Dans un monde que vous jugez incertain, difficile, la capacité de résilience est pour vous celle qui fait la différence. Pourquoi choisir cette valeur : les parents soucieux de transmettre des outils pour affronter les chocs de l'existence et surmonter les épreuves sont souvent eux-mêmes des résilients.
Mauve en arbre : la résilience.
Cette capacité adaptative impacte positivement le reste de la vie et permet de ne plus se soumettre à l'impact que peut avoir un traumatisme sur notre propre fonctionnement, en atténuant la douleur psychique. C'est le principe de résilience.
Au sens large (et en particulier pour ce qui concerne les sciences humaines), on peut considérer la résilience en tant que capacité, pour un système donné, de surmonter les altérations provoquées par un ou des éléments perturbateurs, pour retrouver son état initial et/ou un fonctionnement normal.
On peut dire d'une personne qu'elle est résiliente lorsque, plutôt que de nier les évènements ou de s'enfoncer dans la tristesse et la dépression à cause d'eux, elle parvient à y faire face, a ressortir plus fort de ses expériences, à rester optimiste et confiant en la vie.
Une personne résiliente est capable d'accepter des circonstances difficiles ainsi que les émotions qu'elles provoquent. Elle dispose d'une stratégie patente de gestion du stress, que l'on appelle aussi «coping», et elle est capable d'activer d'efficaces mécanismes de défense.
Annuler, casser. Les juges ont résilié le contrat.
Lorsque le terme résilience fut employé la première fois ce fut en 1626 en anglais par le philosophe Francis Bacon. Le sens de ce mot en anglais est « rebondir », « se ressaisir » ou « se redresser ». En anglais cela désigne des situations qui font l'objet des préoccupations actuelles dans le champ de la psychologie.
La notion de résilience, si on la regarde sous un angle psychologique, renvoie à la capacité de l'individu à dépasser un traumatisme. C'est l'adaptation et la résistance du corps au choc auquel il est soumis.
Le deuil et la résilience ont des points communs, particulièrement une origine traumatique. Également, ils ont en commun leur temporalité. Aussi le deuil et la résilience ont encore en commun le combat des émotions, des sentiments. Toutefois, il existe des différences entre le deuil et la résilience.
On peut donc parler de résilience quand, après un choc, une personne retrouve une vie normale, socialement acceptable, où elle n'est plus en prise aux conséquences de ce choc. Les manifestations classiques du trauma sont la dépression, l'angoisse, le manque de sommeil, les addictions, entre autres.
Il inclut en particulier le plan de « Facilité pour la reprise et la résilience » qui doit soutenir les efforts de relance des États membres, en ciblant notamment les plus durement touchés par la crise sanitaire de Covid-19. Il doit aussi favoriser un investissement massif dans la transition écologique et numérique.
Symbole de force, victoire et fierté, le glaïeul est la fleur des héros/héroïnes. Son nom provient du latin gladius, qui signifie glaive. C'est ainsi que les Romains lançaient des glaïeuls aux gladiateurs victorieux.
Myosotis : « Je ne vous oublie pas »
Langage des fleurs : symbole du souvenir, le myosotis est la fleur de l'absence et de la séparation.
L'hortensia verdissant traduit l'espoir. L'hortensia bleu est un moyen de transmettre un message délicat.
Au-delà de leurs divergences, tous soulignent que l'impératif de résilience correspond à la forme la moins « ambitieuse » de l'adaptation, celle qui vise à perpétuer les rapports de force existants plutôt que de s'y opposer ou de les transformer.
C'est un concept de psychologie individuelle qui concerne la capacité d'une personne à surmonter des situations difficiles et stressantes au boulot ! Cette capacité nous permet d'assumer, de manière flexible et réfléchie, les situations pénibles au travail.
1. Qui est susceptible d'application pratique, qui a une valeur pratique. 2. Qui est orienté vers l'action pratique : Une politique pragmatique.
Dans cette perspective, rappelons la définition proposée par Manciaux, Vanistendael, Lecomte et Cyrulnik (2001) : « Capacité d'une personne ou d'un groupe à se développer bien, à continuer à se projeter dans l'avenir en dépit d'« événements déstabilisants, de conditions de vie difficiles, de traumatismes sévères ».
Le mot empathique peut être remplacé par compatissant , compréhensif ou encore bienveillant . Aussi, puisque l'empathie est une faculté que l'on associe particulièrement aux êtres humains, on peut tout simplement utiliser l'adjectif humain à la place.
«Dans les cas extrêmes de résignation, il y a une espèce d'anesthésie psychique avec une perte de contrôle de la personne sur son existence. Tandis que dans la résilience, la personne est active.
Le mot de « résilience » est largement utilisé aujourd'hui dans tous les domaines. En psychologie, il désigne la capacité de surmonter un traumatisme et/ou de continuer à se construire dans un environnement défavorable.