Le trait d'union (-) et l'apostrophe (') ne font pas partie de la ponctuation : ce sont des signes grammaticaux. Il suffit d'un signe de ponctuation pour modifier le sens d'une phrase. (Note : Il s'agit d'un cas particulier des points de suspension.
Qu'est-ce que l'apostrophe ? O toi, mère chérie, que ne ferais-je par amour de toi. Le mot mis en apostrophe, nom ou pronom, désigne l'être animé ou la chose personnifiée à qui l'on parle. C'est un mot indépendant, sans fonction dans la phrase.
Une apostrophe est une figure de rhétorique ou un procédé oratoire consistant à interpeller vivement et par surprise une personne (présente ou absente) ou une chose personnifiée. C'est également une fonction grammaticale du mot qui désigne la personne ou la chose personnifiée à qui l'on s'adresse.
Ce caractère ('), devant en principe être réservé à la dactylographie, est souvent pour cette raison appelé apostrophe dactylographique, apostrophe dactylo, apostrophe droite ou encore apostrophe verticale.
apostrophe n.f. Interpellation brusque et peu courtoise adressée à quelqu'un.
Une apostrophe consiste à interpeler quelqu'un ou une idée personnifiée au milieu du discours. En poésie et dans le théâtre en vers, l'apostrophe permet d'exprimer une émotion forte (douleur, colère, nostalgie, désespoir…). Elle s'accompagne souvent de l'interjection « ô » et d'un point d'exclamation.
L'apostrophe. Ce signe a été introduit dans le français en 1531 par Tory. L'apostrophe est dérivée du comma ou barre qui séparait les mots, elle est apparentée à la virgule qui dérive aussi de ce signe mais qui est descendue à la ligne.
1. Les prépositions ou locutions prépositives introduisent des mots ou des groupes de mots qui sont compléments du verbe, du nom, de l'adjectif ou de l'adverbe. Les prépositions sont : à, de, pour, sur, dans, avec, en, par, parmi, ...
Le signe recommandé en typographie pour l'apostrophe typographique est le '. Il n'est pas disponible directement sur le clavier mais, par exemple, sous Microsoft Windows, avec la combinaison de touche Alt0146 ou substitué par la séquence de caractère ’ sur les pages HTML.
Interpeller brutalement, brusquement.
Reconnaître une apposition
L'apposition se rattache à un nom auquel elle apporte un complément d'information sur une qualité ou sur la nature. Elle peut être reliée à ce nom soit directement, soit par la préposition de. L'apposition désigne la même réalité que le nom auquel elle se rapporte.
Système de signes graphiques servant à marquer les pauses entre phrases ou éléments de phrases, à noter certains rapports syntaxiques, à traduire certaines nuances affectives.
La ponctuation blanche, c'est tout ce qui est de l'ordre de la disposition des mots sur la page : espaces, alinéas, saut de paragraphes, etc.
Conjonction de subordination = mot invariable qui sert à relier deux éléments d'une phrase dont l'un est subordonné de l'autre. Je viendrai quand tu m'appelleras. => L'action de "venir" est dépendante du fait que tu m'appelles. => "quand tu m'appelleras" est la subordonnée de temps.
La conjonction de subordination est un mot invariable qui sert à introduire une proposition subordonnée. Ses parents sont très fiers qu'il ait réussi le concours (La conjonction qu' introduit la proposition il ait réussi). Les conjonctions à proprement parler sont : que, comme, lorsque, puisque, quand, quoique et si.
Dans un emploi particulier, le, toujours du masculin et du singulier, signifie cela, ceci, et ne se rapporte pas à un nom substantif, mais est un substantif lui-même. Dans plusieurs locutions le joue le rôle d'un nom vague.
Par exemple j'appelle prend deux « L » car lorsqu'on le prononce, le dernier « e » est muet. En pratique, lorsqu'on dit le mot on entend « j'appel »; le « L » est la dernière lettre du mot a être prononcée. C'est pour cela que « appeler » n'en prend qu'un: le dernier son entendu est « é » et pas « L ».
Apostrophe « ' » U+0027.
Avec un « n apostrophe »
Quand doit-il être là ? Et bien, tout simplement, quand il fait partie d'un ensemble indiquant une négation, ou une restriction (ne…pas, ne…peu, ne… jamais, ne…guère, ne…plus…).