À la fin de la guerre, l'URSS conserve la partie orientale de la Pologne de 1921-1939. En contrepartie partielle de cette perte, la Pologne reçoit de l'Allemagne vaincue les territoires de la Poméranie orientale, de la Prusse-Orientale du Sud et de la Silésie, peuplées en majorité d'Allemands depuis cinq siècles.
Par la suite, la Pologne orientale fut annexée et rattachée à la république socialiste soviétique d'Ukraine et à la république socialiste soviétique de Biélorussie. Le 16 août 1945, le gouvernement polonais, contrôlé par les communistes, signa un traité avec l'URSS cédant officiellement ces territoires.
L'invasion de la Pologne par l'Union soviétique le 17 septembre 1939 intervient à la suite du pacte germano-soviétique. Pour les soviétiques, les raisons sont la discrimination des populations ukrainiennes et biélorusses, même si le réel objectif de Staline est d'agrandir l'U.R.S.S.
L'invasion soviétique du 17 septembre 1939 s'est faite sur un prétexte fallacieux : celui de l'incapacité de la Pologne à défendre ses propres citoyens.
Les Soviétiques intervinrent car, selon eux, les populations ukrainiennes et biélorusses de Pologne étaient victimes de discrimination, bien que la raison officieuse était l'intention de Staline d'annexer des territoires polonais et ainsi d'agrandir l'URSS.
A la fin janvier 1945, presque toute la Pologne dans ses frontières d'avant-guerre avait été libérée par les forces soviétiques. Après la capitulation de l'Allemagne, les troupes soviétiques occupèrent la majorité de l'Europe de l'Est, y compris la Pologne.
La langue polonaise est une langue slave, comme le russe par exemple, mais appartient à une sous-famille particulière (le groupe des langues slaves occidentales, avec le cachoube, le tchèque, le slovaque, le haut sorabe et le bas sorabe).
Aussi URSS. Cet ensemble a existé de 1922 à 1991. Constituée dans les années qui suivent la révolution bolchévique (Octobre 1917), l'URSS était composée de la Russie, de l'Ukraine, puis de la Biélorussie et de la Moldavie. Étaient aussi inclus les États de la Transcaucasie : Azerbaïdjan, Arménie et Géorgie.
la Pologne est ceinturée sur deux côtés : par l'Allemagne à l'ouest et au nord et par l'URSS à l'est ; elle se trouve en infériorité stratégique, tant en hommes qu'en matériel ; sur le plan tactique, ses Alliés occidentaux déclarent la guerre à l'Allemagne, mais agissent peu militairement.
L'armée allemande franchit la frontière polonaise le 1er septembre 1939 sur ordre de Hitler.
Le 3 septembre 1939, suite à l'agression de la Pologne, la Grande-Bretagne puis la France déclarent la guerre à l'Allemagne.
L'armée allemande envahit la Pologne le 1er septembre 1939, déclenchant la Seconde Guerre mondiale.
En Europe, l'évènement déclencheur de la Seconde Guerre mondiale a lieu le 1er septembre 1939 avec l'invasion de la Pologne par l'Allemagne.
L'URSS était constituée, après la Seconde Guerre mondiale, de quinze républiques : Arménie, Azerbaïdjan, Biélorussie, Estonie, Géorgie, Kazakhstan, Kirghizistan, Lituanie, Lettonie, Moldavie, Ouzbékistan, Russie, Tadjikistan, Turkménistan, Ukraine.
Le 8 décembre 1991, Boris Eltsine et les présidents de Biélorussie et d'Ukraine se réunissent à Minsk. À l'issue de leurs échanges, ils concluent la dissolution de l'URSS. Le 21 décembre 1991, ce sont 11 pays de l'Union soviétique qui décident de mettre un terme à l'État fédéral à Alma-Ata.
Après l'Anschluss et le démembrement de la Tchécoslovaquie, la Pologne constitue la cible suivante d'Hitler dans sa volonté de réviser le traité de Versailles (supprimer le couloir de Dantzig et rattacher la Prusse orientale) et de construire une "Grande allemagne" (agrandie vers l'Est).
La cause la plus fondamentale était l'infériorité démographique. En 1938, après l'annexion du pays des Sudètes, le Reich comptait 79 millions d'habitants, presque deux fois plus que la France (41,5) ! L'infériorité numérique s'était aggravée depuis 1914 (68 millions contre 39,6).
En avril 1938 , l'Union soviétique entame des négociations diplomatiques avec la Finlande pour tenter d'améliorer la défense mutuelle des deux pays contre l'Allemagne. Les Soviétiques invoquent principalement la crainte d'une attaque allemande contre Léningrad utilisant la Finlande comme tête de pont.
Si Vladimir Poutine a déclaré vouloir "détruire l'anti-Russie", son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky estime que le Kremlin pourrait avoir pour objectif de reconstruire toute la sphère d'influence européenne de l'URSS. La Pologne a annoncé augmenter ses dépenses militaires.
“Vladimir Poutine veut faire la jonction entre la Crimée et les territoires conquis autour de la Crimée.”(...), détaille Emmanuel Dupuy, président de l'Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE) . “Il va, petit à petit, grignoter le territoire pour aboutir à une sorte de cohérence géographique”, ajoute-t-il.
La réponse la plus évidente est le retour de la grande Russie. Le maître du Kremlin veut rétablir une zone de protection autour de son pays et cela passe par une zone d'influence sur les pays de l'ex-URSS dont l'Ukraine faisait partie mais qui a pris son indépendance en 1991 (90 % des Ukrainiens ont voté en ce sens).
Aujourd'hui, les Slaves occupent toute l'Europe orientale, du Nord au Sud, et il en existe trois branches : les Slaves occidentaux (Polonais, Tchèques, Slovaques, Serbes de Loujitse etc.), les Slaves orientaux (Russes, Biélorusses et Ukrainiens, que l'on nommait autrefois Malorusses) et les Slaves méridionaux (Bulgares ...
Les expressions de base
– « Dzień dobry ! » : Bonjour ! – « Dobry wieczór! » : Bonsoir ! – « Cześć! » : Salut ! – « Do widzenia! » : Au revoir !
Bien que d'origine ukrainienne, elles sont souvent réticentes à revenir vers la langue de leurs ancêtres. Ainsi, d'un point de vue ethnique, il y a des Ukrainiens qui ne parlent que le russe, tout comme il y a des Russes de langue maternelle ukrainienne, et qui parlent russe en seconde langue.