équivalente à environ 2 à 3 cuillères à soupe tout au long de la menstruation. La couleur de vos règles peut varier du rouge vif au brun foncé, voire au noir. Cette variation s'explique par le temps qu'il faut à votre sang pour quitter votre organisme.
Les causes des règles noires sont diverses. Mais la plupart du temps, si vous avez des règles noires et peu abondantes, il s'agit seulement de sang qui a séché. Lorsque le saignement est peu abondant, le sang a tendance à stagner quelque temps dans le vagin, et lorsqu'il s'écoule, il s'est oxydé et a donc foncé.
A la fin de chaque cycle, si la rencontre n'a pas eu lieu, l'utérus élimine cet endomètre qui ne sert plus. Cela provoque un saignement vaginal qui dure généralement de 3 à 7 jours selon les femmes. C'est ce qu'on appelle les règles.
Les symptômes liés aux règles peuvent perturber votre sommeil. La meilleure position ? La position foetale, c'est-à-dire allongée sur le côté avec les jambes repliées l'une sur l'autre en direction de la poitrine. Elle permet de soulager les douleurs, d'atténuer les crampes et même de réduire les fuites.
Pendant toute la durée de vos règles, votre corps généralement évacue de 5 ml à 80 ml (soit jusqu'à 6 cuillères à soupe) de sang menstruel (10).
Le vagin se nettoie naturellement grâce à son lubrifiant interne, c'est pourquoi il est préférable de se laver simplement une fois par jour, avec de l'eau tiède et des produits doux non parfumés. Tâchez de toujours bien vous laver et vous sécher, en particulier après les activités physiques.