Il faut savoir que la cortisone ne rend pas dépendant de la même manière qu'une drogue pourrait le faire. Le terme de dépendance est utilisé pour illustrer un effet rebond lié à la résurgence des signes de la maladie dès l'arrêt du traitement.
Sport – Dopage
Différentes actions des corticoïdes sont recherchées par les sportifs les utilisant comme substances dopantes : pendant l'effort, les corticoïdes aident à fournir le glucose nécessaire à la poursuite de l'effort.
Les corticoïdes exercent un effet : anti-inflammatoire : ils réduisent l'inflammation, immunosuppresseur : à fortes doses, ils freinent l'activité du système immunitaire.
La cortisone, une arme redoutable contre la douleur
Uniquement délivrée sur prescription médicale, elle combat les inflammations. Lorsqu'une douleur est très aiguë et invalidante, une infiltration de cortisone peut s'avérer nécessaire.
La cortisone a tendance à faire baisser les défenses de l'organisme contre les infections (immunodépression induite). Il faut donc avoir une hygiène corporelle très importante surtout au niveau des dents (infection dentaire), des pieds (ongle incarné, mycose...) et de l'hygiène intime (infection urinaire fréquente).
Les effets indésirables les plus fréquents de ce traitement sont l'apparition de bleus, l'élévation de la tension artérielle, la rétention d'eau et de sel pouvant entraîner une insuffisance cardiaque, des troubles de l'humeur et/ou du sommeil, une prise de poids, un gonflement et une rougeur du visage, une poussée ...
Donc très clairement, la cortisone ne fait pas gonfler le visage.
– Éviter les aliments salés : charcuteries, fromages, conserves de poissons (sardine, thon…), plats cuisinés, biscuits apéritifs, bouillon de cube, fonds de sauce, olives… – Attention à certaines eaux gazeuses riches en sel : la quantité de sodium pouvant aller jusqu'à plus de 1 500 mg par litre.
Au cours des maladies inflammatoires graves, la posologie varie de 0,75 à 1,2 mg/kg/jour. A titre indicatif : 2 à 4 comprimés par jour pour un adulte de 60 kg. Des situations très exceptionnelles peuvent requérir des doses plus élevées. La posologie doit être adaptée à l'affection et au poids de l'enfant.
Si cela peut te rassurer ca a dégonflé entièrement au bout de 1 mois après l'arrêt complet du traitement.
Je peux avoir du mal à dormir
L'insomnie est un effet secondaire fréquent des corticoïdes, mais pas systématique.
Les effets secondaires sont bien connus, mais leurs conséquences varient selon la dose et la durée de traitement. D'abord, la cortisone modifie le métabolisme du sel et du sucre dans l'organisme, ce qui entraîne un accroissement de la sensation de faim.
On peut recourir aux corticoïdes pour traiter l'œdème de Quincke, les allergies chroniques, ainsi que les diverses maladies de peau comme l'eczéma, la dermatite atopique, l'urticaire et le prurit.
L'interruption brutale de la corticothérapie expose potentiellement au risque de survenue d'une défaillance surrénalienne aiguë, en particulier si le patient est soumis à un stress d'intensité importante.
CORTICOÏDE PAR VOIE GÉNÉRALE :
Tous les corticoïdes administrés par voie générale sont interdits en compétition. Leur utilisation justifie une A.U.T. appuyée par un dossier médical précisant la nécessité absolue du traitement, et l'échec des alternatives thérapeutiques.
Effet secondaire: la cortisone génère-t-elle une prise de poids? Au-delà d'une durée de prescription de trois mois, la cortisone entraîne une rétention d'eau et de sel, qui peut faire gonfler mais surtout être source de problèmes si l'on souffre d'hypertension ou d'insuffisance cardiaque.
Or, les effets de la cortisone sont facilement décuplés par la consommation d'alcool pendant le traitement. Les principaux risques incluent alors le ralentissement de l'élimination de l'alcool, la diminution de l'absorption du médicament, des vertiges ou encore des palpitations.
Des troubles de l'érection, une diminution de la libido, des perturbations du cycle menstruel ont été décrits sous corticothérapie longue.
Les plus employés sont la prednisone (Cortancyl®), la prednisolone (Solupred®) et la méthylprednisolone (Médrol®) qui se donnent par voie orale. Dans les poussées les plus fortes, on utilise parfois aussi des formes injectables (intraveineuse), par exemple le Solumédrol®, l'Hydrocortisone® ou le Célestène®.
La pratique du sport est très efficace dans le processus d'élimination de la cortisone du corps. En effet, lorsque vous faites des exercices physiques quels qu'ils soient, vous transpirez. Cette transpiration est un excellent moyen pour évacuer les déchets se trouvant dans votre corps.
Non, ce n'est pas un effet direct du médicament.
Augmenter les aliments riches en Potassium, pour limiter la rétention d'eau : Bananes, figues, abricots secs, autres fruits secs et graines oléagineuses, légumes-racines.
Toute personne ayant un jour pris de la cortisone (cortisol de synthèse anti-inflammatoire) a constaté que cette molécule fait gonfler. C'est la même chose avec le cortisol naturel. Le gros défaut du cortisol qui nous intéresse ici, c'est qu'il favorise la rétention hydro-sodée et la fabrication de graisse abdominale.
Ces anomalies sont dues à une redistribution des cellules graisseuses dans l'organisme (appelée lipodystrophie) et pas à une rétention d'eau. Fréquence : on estime qu'après deux à trois mois de traitement, 60% des patients vont présenter une modification significative de leur aspect physique.
une action régulatrice du glucose sanguin, qui permet de prévenir la survenue d'un diabète ; cette hormone est aussi celle de l'éveil et du stress, elle nous permet d'avoir l'énergie nécessaire particulièrement le matin ; enfin, elle permet la dégradation des protéines et des graisses dans les tissus.