NEW YORK, 2 mars (APM) - Une consommation régulière et modérée d'alcool ne contribue pas fortement au développement d'un cancer de la prostate, à l'inverse d'une consommation élevée, répartie sur un laps de temps court, montre une grande étude américaine.
La consommation d'alcool, même modérée, est associée à une augmentation du risque de développer un cancer de la prostate, selon une méta-analyse.
L'alcool peut-il augmenter le risque de développer une hyperplasie de la prostate? Ce serait plutôt le contraire! D'après l'état actuel de la science, il existe une corrélation négative entre la consommation d'alcool et le risque d'HBP.
De fait, l'équipe a constaté que boire une quantité modérée de vin rouge avait même un effet légèrement protecteur, et pouvait faire diminuer le risque de cancer de la prostate d'environ 12%.
L'alcool est un cancérogène avéré pour l'homme (groupe 1 du CIRC). Les cancers dont le lien avec la consommation d'alcool est avéré sont les cancers des voies aérodigestives supérieures (VADS) , de l'œsophage, du foie, du sein chez la femme, et le cancer colorectal (WCRF/AICR, 2018).
Le cocoroco, avec un degré de 96 %
Fabriquée à partir de canne à sucre, cette boisson alcoolisée bolivienne est qualifiée comme étant l'alcool le plus fort du monde avec un degré variant entre 93 et 96 %.
Le foie est l'organe qui permet la dégradation de l'alcool mais il est également celui qui trinque le plus en cas de consommation excessive.
La consommation quotidienne de plusieurs tasses de café permettrait de réduire les risques de développer un cancer de la prostate. Boire du café réduit le risque de développer le cancer de la prostate.
Il faut éviter toutes les boissons sucrées et les boissons alcoolisées, sources d'obésité et d'addiction. L'alcool inhibe la sécrétion d'hormone antidiurétique et favorise ainsi la poursuite de l'intoxication.
Des taux élevés de PSA peuvent indiquer la présence d'un cancer de la prostate, mais peuvent également être causés par d'autres affections courantes non liées au cancer, telles qu'une hypertrophie de la prostate (également appelée hyperplasie bénigne de la prostate ou HBP) ou une inflammation de la prostate (également ...
Une consommation régulière de bière est associée au risque de cancer de la prostate. Boire de la bière à tous les jours, sur une longue période, est associé à un risque d'être atteint d'un cancer de la prostate agressif, selon une étude menée auprès de 3927 hommes du grand Montréal.
Chez l'homme de moins de 60 ans, un taux de PSA inférieur à 4 ng/mL est considéré comme normal. Au-delà de cet âge, et chaque année, le taux de PSA augmente de 0,04 ng/mL. Après 70 ans, un taux de PSA de moins de 6,5 ng/mL est considéré comme normal.
Ainsi, une personne est considérée alcoolique lorsqu'elle consomme de façon régulière, voire journalière : plus de 3 verres par jour si c'est un homme ; plus de 2 verres par jour si c'est une femme.
Les critères de diagnostic d'alcoolodépendance
Apparition de symptômes de manque (anxiété, agitation, irritabilité, insomnie, sueurs, cauchemars, tremblements, palpitations, nausées, etc.) lorsque la personne diminue ou cesse de consommer des boissons alcoolisées.
Une consommation qui ne pose pas de problème
L'annonce est donc sans appel : boire au maximum un verre par jour pour les femmes et deux pour les hommes ne présente aucun risque pour la santé. Comme le vin, la bière peut avoir des effets bénéfiques sur le cœur.
Le chocolat contient de la caféine
Ingérée à forte quantité, la théobromine est susceptible d'augmenter les risques du cancer de la prostate chez les hommes. Elle agit aussi comme une drogue sur le corps et peut créer une action de dépendance.
Choisissez bien votre apport en protéine
Les protéines maigres contenues dans le poulet, le poisson et le soja sont, dans un premier temps, bénéfiques pour le système cardiovasculaire car elles protègent contre les maladies cardiaques, mais aussi pour la santé de la prostate en diminuant le taux de PSA.
Ces éléments font que 95 % des hommes diagnostiqués avec un cancer de la prostate auront une espérance de vie supérieure à 15 ans. Et, même en cas de cancer avancé, la survie a largement progressé, atteignant 5 à 6 ans en cas de cancer métastatique.
Le chlordécone, pesticide largement utilisé dans la culture de bananes aux Antilles, pourrait multiplier jusqu'à trois fois le risque de récidive de cancer de la prostate.
D'autres recherches ont révélé que les hommes atteints du cancer de la prostate au stade précoce, qui marchaient d'un pas énergique au moins trois fois par semaine, avaient 57 % moins de risque que leur cancer progresse, comparativement à des hommes qui marchaient moins vigoureusement et moins souvent.
Selon un rapport de l'OCDE, la consommation excessive d'alcool fait perdre 1 an d'espérance de vie en moyenne, en raison des maladies et accidents qu'elle cause.
« Maximum 2 verres par jour, et pas tous les jours ». Si ce seuil est dépassé, cela devient risqué pour la santé, selon les nouveaux repères de consommation de 2017.
La dépendance
Les relations avec les proches sont perturbées et la vie professionnelle peut également être touchée. L'alcoolo-dépendance est particulièrement toxique sur le système nerveux et provoque de nombreux troubles : encéphalopathies, résultant de carences vitaminiques. troubles cognitifs, comme les démences.