3. Elle a une teneur élevée en fibres. La bière contient naturellement des fibres, qui agissent comme un laxatif naturel. Les fibres ralentissent aussi la vitesse à laquelle notre estomac élimine la nourriture.
L'alcool ne fait pas que déshydrater le corps, il irrite aussi la paroi de l'estomac. Cette irritation est la cause des vomissements, voire des diarrhées, en cas de surconsommation.
La bière, comme n'importe quel alcool, est à consommer avec modération. Néanmoins, elle pourrait avoir un effet bénéfique sur la santé. En effet, selon une récente étude portugaise, la boisson pourrait améliorer le microbiote intestinal des hommes.
Dans l'ensemble, les chercheurs ont constaté que la bière avait augmenté la diversité du microbiote intestinal. Ce terme désigne l'ensemble des micro-organismes dans nos intestins. Il influe non seulement sur la digestion, mais aussi sur le système immunitaire.
Une consommation trop importante pourrait ainsi : Augmenter les risques de survenue de nombreux cancers, dont tous les cancers des voies digestives (bouche, œsophage, estomac, côlon …) et le cancer du sein. Favoriser la survenue de maladies cardiovasculaires. Être une des principales causes de cirrhose.
Une consommation qui ne pose pas de problème
L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé. Comme le vin, la bière peut avoir des effets bénéfiques sur le cœur.
La bière est bonne pour le cœur
La bière diminuerait le mauvais cholestérol et favoriserait le bon. Ce double effet plutôt bénéfique pour le cœur, peut contribuer à faire chuter le risque d'accident cardiovasculaire de 30 à 60 %. La bière modifie aussi la fibrinogène, une protéine responsable de la coagulation du sang.
La bière est bonne pour les reins et le cœur.
Une étude finlandaise a démontré que la bière élimine les dépôts de calcium au niveau des reins et donc diminue le risque de calculs rénaux. En facilitant le transit elle permet aussi une élimination plus rapide des calculs.
Boire de la bière ne procure en aucune façon les bénéfices associés à ces formes de suppléments. On retrouve en quantité modeste des antioxydants nommés polyphénols (surtout dans les bières foncés). Ces composés sont reconnus pour avoir des effets positifs sur le système immunitaire et le vieillissement.
La dose quotidienne maximale de bière à ne pas dépasser se situerait entre 300 et 450 millilitres pour les hommes et 300 millilitres pour les femmes, selon les résultats d'une étude publiée dans The Lancet et financée par la Fondation Bill & Melinda Gates.
«C'est un effet de l'alcool au niveau de l'intestin grêle, qui irrite et accélère le transit intestinal.
Le vin s'est avéré moins délétère pour le foie que la bière et les alcools forts. Ainsi, chez les hommes qui buvaient principalement du vin, le risque de cirrhose était 1,2 fois supérieur pour une consommation de 14 à 28 boissons par semaine par rapport à une consommation de moins de 14 boissons par semaine.
La bonne bière ne se déguste jamais trop froide. On évite par exemple de la servir glacée car le palais sera anesthésié par le froid et vous ne ressentirez aucune subtilité d'arômes et saveurs. Si votre bière sort du réfrigérateur, attendez entre 5 et 10 minutes avant dégustation pour qu'elle se réchauffe légèrement.
Les bières fortes sont riches en microbes probiotiques
Le professeur Eric Claassen, qui enseigne à l'Université d'Amsterdam, explique que les bières belges fortes, notamment Hoegaarden, Westmalle Tripel et Echt Kriekenbier, sont riches en microbes probiotiques, véritables atouts santé.
Le vin, et notamment le rosé et les vins doux contiennent du fructose en excès (le « M » de FODMAPs) tandis que le cidre et la bière présentent des teneurs non négligeables en polyols (le « P » de FODMAPs).
Pour trancher la question une fois pour toutes, nous avons posé la question à un zythologue. Et sa réponse est très claire : non, la bière n'est pas responsable du gros ventre des buveurs de bière. Elle ne fait pas plus grossir qu'une autre boisson alcoolisée.
La bière peut avoir des effets intéressants pour la digestion, notamment car elle stimule la production d'acide stomacal qui favorise une meilleure vidange de l'estomac. La bière contient aussi beaucoup de fibres solubles qui sont bonnes pour le transit.
Une maladie nommée «hyponatrémie»
Boire trop d'eau ne coupe pas l'appétit, peut entraîner des dommages aux reins et altérer la concentration, rapporte le Daily Mail ce mardi.
C'est définitivement la consécration ! Ce vendredi 6 mai 2022, les résultats du World Beer Cup sont tombés : l'Anosteké Blonde de Brasserie du Pays Flamand, à Merville (Nord), est une nouvelle fois sacrée meilleure bière du monde !
Une érythrose faciale (gonflement et rougeur du visage), parfois de la couperose témoignent d'une consommation d'alcool excessive. Si c'est une personne plus proche de vous, comme votre conjoint, observez-le intimement.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Consommation excessive de la bière : les effets sur le foie
Étant interrompue, la première conséquence est la formation d'un dépôt de graisse à l'intérieur des cellules hépatites, appelée stéatose. Si la consommation excessive persiste, il s'ensuit une destruction des cellules du foie.
Il ne faut pas penser que seuls les alcools forts peuvent donner une diarrhée, car l'effet ne provient pas du degré absorbé. “Dans les faits, ce n'est pas le type d'alcool qui a un effet, mais bien la quantité ingérée par la personne.
Entre 24 et 72 heures sans alcool
Votre corps se met en mode détox intensive et essaie d'évacuer tout l'alcool qu'il a absorbé. En plus des frissons et des nausées, vous ressentez une fatigue profonde et avez l'impression que plus jamais vous ne vous sentirez bien.