L'œstrogène est à son plus haut juste avant l'ovulation et est un coupe-faim, selon la psychologue américaine. La progestérone, sécrétée essentiellement après l'ovulation, augmente l'appétit – et l'anxiété –, une autre caractéristique du SPM.
La progestérone participe à la régulation du poids en stimulant l'activité de la thyroïde et la libido. Ce qui revient à dire qu'elle nous donne l'envie d'être active, ce qui est bon pour le moral et notre vie en général. Son insuffisance peut aussi favoriser la prise de poids.
Risques professionnels : une somnolence ou des étourdissements temporaires et occasionnels peuvent apparaître chez certaines personnes 1 à 4 heures après la prise de progestérone, surtout si le médicament a été pris avec des aliments.
La hausse du taux de progestérone en deuxième partie de cycle menstruel peut expliquer le gonflement du ventre comme les contractions utérines. L'éventuelle rétention d'eau n'arrange rien. Ce n'est que passager, les symptômes disparaissent vite quand les œstrogènes commencent à reprendre le dessus.
La progestérone agit sur la muqueuse de l'utérus (ou endomètre), et permet la survenue des règles à la fin de chaque cycle menstruel.
Il n'est pas nécessaire d'être à jeun. Lors du dosage, il est indispensable de préciser l'âge et la date des dernières règles, et le nombre de semaines d'aménorrhée en cas de grossesse.
Votre foie et vos reins sont en fait surchargés par les différentes hormones sécrétées durant ce premier trimestre (progestérone, œstrogène, gonadotrophine chorionique humaine…). Ils ne peuvent remplir leur rôle de détoxification des toxines du corps, ce qui entraine plus de fatigue.
L'utilisation de progestérone naturelle micronisée n'est pas associée à une augmentation significative du risque de cancer du sein par rapport à celui observé chez les femmes ne prenant pas de traitement hormonal de la ménopause.
Posologie usuelle :
Dans le traitement d'une insuffisance de progestérone par voie orale, la posologie est de 200 mg par jour, en 1 prise ou 300 mg par jour, en 2 prises, pendant 10 jours par mois (habituellement du 17e au 26e jour du cycle).
"Un traitement hormonal bien conduit, qui n'est pas surdosé, ne doit pas faire grossir. Si on observe une tension des seins, une rétention d'eau, c'est qu'on est surdosée en oestrogènes. Il faut donc toujours employer des petites doses.
Les doses d'œstrogènes et progestérones peuvent être réduites de moitié après la 8ème semaine et stoppées définitivement 10 jours après. Veuillez toujours consulter votre médecin pour déterminer les dates d'arrêt précises de prise des médicaments.
Au niveau du génome, l'hormone DEAH stimule la synthèse de collagène, augmente la desquamation naturelle de la peau et favorise son renouvellement. En surface, l'apparition de nouvelles rides est ralentie.
La leptine ou « hormone de la satiété » est une hormone participant au contrôle de l'appétit : elle est considérée comme une hormone anorexigène, c'est-à-dire qu'elle diminue l'appétit, ce qui génère une sensation de satiété.
Les oestrogènes et la progestérone tendent à empêcher l'apparition de graisse abdominale tandis que le cortisol, l'hormone associée au stress, favorise la prise de graisse abdominale, autant chez les femmes minces que chez les femmes en surpoids.
Progestérone et constipation pendant les règles
Votre taux de progestérone augmente avant l'arrivée de vos règles et explique ballonnements et épisodes de constipation. À cela s'ajoute une modification de la flore intestinale qui favorise les flatulences.
À titre indicatif, les concentrations sanguines normales de progestérone en dehors de toute grossesse sont inférieures à 1,5 ng/mL pendant la phase folliculaire, comprises entre 0,7 et 4 ng/mL au moment du pic ovulatoire et entre 2 et 30 ng/mL pendant la phase lutéale (reflet de la présence du corps jaune).
La progestérone est la cause de ce besoin fréquent d'uriner. Elle stimule l'activité des reins qui se mettent à produire davantage d'urine.
La progestérone induit la détente et le sommeil. Lors d'une grossesse, par exemple, le corps produira plus de progestérone, afin de favoriser l'endormissement de la future mère. Si son taux est faible, le sommeil de la femme en est affecté. Les œstrogènes peuvent perturber le sommeil, pendant la ménopause.
Elle peut provoquer des douleurs dans l'abdomen généralement pendant les règles (menstruations) ou des douleurs associées aux rapports sexuels. Les modulateurs des récepteurs de la progestérone ont été préconisés comme l'un des traitements hormonaux pour l'endométriose.
Indications PROGESTERONE SANDOZ
· irrégularités menstruelles par dysovulation ou anovulation, · mastopathies bénignes, · préménopause, · traitement substitutif de la ménopause (en complément du traitement estrogénique).
La prise de progestérone par voie orale est utilisée en fin de grossesse en vue d'éviter une naissance prématurée, malgré l'absence d'efficacité démontrée. La progestérone est une cause connue de cholestase intrahépatique, qui survient au 3e trimestre de la grossesse.
La progestérone est sécrétée en début de grossesse par le corps jaune puis par le placenta. Elle prévient le début du travail en inhibant les contractions utérines (quiescence myométriale), en s'opposant aux effets de l'ocytocine et des prostaglandines et elle a une action sur le col utérin.