Il y a des diabètes où en transmettant le gène, les parents transmettent la maladie. Mais les diabètes de type 1 comme de type 2 sont des maladies à prédisposition génétique. Autrement dit vous avez des gènes de prédisposition mais c'est l'environnement qui va faire que vous êtes diabétique.
Il semble que certaines personnes soient prédisposées à la maladie par leur hérédité. Mais la génétique n'est pas si déterminante : dans 90 % des nouveaux cas, on ne retrouve aucun antécédent de diabète de type 1 dans la famille.
L'âge moyen au décès est de 79 ans, et est plus élevé chez les femmes que chez les hommes (81 vs 76 ans), comme en mortalité générale.
le diabète et l'obésité! Contrairement à ce que veulent nous faire croire les marques qui produisent des boissons allégées, elles sont loin d'être meilleures pour la santé. Elles favoriseraient même certaines maladies, voire l'obésité…
Le diabète de type 2 (également appelé « diabète non insulinodépendant » (DNID) ou « diabète gras »), plus fréquent que celui de type 1, touche essentiellement les personnes de plus de 40 ans. Cette maladie est grave par ses complications, notamment sur le cœur, les vaisseaux sanguins, les reins et les nerfs.
Diabète et hérédité
Le poids de l'hérédité diffère selon qu'il s'agit du diabète de type 1 ou du diabète de type 2. Lorsque l'un des deux parents est diabétique de type 2, le risque de transmission à la descendance est de l'ordre de 40 % et si les deux parents sont atteints, le risque grimpe à 70 %.
Si l'insuline est en quantité insuffisante ou si elle est inefficace, le sucre s'accumule dans le sang et la glycémie augmente de façon excessive : c'est l'hyperglycémie. En l'absence de traitement, cette hyperglycémie se maintient à un niveau trop élevé : c'est l'hyperglycémie chronique qui définit le diabète.
L'eau. Maintenir une bonne hydratation grâce à l'eau peut vous aider à contrôler le taux de glycémie dans le sang, d'après une étude citée par Best Health Mag (Source 1).
On considère généralement que le diabète de type 2 est une maladie chronique irréversible, dont on ne peut espérer guérir, et que la seule option thérapeutique demeure de limiter les dégâts causés par l'hyperglycémie.
Les cellules essayent de survivre en utilisant d'autres carburants, de mauvaise qualité, qu'elles fabriquent à partir des protéines et des graisses : ceci explique la perte de poids et l'apparition d'acétone qui est un déchet de ces mauvaises combustions des graisses dans les cellules.
Les diabétiques peuvent en abuser : le citron leur sera d'une aide précieuse. Il est d'abord très riche en vitamine C. Par ailleurs, il a une action antifatigue grâce aux flavonoïdes (substances antioxydantes). Il permet aussi de réduire l'indice glycémique.
Mieux vaut privilégier des fruits peu sucrés et riches en fibres (les fibres ralentissant l'absorption des sucres) : poires, pommes, pêches, oranges, agrumes, fruits rouges (fraises, framboises, cassis...).
Avec un diagnostic à 80 ans, l'espérance de vie était la même que celle des contrôles, alors qu'un diagnostic avant 20 ans était associé à 10 années de vie en moins. Dans l'ensemble, les sur-risques étaient numériquement plus élevés chez les femmes atteintes de diabète de type 2.
Diabète : aliments à éviter
Le riz rapide, la purée de pomme de terre, les frites (à consommer une fois par semaine au maximum), les chips, les plats cuisinés du commerce, les viennoiseries, pâtisseries et les céréales du petit déjeuner chocolatées ou au miel ou fourrées.
L'étude a mis en évidence trois principaux problèmes émotionnels causés par la vie avec le diabète : la dysphorie, l'anxiété et l'irritabilité. La dysphorie se manifeste par des sentiments d'insatisfaction, d'apathie, de perte d'intérêt, de malaise et de tristesse.
Les complications à long terme du diabète de type 1
Lorsqu'elle persiste plusieurs années, une concentration élevée de sucre dans le sang provoque des complications particulières. Ce type de complications est essentiellement observé chez les adultes après plusieurs années de diabète.
Une hyperglycémie est caractérisée par une glycémie supérieure à 6,1 mmol/l ou 1,10 g/l), mesuré à jeun. Cette hyperglycémie peut être transitoire ou chronique. Lorsque la glycémie à jeun est supérieure à 7 mmol/l (1,26 g/l), le diagnostic de diabète est porté.
L'accumulation de graisse abdominale, c'est-à-dire située à l'intérieur du ventre, est à prendre au sérieux. C'est une des anomalies du syndrome métabolique qui, à terme, peut favoriser l'apparition d'un diabète de type 2.
Pensez au « thé glacé maison, au jus de citron vert et quelques zestes dans de l'eau fraîche, des feuilles de menthe et du jus de citron dans de l'eau pétillante », conseille Mélanie Mercier, diététicienne nutritionniste au sein de la Fédération Française des Diabétiques.
picotements, chatouillements, chair de poule, sensations étranges comme une piqûre d'épingle ou une décharge électrique; engourdissements (pertes de sensibilité d'une partie du corps); brûlures, démangeaisons, douleurs; transpiration, gonflement, froid ou chaleur injustifiée.