L'odeur du luxurieux, vivant ou mort, est le signe de son péché, le témoignage de son animalité. Si la luxure est avant tout un péché terrible pour les moines et les prêtres qui font vœu de chasteté, elle touche aussi les laïcs lorsqu'elle est assimilée au vice altérant la raison.
La liste des sept péchés de la chrétienté comprend l'avarice, l'envie, la paresse, la gourmandise, l'orgueil, la luxure et la colère, les définitions en bleu ci-dessous étant issues de Wikipedia.
Le dictionnaire définit la luxure comme la recherche sans retenue des plaisirs de l'amour physique, des plaisirs sensuels. Je ne vois toujours pas où serait le péché, sauf à y flairer encore de vagues effluves théologiques.
"Ce sont, répondit-il, le polythéisme, la sorcellerie ; le meurtre qu'Allah a interdit sauf à bon droit ; l'usurpation des biens de l'orphelin ; l'usure ; la fuite du front au jour du djihad et la fausse accusation (de fornication) des femmes vertueuses, chastes et croyantes". »
La liste que nous connaissons aujourd'hui a été fixée par Thomas d'Aquin. Elle pointe l'orgueil et l'envie comme vices irrécupérables et place gourmandise et luxure en bas de l'échelle. Au centre, la colère, l'avarice et la paresse.
violence, adultère, vol important...) et qui est commis en pleine conscience et de propos délibéré. Cet acte coupe totalement celui qui le commet de la grâce divine, plaçant ainsi l'âme en état de mort (c'est-à-dire séparée de Dieu) jusqu'à son absolution.
Jacobus Arminius a défini le péché impardonnable comme le rejet et le refus de Jésus-Christ par une méchanceté et une haine déterminées contre le Christ.
Ce sont l'orgueil, la gourmandise (ou addiction), la paresse (ou acédie, la négligence spirituelle), la luxure, l'avarice, la colère et l'envie.
Un moment important dans l'histoire du blasphème est celui où fut inventé le huitième péché capital, le « péché de langue » (peccatum linguae), au milieu du xiii e siècle.
L'odeur du luxurieux, vivant ou mort, est le signe de son péché, le témoignage de son animalité. Si la luxure est avant tout un péché terrible pour les moines et les prêtres qui font vœu de chasteté, elle touche aussi les laïcs lorsqu'elle est assimilée au vice altérant la raison.
Péché de chair : désigne le péché de luxure. Doux péché : désigne un péché qui ne semble pas provoquer de conséquences néfastes immédiates ou futures car il est lié au plaisir et au bien être. Cette expression est une manière de s'excuser, mais surtout de relativiser son acte.
La gourmandise dans les 7 péchés capitaux
La gourmandise est un péché car les gourmands sont suspectés de manger trop et sans savourer mais aussi de faire preuve de faiblesse ou de dépendance vis-à-vis de certains aliments. Elle est donc souvent confondue avec la voracité.
- Le péché véniel est une désobéissance légère à la loi divine par laquelle on ne manque que légèrement à quelque devoir envers Dieu, envers le prochain, et envers soi-même.
L'avarice est un péché lorsque l'argent est accumulé pour l'argent, et qu'il prend le pas sur soi-même et les relations avec les autres. Ce n'est pas la possession d'argent ou de biens matériels elle-même qui est en cause, mais d'oublier que les biens ont été confiés par Dieu.
Des sept péchés capitaux, la doctrine chrétienne considère l'orgueil comme le plus important, le plus grave de tous parce que ce sentiment de supériorité pousserait celui ou celle qui en est atteint, à se placer au-dessus des autres, et ultimement à s'élever au-dessus de Dieu.
« Le péché est une faute contre la raison, la vérité, la conscience droite; il est un manquement à l'amour véritable, envers Dieu et envers le prochain, à cause d'un attachement pervers à certains biens. Il blesse la nature de l'homme et porte atteinte à la solidarité humaine.
Les sept capitaux (orgueil, gourmandise, luxure, avarice, jalousie, colère et paresse) ont été identifiés par saint Thomas d'Aquin au XIIe siècle. Ils figurent toujours en bonne place dans le Catéchisme de l'Église catholique dans sa dernière édition de 1997.
A la fin VIe siècle, c'est le pape Grégoire Ier le Grand qui fixa définitivement cette liste, encore admise aujourd'hui par l'église catholique.
L'Esprit saint est appelé par Jésus « Paraclet » dans le discours de la Cène (Jn 14,16.26 ; 15,26 ; 16,7), littéralement « celui qui est appelé au secours », que l'on traduit par Consolateur ou Défenseur. Jésus appelle l'Esprit saint « Esprit de vérité » (Jn 16,13).
Selon la définition du dictionnaire Larousse, le blasphème se définit comme une parole ou un discours qui outrage la divinité, la religion ou ce qui est considéré comme respectable ou sacré. « Le terme blasphème, lui-même, est un terme religieux, c'est le ressenti de croyants.
Le blasphème consiste à user du Nom de Dieu ou de Jésus-Christ d'une façon injurieuse, interdiction étendue par le Vatican à la Vierge Marie et les saints.
« La communion sacramentelle peut ne pas être possible pendant un très long intervalle à cause des différentes infirmités que Dieu envoie à sa créature pour l'éprouver, mais cette privation, lorsqu'elle ne dépend pas de nous, n'empêche pas la sainteté.
On pourrait définir la chair de façon neutre comme la condition humaine. D'un autre côté, la chair est la puissance « d'inclination spontanée au mal »21. C'est en elle que Paul situe la source la plus profonde de la révolte contre Dieu — de ce que l'anthropologie biblique identifie comme le péché.
Suivant le catéchisme de l'Église catholique, un péché est mortel s'il a pour objet une « matière grave » et s'il est commis en pleine conscience et avec un entier consentement, à la différence du péché véniel qui affaiblit la grâce divine sans la supprimer.