Il s'agit d'une forme particulière d'arthrite qui entraîne des crises de douleur intenses et soudaines. Elles seraient provoquées par un taux anormal d'acide urique, l'alcool venant stimuler sa production. L'arthrose est une maladie chronique qui affecte le cartilage de l'articulation entre les tissus et les os.
La décomposition de l'alcool libère des substances toxiques qui peuvent alors circuler dans le corps. Au bout d'un temps, ces substances parviennent aux nerfs, qu'elles détruisent en partie. Ce phénomène donne naissance à une polyneuropathie ou névrite.
Consommer régulièrement certaines boissons alcoolisées fait grossir, et grossir augmente le risque d'arthrose.
L'affection musculaire due à l'alcool s'appelle également «myopathie musculaire». Elle peut être soit aigüe, soit chronique. La myopathie aigüe engendre des douleurs peu après la consommation d'alcool. Alors que la myopathie chronique se développe au fur et à mesure.
En cas d'alcoolisation chronique
L'éthanol agit sur les fibres nerveuses, au niveau de la gaine de myéline (la graisse formant la gaine des cellules nerveuses), et peut provoquer une atteinte de plusieurs nerfs, appelée polyneuropathie ou polynévrite, qui va toucher les deux membres inférieurs.
Les résultats d'une étude américaine publiée démontrent que l'alcool, et en particulier la bière, seraient impliqués dans le développement de la goutte, une maladie inflammatoire des articulations, et ce même lorsqu'ils sont consommés avec modération.
Pourquoi ? Il stimule ses 'candida'. Une infection liée à des levures du genre 'Candida' qui entraîne la fatigue chronique, la dépression, des douleurs dans les articulations et des troubles dans les intestins.
Rester actif au quotidien contribuerait également à lutter contre l'arthrose. Boire du vin rouge permettrait de plus de prendre soin de ses articulations, en particulier le Bourgogne.
"L'alcool est un des premiers facteurs favorisant l'inflammation" insiste le spécialiste.
Le Gimber est sans doute l'une des boissons les plus polyvalentes au monde. Tout d'abord, comme la boisson est riche en gingérol, substance aux vertus anti-inflammatoires, anti-bactériennes, digestives, antiseptiques et purifiantes, elle permet d'apporter du confort à l'organisme.
L'alcool est la cause directe de certaines maladies, comme notamment : l'inflammation du foie (hépatite) la cirrhose du foie. l'inflammation du pancréas (pancréatite)
La charcuterie et la viande rouge
Première cause d'incapacité fonctionnelle pour les personnes de plus de 40 ans, l'arthrose est une réaction inflammatoire de l'articulation due à l'usure du cartilage. Il convient ainsi de limiter les aliments qui causent de l'inflammation, comme la charcuterie et la viande rouge.
Quand le corps dit stop à l'alcool
À moyen et à long terme, l'addiction à l'alcool peut entraîner de nombreuses pathologies : ulcères, hépatites, cirrhoses éthyliques, pancréatites ou encore maladies cardio-vasculaires.
"En vieillissant, l'alcool va se répartir plus rapidement dans l'organisme et se diluer dans une quantité de plus en plus faible de liquide corporel. Conséquence : le taux d'alcool dans le sang sera plus élevé pour une même dose ingérée", explique le Pr Mickael Naassila, Président de la Société française d'alcoologie.
Lorsque l'hépatopathie alcoolique progresse en hépatite alcoolique, les symptômes peuvent être bénins comme mortels. La personne peut développer de la fièvre, une jaunisse et un foie élargi, sensible et douloureux. Elle peut se sentir fatiguée. ), et un rougissement de la paume des mains (érythrose palmaire).
Les symptômes
Lorsque la maladie touche les deux membres inférieurs (forme fréquente), le sujet éprouve des difficultés motrices. Il n'arrive pas bien à se mobiliser, la jambe est de plus en plus flasque et les éleveurs d'orteils perdent de leur force et fonction.
Physiquement, les symptômes du manque et de la dépendance sont divers : tremblements, sueurs, hypertension, crises de tachycardie, nausées et vomissements sont les plus répandus et se manifestent en l'absence de consommation d'alcool.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens les plus utilisés pour la tendinite sont (2): Ibuprofène (Advil®, Nurofen®). Diclofénac (Voltarène®, Flexor®). Kétoprofène (Kétum®).
Les contraintes mécaniques comme les mouvements répétitifs, le sport intensif, le port de charges lourdes, l'exposition répétée à des chocs ou vibrations dans le cadre du travail, créent des lésions microscopiques qui fragilisent le cartilage. Ces microtraumatismes répétés sont une cause possible de l'arthrose.
Les feuilles et les baies de cassis renferment des flavonoïdes et des proanthocyanidols qui seraient dotés de propriétés anti-inflammatoires. L'huile de graines de cassis est riche en acides gras essentiels de la famille des oméga-3 et de celle des oméga-6 qui posséderaient des propriétés anti-inflammatoires.
Arthrose et café
Diminuez, voire éliminez le café de votre petit déjeuner ou de votre journée en général. La caféine est susceptible de provoquer une inflammation et par conséquent d'augmenter le risque de douleurs liées à l'arthrose.
Évitez les aliments générateurs de douleurs articulaires
Les viandes rouges persillées et les charcuteries sont à limiter, car elles favorisent l'inflammation par production d'acidité.
Les aliments transformés et raffinés comme le pain et le riz blanc, la farine blanche, sont à éviter. Le gluten : pain, pizzas, gâteaux...les aliments riches en gluten favorisent l'inflammation. Ils doivent donc être consommés avec modération.
Sardines, maquereaux et saumons sont riches en acides gras polyinsaturés. L'oméga-3 pourra vous aider à chouchouter vos articulations. Vous pouvez également choisir l'apport d'oméga-3 en mangeant des fruits secs, des noix, des graines de lin ou des amandes, par exemple.