CULTURE - En favorisant l'éveil aux richesses que chaque milieu et que chaque individu possède, la culture "établit un trait d'union entre les autres et soi-même" ; elle permet de communiquer, elle est rencontre de l'autre.
Élément vital d'une société dynamique, la culture s'exprime dans la manière de raconter nos histoires, de fêter, de nous rappeler le passé, de nous divertir et d'imaginer l'avenir. Notre expression créative nous aide à nous définir et à voir le monde au travers des yeux des autres.
Le groupe Caisse des Dépôts dans son ensemble est convaincu que la culture est essentielle pour établir du lien, réduire les inégalités sociales, redynamiser les territoires, créer ou recréer de l'emploi localement.
Effectivement , un types de sens s'en dégage permettant de définir la culture. Dans le sens courant , l'homme peut vivre sans culture . Ce qui signifie que que l'homme n'a rien n'acquis de cette culture , il se réduit donc à un homme inculturée….
La culture : l'homme par essence, un animal pensant. La culture, partie intégrante de l'homme va donner lieu à des activités culturelles : Le travail, L'art et la Technique, la religion. Nature ET culture : L'homme est un être paradoxal, toujours dans la duplicité avec deux éléments inconciliables.
La définition achevée de notre humanité implique le désir de se cultiver pour nouer des liens avec d'autres sociétés. En ce sens, un homme se définit par sa culture, c'est-à-dire sa curiosité d'esprit, l'étendue de ses connaissances et la force de son jugement.
Si être cultivé est un devoir, l'homme devrait donc se sentir obligé de développer ses talents, d'actualiser les dispositions de sa nature et de promouvoir par son effort moral le perfectionnement de son être.
Lévi-Strauss et la plupart des philosophes et ethnologues préfèrent désormais parler de « cultures » au pluriel. « Culture » désigne alors l'ensemble cohérent des constructions imaginaires, structures mentales et modes de productions propres à chaque communauté.
Selon une autre définition, la nature serait une catégorie de pensée regroupant les éléments biophysiques non humains d'un environnement, par opposition à la culture comme catégorie de laquelle relève toute production anthropique.
La culture est donc ce qui s'oppose à la nature : c'est ce qui est acquis. La nature, c'est tout ce qui est en nous par hérédité biologique ; la culture, c'est au contraire tout ce que nous tenons de la tradition externe. Dans cette citation, Lévi-Strauss met en évidence les types d'héritages que reçoit l'homme.
La culture fait l'homme parce que l'homme ,justement n'est jamais fait ,jamais achevé,il est toujours à faire, à façonner, à modeler, à inventer . C'est le propre de notre espèce d'être à ce point maléable ou comme le disait Rousseau, perfectible :capable de se transformer eux mêmes et d'être transformés.
La culture contribue positivement aux politiques, stratégies et programmes qui ciblent le développement social et économique, la durabilité environnementale, l'harmonie, la paix et la sécurité. La culture est à la fois un moteur et un catalyseur du développement durable.
Il a un esprit cultivé, comme la terre d'ailleurs, qui n'est pas en friche mais qui produit de nouvelles connaissances. L'expression « animal culturel » désigne le fait que l'homme est parti de l'état animal qu'il garde et qui réapparaît lorsqu'on parle de brute, pour ensuite se détacher de la nature et la transformer.
« L'homme est un être culturel par nature parce qu'il est un être naturel par culture. », dit E. Morin. Il est utile d'exploiter cette citation dans le cadre de ce travail car elle mêle plusieurs aspects indispensables pour pouvoir répondre à notre problème qui est de savoir si l'homme est un être de culture.
«La culture, dans son sens le plus large, est considérée comme l'ensemble des traits distinctifs, spirituels et matériels, intellectuels et affectifs, qui caractérisent une société ou un groupe social.
– Kant : « Produire dans un être raisonnable cette aptitude générale aux fins qui lui plaisent (donc en sa liberté) c'est la culture. Par conséquent, la culture seule peut être la fin dernière qu'on peut avec raison attribuer à la nature par rapport à l'espèce humaine. »
Philosophie : pourquoi se cultiver ? Introduction: être cultivé, c'est l'aboutissement d'un travail d'instruction, d'éducation, de socialisation et d'humanisation, un individu qui nous montre un visage de l'humain que caricature au contraire le visage de l'inculte, du barbare ou du sauvage.
La culture influe sur ce que nous voyons, comment nous interprétons les choses et comment un environnement doit être organisé. Elle façonne nos perceptions, la manière dont on perçoit des marques, des services, des relations.
LA CULTURE CONVENTIONNELLE, LA CULTURE BIOLOGIQUE ET LA CULTURE INTÉGRÉE.
25À la lumière des observations qui précèdent, on peut définir les valeurs culturelles comme des valeurs largement répandues au sein d'une langue-culture, des valeurs qui sous-tendent les croyances, les convictions, les attitudes, les habitudes communicatives généralement associées à une langue-culture particulière.
- La culture se substitue à la programmation instinctuelle et permet ne évolution rapide, mais n'étant pas transmissible génétiquement, elle implique une vulnérabilité à la naissance et une dépendance plus longue, elle a fait de l'homme un être curieux non spécialisé.
De nombreux facteurs ont été avancés pour expliquer l'émergence des cultures et des capacités symboliques des humains : le langage, la technique, l'intelligence sociale, l'imitation et l'apprentissage.
La culture est l'ensemble des connaissances, des savoir-faire, des traditions, des coutumes, propres à un groupe humain, à une civilisation. Elle se transmet socialement, de génération en génération et non par l'héritage génétique, et conditionne en grande partie les comportements individuels.