Avec la chaleur, la pression de vos pneus peut baisser ; conduire avec des pneus sous-gonflés risque de modifier le comportement de votre voiture : flottement de la direction et manque d'efficacité du freinage. Cela peut aller jusqu'à l'éclatement du pneu ou son incendie.
Car quand un pneu roule, il s'échauffe et la pression interne augmente. Par exemple si la pression conseillée est de 2,2 bars, il faudra réajuster non pas à 2,2 mais à 2,5 bars, si on le fait “à chaud”. Ainsi lorsque le pneu va refroidir, sa pression va diminuer et se caler aux 2,2 bars préconisés.
Lorsque la pression des pneus est vérifiée à chaud, il est recommandé d'ajouter 0,3 bar à la pression conseillée. En hiver, on rajoutera 0,2 bar (à froid) pour compenser l'effet basse température de la saison.
Cela est principalement dû à la baisse de la température pendant la nuit entraînant une perte de pression. Cependant, vous devez régulièrement prendre soin de vos pneus, vérifiez la pression au moins toutes les deux semaines.
En résumé : lorsque la température augmente, les particules de gaz sont davantage en mouvement et s'entrechoquent ce qui provoque l'augmentation de la pression et du volume du pneu. Lorsque la température diminue, l'effet est contraire.
On peut expliquer cette variation à l'aide de la théorie cinétique des gaz. Selon cette théorie, une augmentation de température résulte en une augmentation de l'énergie cinétique des particules. Le risque de collisions est donc plus probable, ce qui provoque un changement de pression.
La loi de Gay-Lussac décrit la relation entre la pression et la température d'un gaz. Elle stipule qu'à volume constant, la pression d'une certaine quantité de gaz est directement proportionnelle à sa température absolue (P ∝ T).
Il vous suffit de re-gonfler le pneumatique et de l'enduire d'eau savonneuse. Si de petites bulles d'air se forment à certains endroits de la bande de roulement, c'est qu'il y a bien une ou plusieurs déchirure(s).
Lorsque votre véhicule se retrouve chargé (exemple : départ en vacances) pensez à surgonfler vos pneus d'environ 0.3 à 0.5 selon la charge. Cela améliore le comportement de l'auto et donc la sécurité.
Pour une réelle économie de carburant, gonflez-les (à chaud donc…) à 0,3 bar supplémentaire que la pression recommandée. Pour un confort maximal, vous pouvez vous contenter de 0,2 bar.
Il est recommandé de vérifier, au moins une fois par mois, la pression des pneus de votre véhicule. La pression des pneus étant directement liée à la température du pneumatique, le contrôle doit idéalement être effectué à froid (véhicule à l'arrêt depuis plus de 2 heures, ou ayant roulé moins de 3 kilomètres).
Dans 95 % des cas, le dégonflement lent de votre pneu est dû à: Un vis, clou ou tout autre corps étranger dans la bande de roulement. En général, l'objet est alors tellement bien enfoncé qu'il ne laisse échapper qu'un petit filet d'air. Une jante fissurée ou poreuse, qui a donc perdu son étanchéité
La pression d'air dans le pneu recommandée dans les instructions d'utilisation du véhicule est la pression « à froid ». Cela signifie qu'ils doivent être vérifiés le matin avant de conduire ou avant que la température monte ou que les rayons du soleil affectent les conditions.
En chauffant, la gomme devient plus malléable et épouse mieux les irrégularités du bitume.
La température a un impact déterminant sur le gonflage des pneus. Pour les pneu été, nous conseillons d'observer les pressions recommandées par le constructeur automobile ; pour les pneus hiver, nous recommandons une pression supérieure de 0,2 bar à celle des pneus été.
Pourquoi gonfler plus les pneus sur autoroute ? Le surgonflage d'un pneu diminue la largeur de la bande de roulement. Comme la chaussée est meilleure, la courbe de virage plus grande et la vitesse moyenne plus élevée sur autoroute, le fait de surgonfler les pneus montre ses avantages.
Pour garantir la tenue de route de votre véhicule chargé, il est conseillé de surgonfler légèrement vos pneumatiques.
Pneu sur-gonflé, les conséquences
Pour un pneu sur-gonflé, les côtés se soulèvent et l'espace qui accroche la route se réduit. Le freinage est moins efficace avec une distance de freinage rallongée et le confort de route est réduit. Une mauvaise pression augmente également les risques d'aquaplaning sur route mouillée.
Avant de procéder au gonflage, il faut commencer par vérifier la pression d'air dans les pneus pour savoir si le pneu est trop gonflé ou sous-gonflé. On utilisera un compresseur d'air muni d'une jauge ou d'une jauge à cadran.
– augmentation de la distance d'arrêt due à un manque de stabilité lors des freinages et à une mauvaise tenue de route : le pneu ne va pas adhérer de façon optimale au bitume ; – renforcement du risque d'aquaplaning en cas de freinage par temps de pluie ; – risque d'éclatement soudain du pneu.
Une roue crevée va entrainer un déséquilibre et le véhicule va tirer d'un côté. Pour la sécurité de tous, le mieux à faire est de s'arrêter. En continuant à rouler, la roue pourrait ne plus être réparable ou vous pourriez finir par endommager la jante.
Votre voyant de pression pneu, c'est un point d'exclamation qui se trouve dans une espèce de bocal arrondi, dont le bas est morcelé. Si celui-ci s'allume, alors, vous devez impérativement vérifier la pression de gonflage de vos pneumatiques.
A chaque fois que la température augmente,le fluide s'évapore partiellement entrainant une augmentation de la pression. Quand la température du liquide se stabilise, la pression en fait de même.
La pression et le volume d'un gaz sont inversement proportionnels. Ainsi, une augmentation de volume entraîne une diminution de la pression, alors que la pression augmente lorsque le volume diminue.