RÉCIT AUTOBIOGRAPHIQUE selon Philippe LEJEUNE : Récit introspectif en prose qu'une personne réelle fait de sa propre existence lorsqu'elle met l'accent sur sa vie individuelle en particulier sur l'histoire de sa personnalité. JOURNAL INTIME : C'est un récit écrit au jour le jour, l'auteur y est présent personnellement.
Le Dernier Jour d'un condamné est un roman à thèse de Victor Hugo publié en 1829 chez Charles Gosselin, qui constitue un plaidoyer politique pour l'abolition de la peine de mort.
Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, "Le Dernier Jour d'un Condamné", roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Il n'a ni nom , ni crime défini mais dans six semaines , il sera guillotiné .
Le héros romantique incarne régulièrement une personnalité angoissée et idéaliste, pure au fond de son cœur, mais souillée par une vie de débauche; un personnage trop individualiste pour faire partie d'un grand projet de société, mais trop passionné pour se taire et rester immobile.
Victor Hugo se regroupe avec quelques écrivains pour former le Cénacle. Ce cercle de jeunes auteurs sera le foyer de leur mouvement littéraire appelé romantisme.
Le drame romantique, lui, doit refléter la vie en associant les éléments des deux genres : le beau et le sublime, jusqu'alors réservés à la tragédie, doivent cohabiter avec le laid et le grotesque.
Près de neuf exécutions sur dix ont été réalisées dans quatre pays : l'Iran, l'Égypte, l'Irak et l'Arabie saoudite. Selon le dernier rapport d'Amnesty international sur la peine de mort, publié le 21 avril 2021, au moins 483 personnes ont été exécutées dans 18 pays en 2020.
La peine de mort est le signe spécial et éternel de la barbarie. (Mouvement.) Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine ; partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne.
L'écriture du prisonnier peut également avoir une autre fonction : thérapeutique elle l'aide à moins s'ennuyer, didactique , elle délivre un enseignement et enfin, elle lui permet de mieux se comprendre; elle a ainsi une fonction d' expliquer ce qu'il ressent; L'écriture intime fixe ainsi les changements qui se font en ...
Les personnages principaux sont le condamné -le narrateur-. Marie, la fille du narrateur. Les magistrats: Le narrateur les décrit de manière caricaturale. Les gardes-chiourmes: Geôlier sans instruction et sans éducation qui rudoient le narrateur.
Il est le seul narrateur, et toute l'œuvre se vit à travers son regard. On ne sait pas grand-chose de lui : on ne connaît ni son nom, ni sa classe sociale, ni son crime, ni son mobile, ni sa ou ses victimes.
Le narrateur étant lui-même le personnage principal, le texte est à la première personne avec une focalisation intérieur qui nous permet de vivre avec ce pauvre condamné ses derniers jours attendant l'exécution. Une idée préoccupe l'esprit du narrateur sa condamnation à mort.
5) Marie : fille du condamné, elle a trois ans ; son père lui voue un amour absolu ; mais elle ne reconnaît pas son père dans ce barbu qui l'embrasse. Elle est persuadée que son père est mort. 6) La foule : compatissante et cruelle à la fois, elle assiste à une exécution capitale comme à un spectacle.
Portée par l'engagement et le discours à l'Assemblée nationale du ministre de la Justice de l'époque, Robert Badinter, la loi du 9 octobre 1981 a aboli la peine de mort en France. Cette loi a renforcé le combat que la France menait de longue date pour la promotion de la dignité humaine.
V. Hugo défend la thèse contraire, c'est-à-dire qu'il réfute la peine de mort. La première phase est l'antithèse (Celle opposé à celle de l'auteur). convaincante, les auteurs sont amenés à développer des arguments (C'est une démonstration qui a pour finalité de faire partager la thèse au lecteur).
Le 18 septembre 1981, par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant abolition de la peine de mort présenté, au nom du Gouvernement, par Robert Badinter, garde des Sceaux, ministre de la justice.
Le drame commence le 16 avril 1846, quand le garde-forestier en chef du domaine de Fontainebleau, Pierre Lecomte, tire deux cartouches en direction du roi Louis-Philippe. C'est qu'il est en pétard, le bougre : le roi n'a pas répondu à son courrier dans lequel il se plaint de ne pas avoir droit à une retraite.
La Chine est le seul pays du monde à disposer de la « peine de mort avec sursis », le condamné est placé en détention et s'il ne commet aucune infraction durant les deux premières années sa peine de mort sera commuée en perpétuité plutôt que mise à exécution. L'âge minimum pour la peine de mort est de 18 ans.
Un moratoire sur la peine de mort est en vigueur en Russie depuis 1997, mais ce n'est pas le cas dans les deux territoires séparatistes de l'Est ukrainien. Les autorités pro-russes leur refusent le statut de prisonnier de guerre, les privant de la protection des conventions de Genève.
une idée de justice, de réparation pour les victimes ; la nécessaire protection de la société contre un individu dangereux que l'on met hors d'état de nuire ; son effet dissuasif ; un argument économique : la mise à mort coûte moins cher à la société que la prison à vie.
1. "Demain, dès l'aube", Victor Hugo.
Victor-Marie Hugo dit Victor Hugo, considéré comme l'un des plus importants poètes et écrivains de tous les temps, est né à Besançon en 1802.
Le poète romantique tente de dire ses sentiments, ses pensées les plus privées, ses goûts les plus personnels, persuadé que le lecteur y retrouvera, sinon ses propres sentiments, au moins quelque chose d'apparenté à ce qu'il ressent lui-même.