La viande de porc est riche en protéines elle en contient près de 20 g pour 100 g de viande crue et environ 25g pour 100g de viande cuite. Le porc apporte aussi des vitamines, sa viande est réputée pour sa richesse en vitamines B1.
La première maladie connue, liée au cochon, est une parasitose, la « trichinose », qui survient lors de la consommation de viande crue ou mal cuite. Les porcs nourris de déchets, particulièrement dangereux, ont probablement été à la source de l'exclusion du porc des religions juives et musulmanes.
Le porc est une bonne source de fer qui contribue à maintenir son niveau d'énergie. Le zinc, vitamine présente dans la viande de porc, favorise le bon fonctionnement du système immunitaire, protège des infections et favorise la cicatrisation.
Une consommation excessive de viande rouge et de viande transformée (voir recommandations nutritionnelles) est déconseillée pour la santé en raison de leur association avec une augmentation de l'incidence de maladies cardio-vasculaires, du diabète sucré et du cancer colo-rectal (CSS 2019).
100 g de rôti de porc contiennent près de 70 mg de cholestérol. Le porc est source de phosphore et de zinc.
La trichine habite également cet animal et provoque une autre maladie se nommant la Trichinose qui peut aller jusqu'à provoquer le décès chez l'humain. C'est donc pour ces raisons, qu'il est important de faire bien cuire cette viande car la chaleur éliminera ces parasites.
Qu'est-ce qu'une viande rouge? La viande rouge provient du bœuf, du porc, de l'agneau, du veau et de la chèvre.
De la viande rouge (bœuf, veau, agneau) : 1 à 2 fois par semaine ; De la viande blanche (porc, volaille, lapin) : 1 à 3 fois par semaine ; De la charcuterie, du gibier ou des abats : 1 à 2 fois par semaine et pas plus de 50 g par jour.
Le célèbre Wagyu, aussi appelé bœuf de Kobe, est sans doute la race la plus renommée pour l'extraordinaire qualité de sa viande. Son élevage selon des méthodes ancestrales lui confère ses qualités exceptionnelles. Marbrée, fondante et savoureuse, la viande de Wagyu constitue un véritable régal pour les fins gourmets.
La viande de porc : de septembre à avril
puisque « tout est bon dans le cochon » ! Mais la saison la plus propice pour manger du porc, c'est de l'automne au printemps.
Contrairement aux idées reçues, la viande de porc n'est pas toujours grasse. Ainsi, les épaules cuites dégraissées ou le rôti de porc dans le filet ne contiennent que 5 % de lipides, les côtelettes ou l'échine 15 % et le travers de porc 25 %.
La transpiration aide non seulement le corps à réguler sa température mais aussi à éliminer les toxines. Le porc ne dispose pas de cette action et retient donc ses toxines.
Il existe pourtant une nuance entre les deux dénominations : alors que le mot « porc » se réfère avant tout à la viande, le terme « cochon » désigne plutôt l'animal de façon générale. Sur un plan technique, d'autres termes sont employés pour désigner les différentes catégories d'animaux.
Le filet mignon
Le morceau le plus tendre du cochon. Avec le jambon, c'est un véritable morceau de choix. Partie maigre et étroite située sous les côtes, très peu sollicitée au cours de la vie de l'animal, ce qui explique sa tendreté unique. À cuire au four ou en cocotte pour en mesurer tout le fondant !
Préférer les morceaux de veau et de bœuf les plus maigres (tende de tranche ou rumsteck) pas plus de trois à quatre fois par semaine (soit environ 500 g), et éviter les charcuteries et les viandes les plus grasses : principalement le porc, à l'exception du jambon blanc découenné, dégraissé, l'agneau et le canard.
Le cheval. Le cheval fait partie des viandes rouges. Il contient 18,8% de protéines et 10% de lipides dont 3,6% d'acides gras saturés.
Le Programme National Nutrition et Santé (PNNS) établi par le ministère chargé de la Santé recommande le seuil de 500 grammes de viande cuite (hors volaille) par semaine[1].
D'après les directives officielles de la pyramide alimentaire, les personnes en bonne santé peuvent sans problème manger jusqu'à 6 œufs par semaine.
Amateur de viande rouge, il vaut mieux l'éviter le soir. A cause de ses teneurs élevées en protéines et en graisses, elle empêche de bien dormir. Les protéines diminuent la production de sérotonine qui est indispensable à la sécrétion de la mélatonine, l'hormone qui facilite le sommeil.
La viande rouge
Les viandes rouges sont difficiles et longues à digérer car elles sont longues à mastiquer. Pouvant provoquer ballonnements et flatulences, l'organisme met donc une grande énergie dans la digestion, ce qui peut entraîner une fatigue d'autant plus accrue en cas de baisse de régime.
Émissions de gaz à effet de serre, déforestation, surconsommation d'eau : l'élevage coûte cher à la planète. Amateurs de viande, consommez-en moins et mieux !
Manger trop de viande rouge accroît le risque de maladies cardiovasculaires et de cancers. Selon plusieurs études, la consommation de viande rouge augmenterait de 24 % le risque de cancer du côlon, et de 20 à 60 % ceux de l'œsophage, du foie, du pancréas ou du poumon.
La viande blanche comporte de nombreux bienfaits pour notre corps. Les acides aminés qu'elle contient ont un rôle constructeur nécessaire au bon fonctionnement de notre organisme. Elle possède des acides gras mono-insaturés (AGMI), bien mieux que les acides gras saturés.