L'imagerie par résonnance magnétique (IRM) est une technique qui permet de reconstruire des images à partir d'un champ magnétique très intense. C'est l'examen de référence pour le diagnostic et le suivi de la sclérose en plaques.
L'IRM est l'examen de référence pour le diagnostic et le suivi de la sclérose en plaques.
T1 ou T2. L'IRM permet de visualiser, dans le cerveau comme dans la moelle épinière, les lésions inflammatoires caractéristiques de la SEP et d'apprécier leur taille, leur localisation et leur intensité. Les lésions de la SEP apparaissent à l'IRM comme : des taches blanches dites “hypersignaux”
En dehors de la poussée, les sensations douloureuses peuvent persister et devenir chroniques, avec des sensations d'étau ou de serrement, dans les jambes notamment, de cuisson, de brûlure. Au niveau du visage, on parle de névralgie du trijumeau (le nerf responsable de la sensibilité du visage).
Les premiers signes de la maladie se présentent sous forme de symptômes très divers, survenant seuls ou associés, de façon brutale ou insidieuse, par poussées successives ou de manière lentement progressive. Les troubles moteurs sont les plus fréquents, particulièrement dans les formes à début tardif.
La Neuromyélite optique, longtemps considérée comme une forme de sclérose en plaques, est maintenant bien caractérisée comme une maladie à part entière qui nécessite un diagnostic différentiel et une prise en charge spécifique.
l'I.R.M. permet de détecter des lésions, par exemple en cas de crises d'épilepsie, de malaises, de perte de l'usage de la parole ou d'un membre (tumeur cérébrale, malformation vasculaire, hématome, anomalie acquise ou congénitale des structures cérébrales).
La sclérose en plaques est une maladie inflammatoire du système nerveux central (cerveau, moelle épinière et nerfs optiques). La majorité des patients présentent leur premier symptôme entre 25 et 35 ans, avec une proportion de femmes élevée soit 3 femmes pour un homme.
La fréquence des IRM lors du suivi peut varier en fonction du type de traitement, de l'évolution clinique, de l'état de la maladie et des habitudes du neurologue. Un contrôle est en général proposé après 6 mois de traitement, puis de manière annuelle, surtout les premières années.
La durée de vie des patients SEP est estimée entre 30 et 50 ans après le début clinique de la maladie.
Faiblesse musculaire, maux de tête, troubles du sommeil, dérèglement des sens, tremblements, mauvaise coordination… Dès l'apparition des premiers symptômes, prenez rendez-vous chez votre médecin traitant qui saura interpréter les signaux d'alerte et vous orienter vers un neurologue si votre état le nécessite.
L'IRM est un examen indolore, permettant d'obtenir des images de l'intérieur du corps humain, en 2 ou 3 dimensions. On le prescrit notamment pour visualiser les « tissus mous » (cerveau, moelle épinière, viscères , muscles etc.) mais aussi les os et articulations.
Elle permet de distinguer toutes les structures tissulaires quelle que soit leur localisation ; ce qui n'est pas le cas pour le scanner.
Le scanner et l'imagerie par résonance magnétique (IRM) permettent également d'explorer les nerfs mais ont l'inconvénient de ne le faire qu'en position couchée.
Les traitements ne permettent pas de guérir de la sclérose en plaques, mais ils préviennent les poussées et la progression dans les formes récurrentes-rémittentes. Différentes études ont avancé un rôle de l'alimentation pour retarder l'apparition de la maladie ou la prévenir5 mais cette théorie reste controversée.
Si vous cherchez quelque chose de plus détaillé qu'une IRM, mais que vous n'avez pas besoin des détails d'un scanner, l'IRM est peut-être mieux adaptée à vos besoins. Il est important de demander à votre médecin quel type d'imagerie est le mieux adapté à votre diagnostic !
IRM avec injection pourquoi ? Le choix d'une IRM avec ou sans injection dépend principalement de la nature des organes que le radiologue va devoir explorer. Pour visualiser par exemple des structures vasculaires comme les coronaires, l'injection d'un produit de contraste est obligatoire.
L'IRM a une excellente résolution en contraste et permet de mieux différencier des tissus de composition différente, c'est donc l'imagerie privilégiée dans l'étude des parenchymes, cérébral en premier lieu, mais aussi hépatique, mammaire ou prostatique.
La maladie d'Alzheimer et autres démences sont les plus fréquentes des maladies neurodégénératives. Elles représentent une cause majeure de perte d'autonomie.
Altérations de la personnalité Troubles de la mémoire et de la cognition. Paralysie de certaines zones du corps. Perte de vision et/ou d'audition.
1. Le stress. Le stress peut être utile ou nuisible pour le cerveau, cela dépend de son intensité et de sa durée.
En moyenne, on peut dire que l'espérance de vie de l'ensemble des patients atteints de SEP est inférieure de 6-7 ans à la moyenne de la population générale. Il existe cependant des formes sévères de Sclérose en Plaques, où la maladie est très agressive et évolue très rapidement (avec alitement, démence et dépendance.)
À ce jour, aucun traitement ne guérit la sclérose en plaques. Un traitement de fond prévient les récidives des poussées dans les formes récurrentes-rémittentes. Les formes progressives sont difficiles à soigner. La rééducation est utile à tous les stades de la maladie.
La vitamine D aurait un effet protecteur sur le système immunitaire, ce qui pourrait empêcher l'apparition de la maladie ou limiter sa gravité, une fois qu'elle est déclarée. Une carence en vitamine D, surtout à la puberté, semble prédisposer à la sclérose en plaques.