D'abord, l'augmentation des températures. Le mercure qui monte accroît notre circulation sanguine. Le sang circule plus vite et alimente beaucoup plus les follicules pileux – le bulbe du poil, un peu comme la forêt amazonienne pendant la saison des pluies. Le poil est plus abondamment nourri et donc il pousse plus vite ...
La réponse est oui et cela est dû à deux phénomènes bien précis. Dans un premier temps, c'est la chaleur qui stimule la pousse du poil. La hausse de température accélère la circulation sanguine qui alimente davantage les follicules pileux. L'exposition aux rayons UV, elle, augmente la production de kératine.
La croissance pileuse est régulée par les hormones sexuelles masculines (androgènes, dont la testostérone et la dihydrotestostérone), présentes aussi bien chez les hommes que chez les femmes, mais en quantités différentes. La testostérone stimule la croissance des poils du pubis et des aisselles.
L'huile essentielle de sauge est efficace contre la repousse des poils. Appliquée sur la peau une demi-heure après l'épilation, elle retarde la pousse. Par ailleurs, le citron, coupé en deux (ou en jus mélangé avec de l'eau) et appliqué sur la peau, l'embellit et ralentit la pousse des poils.
L'hypotrichose est une affection de la peau et du cuir chevelu caractérisé par un arrêt de la croissance pilaire. Les poils et les cheveux ne poussent plus sur une partie du corps ou sur la totalité des zones habituellement couvertes de poils et cheveux.
Le sang circule plus vite et alimente beaucoup plus les follicules pileux – le bulbe du poil, un peu comme la forêt amazonienne pendant la saison des pluies. Le poil est plus abondamment nourri et donc il pousse plus vite.
Le développement des poils s'achève normalement à la fin de la puberté. Le développement des poils du pubis et des aisselles s'arrête à la fin de la puberté. Mais sous l'action de la testostérone, d'autres poils continuent d'apparaître. Barbe et moustache poussent vers 14 ans et s'étoffent jusqu'à 30 ans environ.
Les professionnels déconseillent d'épiler le duvet du visage au niveau de la moustache ou des joues, au risque qu'il repousse dru et plus fourni. La solution ? La décoloration ! Mais si ce sont des poils durs, comme ceux qui peuvent apparaître après la ménopause, où le taux d'œstrogènes baisse, vous pouvez les retirer.
On ne recommande pas non plus de se raser les cuisses ou les bras, régions du corps aux poils plus fins, car la repousse risquerait d'être très drue.
Le curcuma : mélangé à du miel et du citron, le curcuma diminue l'épaisseur des poils et ralentit leur pousse. Le bicarbonate de soude : imbibe un coton avec de l'eau et du bicarbonate pour enlever plus facilement les poils.
En plus de la génétique, le stress est un facteur important de la pousse de vos poils. Provoquée par une forte pression, le stress peut aussi être causé par le manque de sommeil. Au même titre que les cheveux qui tombent lorsque nous ressentons trop de stress, les poils voient leur pousse ralentie.
Grâce à l'épilation au laser, il est possible d'éradiquer définitivement les poils au niveau des jambes, du maillot, des aisselles, des bras, du torse, et même de la lèvre supérieure. Cette technique ne peut être réalisée que par un professionnel de santé : un médecin formé à l'épilation au laser, ou un dermatologue.
Matin ou soir ? Tout dépend de vos poils. S'ils sont drus, le risque de repousse nocturne existe : il pourrait vous forcer, soit à vous raser à nouveau, soit à arriver au bureau avec une légère repousse - compliqué si vous êtes attendu rasé de très près.
L'eau hydrate le corps, et aide le système circulatoire, qui favorise la croissance des cheveux en nourrissant les racines des poils. Si vos racines de cheveux n'ont pas un niveau suffisant en eau, vos cheveux finiront par se dessécher, se casser, et par la suite ils cesseront de pousser.
Se raser le soir : évitez tant que possible
En effet, à ce moment-là votre peau est encore un peu endormie et la circulation sanguine est faible. Ainsi le risque de coupure est diminué et il y a peu de chance d'avoir des irritations.
Malheureusement, l'épilation et le rasage du pubis peuvent constituer un risque important de micro-blessures, qui de par leur emplacement, peuvent entraîner une infection et/ou transmettre des IST (infections sexuellement transmissibles) comme la chlamydia, la gonorrhée et les infections à papillomavirus (HPV).
"En pratique, entre le laser et la lumière pulsée, les plus efficaces sont les lasers. Les lasers ont une meilleure pénétration. Les lumières pulsées sont beaucoup plus diffusées. Il y a beaucoup plus de personnes qui proposent des traitements par lumière pulsée alors que les lasers sont en théorie des actes médicaux.
"Les poils du visage sont souvent liés à une hyperstimulation par la testostérone qui est l'hormone masculine. Quand on arrache un poil, on n'arrache que le dessus du poil. Le follicule, lui, continue d'en fabriquer de plus en plus et il stimule également les racines à côté.
L'épilation des poils pubiens est associée à un risque plus élevé de transmission d'infections sexuellement transmissibles (IST), telles que gonorrhées, herpès, chlamydia ou syphilis. Le risque augmente encore plus chez les adeptes des épilations intégrales et très fréquentes.
Le premier signe du développement pubertaire est l'augmentation de la taille des testicules vers 12-13 ans. Leur développement est rarement symétrique, et au final il est courant que l'un soit plus grand ou plus haut que l'autre.
Cycle pilaire
Elle dure de 2 à 5 ans. La phase catagène, qui lui succède, est celle de l'arrêt de la croissance ; elle dure de 2 à 3 semaines. La phase télogène, qui dure de 6 à 7 mois, est celle de l'ascension dans l'épaisseur de la peau puis de la chute du poil, sous la poussée d'un nouveau poil.
La pilosité pubienne chez la fille débute habituellement quelques mois après le début de la puberté (caractérisé par le début du développement mammaire), mais peut parfois précéder le développement mammaire. L'âge physiologique se situe entre 8 et 13 ans.
Elle est généralement due à une production excessive d'hormones mâles (les androgènes comme la testostérone ) ou à une sensibilité augmentée de la peau à des taux normaux d'androgènes.
En effet, en vieillissant, certains de nos follicules capillaires développeront une sensibilité à la dihydrotestostérone (DHT) qui est une hormone mâle produite à partir de la testostérone, cette dernière va raccourcir la durée de vie de chaque follicule affecté.