La peur de l'échec, du changement, de sortir de sa zone de confort ; Des conflits internes ; La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
L'auto-sabotage est la preuve tangible d'un profond manque de confiance en soi. Intimement persuadé de ne pas être capable d'évoluer, on se conditionne à échouer. "Rien ne se passe jamais comme je veux", "Je n'ai pas de chance", "Je ne comprends pas quel est mon problème".
Sachez qu'il existe plusieurs raisons qui peuvent expliquer un tel comportement autodestructeur et qui revient souvent dans toutes vos relations. D'abord, cette tendance à saboter une relation amoureuse cache souvent une grande crainte d'avoir mal, d'être blessé. e ou même abandonné.
La peur de l'intimité est l'une des principales raisons pour lesquelles les gens sabotent leurs relations. La plupart d'entre nous veulent et ont besoin d'intimité, mais pour certaines personnes, l'intimité peut être liée à des expériences négatives, ce qui les conduit à éviter la proximité émotionnelle et physique.
Le manque de communication
Il faut parler de ce qui va et de ce qui ne va pas, il faut s'exprimer sur ses désirs, ses envies, ses ressentis, écouter et prendre en compte les avis, désirs, envies et ressentis de l'autre. De toute façon, lorsqu'on garde pour soi ce qu'on a sur le cœur, cela finit toujours par ressortir !
Dans une situation comme dans l'autre, ce sentiment de gâcher sa vie est concomitant d'une relation conflictuelle à soi-même. Il s'accompagne souvent d'une souffrance psychique qui peut rendre le quotidien très problématique, jusqu'à obstruer les perspectives d'avenir.
La peur de l'échec, du changement, de sortir de sa zone de confort ; Des conflits internes ; La peur de ne pas être à la hauteur des attentes des autres.
Du grec “philo” qui signifie “amour” et phobos pour “peur”, la philophobie est littéralement, la peur de tomber amoureux. S'il peut s'agir d'une angoisse à l'idée d'aimer de manière globale, ce trouble anxieux est le plus souvent lié à une peur de l'engagement et des sentiments amoureux.
trouble-fête (n.m.) 1. personne qui empêche ou gâche les réjouissances; importun. 2.
Il ne faut pas avoir peur d'échouer, c'est là la clé de cette spirale. Pour éviter l'échec, il faut arrêter d'écouter cette petite voix intérieure qui vous répétera sans cesse : «je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer, je vais échouer…», vous finirez par le croire et l'appliquer.
Selon Freud, l'inconscient ignore le temps. Et l'incapacité à se fixer des échéances est le signe qu'un événement du passé continue à travailler l'individu, au point de contaminer sa vie actuelle. Parce qu'il ne parvient pas à passer à autre chose, il se condamne à ignorer les exigences de la temporalité.
Il est insaisissable, insidieux. Il peut se faire passer pour quelque chose de juste et de bon, alors qu'en réalité il est mauvais et autodestructeur. Si vous voulez surmonter les comportements d'auto-sabotage, VOUS devez être cette voix intérieure qui intervient pour dire : “Hé, ce n'est pas vrai !”.
S'accepter
Se punir pour une erreur signifie dans la plupart des cas que nous aurions pu mieux gérer une situation donnée. Il est inutile de faire semblant de rien et d'essayer de se convaincre que nous n'avons pas tort. Mais accepter notre vulnérabilité et apprendre à aimer nos faiblesses sont beaucoup plus efficaces.
Si vous avez des difficultés à passer à l'action, vous devez d'abord soigner votre confiance et l'estime que vous avez de vous-même. Pour cela, je vous invite à commencer à agir sur de toutes petites actions. Celles-ci vous motiveront et vous permettront de gagner peu à peu l'estime personnelle qui vous fait défaut.
La névrose d'échec n'a pas de rapport avec l'effet de l'incapacité ou de la malchance : c'est une recherche intentionnelle inconsciente et répétitive de l'échec aussi bien dans la vie professionnelle que sociale. Il faut savoir que les sujets à basse estime de soi se "retrouvent" plus dans l'échec que dans la réussite.
Un besoin excessif de se sentir soutenu, reconnu, encouragé, aimé par un conjoint ou des amis, la peur de l'abandon et de la séparation : tels sont les symptômes de la dépendance affective.
Certaines personnes ont du mal à aimer et à être aimées parce qu'elles estiment qu'elles ne sont pas aimables ou qu'elles ne sont pas dignes d'être aimées. Cette croyance peut être le résultat d'un rejet, d'une négligence de l'enfance ou d'autres expériences qui vous donne l'impression de ne pas être digne d'être aimé.
Quels sont les symptômes de l'érotomanie ? La personne érotomane a la conviction délirante d'être aimé(e) par quelqu'un. Elle va s'imaginer que tous ses gestes, paroles, likes sur les réseaux sociaux, sont des preuves d'amour que l'autre lui envoie.
La peur de réussir se caractérise très souvent en réalité par la procrastination au moment du lancement d'un projet, de sa concrétisation ou lorsque vous êtes proche de vos objectifs. Bizarrement, vous vous apercevez qu'il y a toujours un frein à lancer votre projet ou encore à finaliser vos objectifs.
Comprendre soi-même, c'est permettre à l'autre de comprendre. C'est le meilleur moyen d'avancer à deux et de passer au-dessus, afin d'arrêter de saboter votre relation amoureuse. De cette manière, votre partenaire sera plus patient avec vous, vous vous sentirez épaulé et écouté.
Pour minimiser la peur de l'échec, il est préférable de : voir le bon côté des choses en tirant un enseignement positif; envisager tous les résultats possibles ; avoir un autre plan en cas d'échec ; demander de l'aide ; penser aux regrets que l'on peut avoir si on n'essaye pas et établir des objectifs atteignables.
Cherchez dans vos souvenirs d'enfance, fouillez dans les recoins de votre mémoire, essayez de retrouver les événements ou les paroles blessantes qui vous ont empêchées de construire une bonne estime de soi.
"Un schéma répétitif peut être engendré par un manque de confiance en vous, qui entraîne un manque de confiance en votre partenaire. Cela peut aussi être lié à une tendance à se suradapter à l'amoureux en risquant de s'oublier", explique la psychologue.
Soyez équilibré·e : ni trop sélectif·ve, ni trop laxiste. Avoir trop de critères éliminera trop de personnes. Inversement, trop peu de critères, conduira à des déceptions, car nous avons tous des prérequis pour construire une relation saine.