Ce n'est pas une maladie héréditaire ou génétique, ce n'est pas non plus une maladie contagieuse. La maladie de Horton est une maladie inflammatoire des grosses artères (artérite).
Quelles sont les causes de la maladie de Horton ? La maladie de Horton est une maladie inflammatoire des vaisseaux dont l'origine exacte reste inconnue. Plusieurs facteurs pourraient intervenir : les facteurs génétiques, environnementaux, infectieux, hormonaux…
L'évolution de la maladie de Horton est très favorable dès que le traitement est débuté. On parle d'amélioration spectaculaire car tous les signes décrits ci-dessus disparaissent en 24 à 72 heures. Le traitement est néanmoins long et il peut y avoir des rechutes en cas de décroissance trop rapide du traitement.
La maladie de Horton, aussi appelée artérite temporale, est une pathologie inflammatoire affectant certains vaisseaux, et plus spécifiquement les artères temporales. Cette affection est relativement rare chez les moins de 60 ans puisqu'elle concerne 1 personne sur 11 000.
Les symptômes de la maladie de Horton sont :
Faiblesse ou absence de pouls au niveau des tempes. Troubles de la vision avec au maximum une cécité Fatigue, asthénie, amaigrissement, fièvre due à l'inflammation. Douleurs lors de la mastication, claudication de la mâchoire, hypersensibilité du cuir chevelu.
Les examens qui permettent le diagnostic :
L'échographie des artères du crâne peuvent mettre en évidence une inflammation des artères, localisée le plus souvent au niveau de la tempe (artère temporale). L'échographie est cependant un examen qui demande de l'entrainement et que tout échographiste ne sait pas faire.
Quels sont les traitements ? Les anti-inflammatoires sont le principal recours pour le traitement de ce type de maladie. S'il s'agit d'une urgence ophtalmologique et sous réserve des conseils du médecin traitant, la corticothérapie peut être adaptée.
Traitement. Cette condition nécessite un traitement avec de la cortisone (prednisone). Celle-ci diminue vos symptômes habituellement dès la première semaine. Votre rhumatologue diminuera la dose progressivement.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens : ils permettent d'amoindrir les douleurs. Les infiltrations de corticoïdes : elles permettent de diminuer ou supprimer les douleurs, de façon temporaire ou définitive. Ce traitement n'est cependant pas efficace chez tous les patients.
L'artérite temporale commence par se manifester par des symptômes généraux, rappelant un état grippal : maux de tête, fatigue, perte d'appétit. Ensuite, les symptômes de la maladie de Horton sont plus caractéristiques : Des maux de tête au niveau d'une ou des deux tempes. La céphalée est le signe le plus important.
Apport en potassium : il n'est pas systématique et dépend de l'évolution du taux de potassium dans le sang (« kaliémie ») sous traitement. Prévention de l'ostéoporose : elle est indispensable chez ces sujets âgés.
Qu'est-ce que la céphalée de Horton ? Les gens qui souffrent de la céphalée de Horton ont des crises de douleur intenses, d'un seul côté du visage. La douleur se situe d'habitude autour de l'œil et à la tempe, mais elle s'étend parfois jusqu'aux dents, à l'oreille et au cou. Les crises peuvent durer jusqu'à 3 heures.
La complication redoutée de la maladie de Horton est la survenue d'une atteinte ophtalmologique qui peut conduire à la cécité d'un œil ou des deux. Heureusement, cette complication ne survient que chez quelques patients et le traitement est efficace pour éviter sa survenue.
La biopsie de l'artère temporale est la technique utilisée pour diagnostiquer avec certitude l'artérite temporale. On utilise parfois l'échodoppler pour localiser la partie de l'artère temporale à prélever pour biopsie.
Le traitement repose sur les corticoïdes et éventuellement le pontage ou la désobstruction artérielle chirurgicale.
La maladie se manifeste d'abord par une douleur dans certains muscles de la jambe, ressemblant à une crampe musculaire. Habituellement, celle-ci survient à la marche surtout en pente (parfois pendant la montée des escaliers) et s'accentue peu à peu, obligeant la personne à s'arrêter.
Dans 90 à 95 % des cas, l'artérite résulte de l'accumulation essentiellement de cholestérol dans certaines artères. Ces dépôts forment des plaques d' athérome au niveau de la paroi interne de l'artère, et provoquent une réaction inflammatoire (c'est l'athérosclérose).
Il existe une maladie qui fait gonfler l'artère temporale, c'est la maladie de Horton. Mais il n'est absolument pas certain que ce soit de cela dont il s'agisse, il faut en parler à votre médecin. Cette maladie n'est pas une urgence extrême, mais elle doit être soignée (en particulier par de la cortisone).
La maladie de Horton (parfois appelée artérite temporale ou artérite crânienne) désigne une maladie inflammatoire qui se caractérise par l'inflammation des vaisseaux sanguins, en particulier les artères situées au niveau des tempes (artères temporales).
Afin de confirmer le diagnostic d'artérite temporale, le médecin peut ensuite demander une biopsie de l'artère temporale (prélèvement d'un échantillon de l'artère inflammatoire sous la peau), ce qui sera souvent réalisé en ophtalmologie.
Les traitements habituels contre la douleur sont peu efficaces contre les céphalées de Horton. La plupart du temps, on peut casser les crises avec du sumatriptan (Imitrex) en injection, car on a besoin de soulagement rapide. L'oxygène peut être administré avec un masque et fonctionne assez bien.
On fait une coupure d'environ 3 cm de long près de l'oreille. Puis, on prélève un petit morceau d'une artère de la tempe pour l'analyser. On termine en refermant la plaie avec des points de suture ou des bandelettes (Steri-Strips). L'intervention dure 30 minutes en tout.
La pseudo polyarthrite rhizomélique (PPR) est un rhumatisme inflammatoire chronique caractérisé par un enraidissement douloureux des épaules et du pelvis associé à un syndrome inflammatoire biologique. Elle survient chez les sujets âgés de plus de 50 ans.
Elle est située entre les deux feuillets de l'aponévrose temporale. Elle se poursuit jusqu'au niveau du muscle orbiculaire de l'œil où elle s'anastomose avec les artères palpébrales issues de l'artère ophtalmique.